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Le deuxième tour est un référendum pour ou contre l’euro !!

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Published : April 26th, 2017
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Category : Editorials

C’est un très bon article de La Tribune, dont vous trouverez le lien source tout en bas de ce billet comme il est d’usage, sur lequel je souhaite revenir. Voilà l’essentiel :

« «Un référendum sur l’Europe» : c’est ainsi que Pierre Moscovici a présenté lundi le deuxième tour de l’élection présidentielle qui opposera Marine Le Pen à Emmanuel Macron. En apportant, sans surprise, son soutien au candidat de En Marche !, le commissaire européen en charge de l’euro et prédécesseur d’Emmanuel Macron au ministère français de l’Économie, concède également que s’il est élu, Emmanuel Macron, tout pro-Européen qu’il est, devra faire des propositions pour préciser la position de son pays sur les changements à apporter au fonctionnement de la zone euro. »

Cette affirmation de Moscovici n’est pas fausse et la stratégie du système bien-pensant et européiste-mondialiste va consister justement à axer la campagne sur le « pour » l’Europe de la paix (gnagnagnagna) incarnée par Macron en opposition à l’Europe des nations portée par Marine Le Pen.

Faire peur, obtenir un résultat pour Macron de plus de 60 % et en conclure donc que ce n’est pas seulement un référendum pour l’Europe mais un plébiscite !!

Pour autant, et même si nous avons déjà commencé à avoir droit aux éléments de discours d’usage sur « les générations futures », « nous devons léguer la paix à nos enfants », ou encore « l’Europe c’est la paix depuis 70 ans », sans oublier les « sans l’euro ce serait la misère, l’enfer, et la damnation éternelle », toute cette manipulation et cette propagande n’exonéreront pas les dirigeants présents et futurs – qui seront exactement les mêmes, car Macron va juste diriger avec les mêmes socialistes que Hollande et une petite touche de Bayrou qui ne représente plus grand-chose au centre si ce n’est une tête d’affiche – de faire face aux problèmes majeurs qu’affronte l’Europe.

Et d’ailleurs, même le journal La Tribune (qui je vous rassure ne roule pas pour le FN) se pose la question de la façon suivante.

Zone euro : les questions auxquelles Emmanuel Macron devra répondre

« S’il est élu, Emmanuel Macron, tout pro-Européen qu’il est, devra faire des propositions pour préciser la position de son pays sur les changements à apporter au fonctionnement de la zone euro.

S’il est élu président, la négociation qui attend le leader d’En Marche ! dans les mois à venir s’annonce particulièrement difficile car l’espace politique européen pour réformer la zone euro n’est pas à la mesure des appels au changement ou des critiques exprimées dimanche par les Français.

Or le sujet ne divise pas seulement en France, mais un peu partout ailleurs en Europe. Et surtout, il met face à face les gouvernements nationaux et les institutions européennes. »

Quel sera donc le projet européen de Macron ? On le connaît pour le moment c’est du genre « je veux une Europe qui rassure, je veux une Europe qui protège, je veux une Europe du bonheur et tous ensemble, oui mes amis, tous ensemble, osons le printemps car c’est notre projet »…

Bon, une fois ces inepties prononcées plusieurs fois à la télé, le président Macron risque d’apparaître pour ce qu’il est, à savoir « tout nu » en terme d’idées et de projets.

Le cœur du problème de l’avenir de l’Europe ? Vers le saut fédéral ou le retour aux nations !!

« Force est de constater que, côté français, la capacité de proposition a reculé ces dernières années, conséquence implicite de la faiblesse budgétaire du pays. En 2012, Jean Pisani-Ferry, l’actuel conseiller économique d’Emmanuel Macron, qui dirigeait à l’époque un think-tank bruxellois, rappelait dans une tribune publiée par le quotidien Le Monde les trois options sur la table :

  • la constitution d’un budget ad hoc avec des ressources propres;
  • un mécanisme de stabilisation sans ressources propres mais auquel les pays contribueraient et feraient appel successivement, selon leurs besoins ;
  • et enfin une capacité d’endettement supplémentaire, à travers des eurobonds.

Or comme le rappelle très justement La Tribune, « on imagine mal l’Allemagne s’engager aujourd’hui sur la voie d’un super-budget, pas plus que les pays qui, comme la France, l’Espagne et l’Italie, continuent de flirter avec les seuils de déficit ou d’endettement du Pacte de stabilité européen. L’idée des «eurobonds» est pour l’instant écartée. L’adversaire social-démocrate d’Angela Merkel, Martin Schulz, qui s’était dit favorable à ces obligations européennes quand il présidait le Parlement européen, s’est bien gardé de remettre cette idée sur la table depuis qu’il s’est lancé dans la course à la chancellerie. Et les travaux de la Commission européenne sur des «safe bonds», destinés à faciliter le refinancement des pays en difficulté, sont menés pour le moins dans une très grande discrétion, car peu du goût de Berlin ».

S’il n’y a pas de possibilité d’aller vers plus d’Europe pour rendre fonctionnel et techniquement viable le fonctionnement actuel des institutions européennes, alors nous serons contraints, par la force des choses, d’aller vers de moins en moins d’Europe et de privilégier évidemment l’échelon national qui d’ailleurs reste le seul susceptible d’assurer réellement un fonctionnement démocratique.

Quelle est donc la représentativité pour un français du Parlement européen ? Aucune bien évidemment !

La campagne du second tour risque de se jouer sur les enjeux de la politique européenne

L’Europe va mal parce que les divergences entre les économies sont une réalité trop niée.

L’Europe va mal parce que l’euro, sa monnaie, est dysfonctionnel.

L’Europe va mal parce qu’il n’y a pas de gouvernance commune et cohérente.

L’Europe va mal parce que le projet européen est entre deux eaux, et que sur le chemin de plus d’intégration, à un moment, il va falloir choisir entre abandonner toute sa souveraineté – ou ce qu’il en reste – ou la reprendre en totalité.

Nous sommes collectivement au milieu du guet.

Nous devrions faire un choix politique historique, avec un débat démocratique exemplaire.

Ce débat nous a été ôté.

Le système tentera d’expliquer que la victoire de Macron, c’est la victoire de l’idée européenne. Que les Français veulent encore plus d’Europe.

Une chose est sûre : le temps presse. « Si rien ne bouge, il n’y a plus de zone euro dans dix ans », avait déclaré Emmanuel Macron au Figaro en septembre 2015. Avant d’ajouter : « L’absence de proposition est un choix : c’est la sortie de la zone euro »…

Macron le sait. Beaucoup parmi nous le savent aussi. Nous sommes à la croisée des chemins et tout peut arriver.

Celles et ceux qui veulent se préparer à ces temps difficiles peuvent s’abonner à ma lettre STRATEGIES. Vous aurez ainsi accès aussi à toutes les archives, et aux rapports spéciaux concernant la manière de survivre à l’explosion de la zone euro, ou encore celui consacré à l’Assurance vie au Luxembourg, etc, etc!! Plus de renseignements ici

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

 

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l europe est un marigot ou les us ont reussis a mener les européens ,
macron n est pas une issue pour s en sortir mais l option sable mouvant avec holland il n y a plus que la tete qui depasse encore reste plus qu a enfoncer la tete et ce sera gagner pour l oligarchie qui devaste la france
etrange tout ca
L’histoire incroyable de MACRON, le nouveau messie français.
En 2015, les documents obtenus par WikiLeaks et publiés par Libération et Médiapart révèlent que la NSA a, au moins de 2006 à mai 2012 (pourquoi mai 2012?) espionné Chirac, Sarkozy et Hollande. Ces documents étaient destinés à la CIA. Mais la NSA a affirmé que ces écoutes n’avaient jamais touché les chefs d’État mais leur entourage.
Macron a-t-il était placé sur écoute quand il était secrétaire général adjoint de l’Élysée? Et si oui, les États Unis cherchaient ils à conforter leur choix du futur candidat à la Présidence?
Y-a-t-il eu collusion entre les États Unis et certains milieux libéraux politico-économiques français quant à la candidature possible de Macron?
A la vue de son parcours, la réponse est oui!
Une preuve?
L’implosion en cours du PS pour favoriser une alliance droite gauche afin de contrer les « populismes », l’alliance avec Bayrou (après un salto arrière spectaculaire et suspect) et un programme néo libéral, progressiste et européiste soutenu par les milieux politico- financiers. Toute cette stratégie reposent sur les piliers idéologiques de la NED et de la Trilatérale.
On comprend mieux l’inquiétude des russes qui se retrouvent avec un scénario à l’Ukrainienne dans l’un des deux plus importants pays d’Europe.
Un président français choisi directement par les américains? De Gaulle va se retourner dans sa tombe.\
C’est peut-être ce scénario que nous révélera Assange dans les prochaines semaines.
la suite ici !!!

http://numidia-liberum.blogspot.fr/2017/04/macron-est-il-un-agent-de-la-cia.html#more
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Soeur Anne était au milieu du guet, nous sommes au milieu du gué et certains trouvent beaucoup de plaisir à être au milieu du gay.
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Le 2ème tour, c'est Dhimmi or not Dhimmi !
Le candidat d'En marche !, Emmanuel Macron, actuel favori de la présidentielle selon les sondages, veut renforcer les liens avec l'Algérie, dans l'éducation, avec au moins un second lycée français et plus d'échanges universitaires, citant la médecine et le journalisme.
"Je proposerai au gouvernement algérien la création d'un Office franco-algérien de la Jeunesse, à l'instar de ce qui existe entre l'Allemagne et la France, pour favoriser la mobilité entre les deux rives de la Méditerranée", écrit-il dans une tribune publiée sur le site d'information algérien Tout sur l'Algérie, à l'occasion de sa visite dans le pays." Nous devons structurer les incubateurs franco-algériens autour de nos pôles universitaires et scientifiques et créer un véritable écosystème de l’innovation entre nos pays."

Jean Paul Gourevich, sociologue, estime le nombre de musulmans en France à environ 8 millions.  Parmi ces 8 millions, il estime à environ 3,6 millions, le nombre de musulmans actifs dont 72 000 à 160 000 musulmans radicaux.
Macron veut donc ouvrir encore plus les vannes.  Un tour dans le super marché du coin ou dans les transports en commun vous montrera que les "incubateurs structurés" sur 2 pattes n'ont pas attendu les pôles universitaires.
Sauve qui peut !
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Philippe de Villiers explique très bien cet état de fait, ce mouvement "en marche" si je puis me permettre. Une Europe islamisée? son nom: l'EURISLAM, son site internet est là pour vous en convaincre mes amis: it's in English of course
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Philippe de Villiers explique très bien cet état de fait, ce mouvement "en marche" si je puis me permettre. Une Europe islamisée? son nom: l'EURISLAM, son site internet est là pour vous en convaincre mes amis: it's in English of course Read more
BOUMBAKE - 4/26/2017 at 4:23 PM GMT
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