L’Affaire Areva, enfin la nouvelle affaire, va être monstrueuse et
effroyable, et cela promet l’enfer aux finances françaises dont la dette
publique atteint désormais les 100 % du PIB. En effet, nous parlons ici d’une
amende record de 24 milliards d’euros, alors qu’Areva est un groupe public en
très grandes difficultés financières. Autant dire que c’est le
« con-tribuable » qui finira par payer, comme à chaque fois.
Bon, pour le moment, cela ne fait pas la une du JT, notre président étant
occupé à se faire mettre des doigts d’honneur bien évidemment sur ses selfies,
conséquence de ces inconséquences démagogiques, mais cela risque de vite
changer.
Vous allez voir que lorsque l’on parle de combat de titans aux États-Unis
entre Trump et la partie souverainiste de l’establishment américain et les
tenants du mondialisme, ce n’est pas une vue de l’esprit.
Explications
La France, là-dedans, sera une victime collatérale du
« dézingage » en règle des démocrates qui tentent de dézinguer
Trump, qui donc dézingue les démocrates pour les empêcher de le dézinguer
lui… et en même temps, la politique de démondialisation qu’il souhaite mener.
On va apprendre au passage qu’Al Gore, l’ancien vice-président de Clinton
battu par Bush dans des conditions un peu limites, a pu se gaver
tranquillement pendant des années avec le superbe « business » de la
protection de l’environnement et l’escroquerie du réchauffement climatique,
non pas qu’il n’y ait pas de problème environnemental, mais parce que la
gestion de la crise « climatique » est juste devenue un prétexte pour
extorquer de l’argent facilement aux populations.
Al Gore est donc passé maître dans l’art de l’enrichissement… et puisqu’il
s’agit d’Areva, ce n’est pas de l’enrichissement d’uranium dont on parle,
mais bien d’enrichissement personnel.
La justice américaine a discrètement prévenu début juillet les autorités
françaises qu’elle pourrait lancer un procès pour corruption contre
l’ex-fleuron tricolore de l’atome. Et que, en cas de condamnation, l’amende
pourrait aller jusqu’à… 24 milliards d’euros, l’équivalent d’un tiers des recettes
de l’impôt sur le revenu.
Comme le rapporte le magazine Capital, il est fait état d’un
possible pacte de corruption, conclu en 2010 par l’entreprise avec des
dirigeants du parti démocrate américain.
Une affaire qui menace aussi d’éclabousser le Premier ministre Édouard
Philippe, directeur des affaires publiques d’Areva à l’époque…
Non d’une pipe et mille milliards de mille sabords… Quel
scandale!
« Le 26 janvier dernier, Marc Eichinger, un enquêteur privé qui collabore
régulièrement avec les services américains, écrit au FBI pour attirer son
attention sur une affaire encore inconnue. Certains éléments qu’il a
découverts lui font penser que le rachat de la start-up américaine Ausra par
le groupe nucléaire français Areva pourrait cacher un pacte de corruption,
mettant en cause plusieurs hauts dirigeants du Parti démocrate, dont l’ancien
vice-président Al Gore. Depuis, le FBI travaille discrètement sur cette
affaire. »
LE FBI enquête. Le PNF (le parquet financier), lui, fait le canard pour le
moment malgré la recommandation de la brigade financière d’ouvrir une
instruction.
Le mari d’Anne Lauvergeon ? Olivier Fric…
« Areva a acquis, en février 2010, Ausra, une start-up américaine
spécialisée dans l’énergie solaire. Officiellement, selon le groupe français,
le prix d’achat aurait été de 243 millions de dollars. Problème : un
dirigeant d’Ausra affirme avoir vendu la société pour… 275 millions. À
l’époque, Areva s’était contentée du minimum syndical en matière de
communication : le dossier de presse ne mentionnait aucun montant ni
l’identité précise des principaux actionnaires vendeurs.
À première vue, Anne Lauvergeon, à l’époque patronne du groupe nucléaire
français, aurait pourtant dû se glorifier de cette acquisition. Car parmi ces
actionnaires figurait Al Gore, l’ancien vice-président de Bill Clinton,
devenu, depuis son échec à la présidentielle de 2000, le nouveau chantre
mondial des énergies renouvelables. L’ex-candidat démocrate avait acquis ses
parts en participant à des augmentations de capital (de 123,3 millions de
dollars au total) à travers les deux fonds d’investissement qu’il préside ou
conseille, Kleiner Perkins (ex- KPCB) et Generation Investment Management.
Si Anne Lauvergeon a préféré rester discrète, c’est que, à l’époque, Areva
est déjà dans une situation financière compliquée. Quelques semaines avant
cette acquisition, en janvier 2010, une réunion du Conseil de politique
nucléaire, qui s’est tenue à l’Élysée en présence de tous les principaux
acteurs de la filière, a abouti à la conclusion qu’il fallait le
recapitaliser d’urgence. L’opération est réalisée quelques mois plus tard :
la société obtient 900 millions d’euros, 600 millions étant versés par le
fonds souverain du Koweït, le KIA, et 300 millions par l’État.
Dans cet environnement très contraint, on peut s’interroger sur
l’opportunité d’acquérir Ausra. D’autant que la start-up est elle-même dans
une situation financière difficile, et que sa technologie (l’énergie solaire
thermique à concentration) n’a rien de révolutionnaire. Elle est même un peu
désuète puisque les premières centrales solaires de ce type ont été
construites dans les années 1980.
De plus, l’opération est manifestement surpayée : comme on peut le
découvrir dans le propre rapport annuel 2010 d’Areva, la différence entre la
valeur réelle des actifs et le prix de vente se monte à quelque 165 millions
de dollars !
En réponse à la curieuse proposition d’Olivier Fric, le mari d’Anne
Lauvergeon, d’acquérir avec Areva de nouvelles sociétés, l’un des directeurs
du groupe assure, en décembre 2009, que l’entreprise “n’a pas les moyens” de
mener une telle politique. Pourtant, deux mois plus tard, Areva mettra 243
millions de dollars sur la table pour s’offrir Ausra. »
Des documents très gênants !
« À commencer par cet échange de mails intervenu en décembre 2009 entre
Olivier Fric – le mari d’Anne Lauvergeon, qui n’a officiellement rien à voir
avec Areva – et un haut dirigeant du groupe. Fric y propose de monter avec
Areva un fonds, dont il serait coactionnaire, pour réaliser des acquisitions
dans les énergies renouvelables. “Impossible !”, lui répond ce dirigeant
après avoir consulté sa patronne, en arguant que le groupe n’a pas les moyens
de mener ce genre de politique. Cela n’empêchera pas Areva de s’offrir Ausra
deux mois plus tard. Ni Olivier Fric d’en devenir lui-même actionnaire en
2011, par le biais d’Agave Partners Holdings, une société constituée avec un
homme d’affaires américain. »
… Où l’on découvre également les liens avec John Kerry, le proche d’Obama
dont l’administration sera, très, mais très très gentille avec toutes les
entreprises qui gravitent autour de cette histoire de nucléaire aux
États-Unis, ce qui va coûter des milliards de dollars aux contribuables
américains dans ce qui est déjà un bien bel exemple d’affaire généralisée de
corruption.
Une affaire internationale où chacun se renvoie les ascenseurs remplis
préalablement de sous-sous à profusion quand on demande aux pauvres bougres
avec et sans dents d’en bas de se serrer la ceinture.
Je passe sur le fait qu’en France, le mari, le bien nommé d’ailleurs
Monsieur Fric ce qui ne s’invente pas, de la mamamouchette en chef d’Areva
puisse devenir l’actionnaire d’une entreprise rachetée par sa femme… Qui
n’est qu’une salariée comme les autres.
Bref, si les facturettes de taxi de certains mamamouchis ce n’est
franchement pas bien, il y en a d’autres qui savent voir nettement plus
grand…
Nous n’allons pas nous ennuyer…
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi,
localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes
pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend
inévitables les révolutions violentes » (JFK)