Pourquoi les nations du monde financent-elles une guerre
globale contre la monnaie liquide ?
Lors de la plus récente réunion du G20, banquiers
centraux, ministres des finances et tout un assortiment de planificateurs
centraux faisaient l’éloge de ce qu’ils espèrent
pouvoir être un ‘standard global’ de partage
automatisé d’informations financières.
Les Etats-Unis ont pris de l’avance grâce à
l’odieuse loi FATCA, et l’Union Européenne a suivi leur
exemple en mettant en place une loi similaire. Au travers de FATCA et
d’autres mesures, les gouvernements s’offrent de nouvelles
méthodes de mise à mort des finances privées.
Le secret bancaire ne doit pas être perçu comme
quelque chose de négatif. Les Suisses le voit
comme un droit fondamental qui permet à tous de préserver leur
dignité, de la même manière que le secret médical.
Comment vous sentiriez-vous si votre gouvernement venait mettre son nez dans
vos dossiers médicaux et les partageaient avec d’autres
gouvernements ?
Bien que ce nouveau ‘standard global’ puisse
sembler n’être qu’un nouvel instrument de collecte de fonds
pour les gouvernements en banqueroute, il se pourrait qu’il ait aussi
un autre objectif.
FATCA devrait, selon les analyses les plus optimistes,
rapporter 9 milliards de dollars sur 10 ans, soit une moyenne de 900 millions
de dollars par an.
Comparés au déficit annuel de 1,1 trillion de
dollars pour 2012, 900 millions de dollars ne sont rien de plus qu’une
goutte d’eau dans la mer (autour d’un dixième de
pourcent). Même dans le cas très peu probable où les
Etats-Unis réduiraient leur déficit, les revenus de FATCA ne
seraient que pitance en comparaison.
Cela me pousse à soulever la question suivante :
Pourquoi le gouvernement des Etats-Unis prendrait-il la peine de mettre en
place FATCA pour si peu d’argent ?
Si ses motivations ne sont pas financières, alors il y
a de fortes chances que ce qu’il recherche soit le contrôle. Le
nouveau ‘standard global’ rapproche encore un peu plus du
contrôle total de chaque centime que vous gagnez ou dépensez.
Voilà qui colle parfaitement avec la guerre
globale contre la monnaie liquide.
Vous n’avez pas beaucoup de temps, mais vous avez encore
l’opportunité de vous faire avoir par des gouvernements
désespérés en internationalisant votre épargne,
votre revenu, vous-même, et votre présence digitale hors de leur
portée immédiate.
Alors que les gouvernements autour du monde, principalement
celui des Etats-Unis, rendent de plus en plus difficile la diversification de
vos actifs, il existe encore un certain nombre de stratégies de
sortie. Vous trouverez certaines d’entre elles dans le rapport
spécial Going Global
2013, un guide de 144 pages
écrit par les spécialistes du stockage de l’or. Vos
solutions ? Ouvrir un compte en banque à
l’étranger…
obtenir un second passeport et vous installer à
l’étranger… investir sur des devises
étrangères… Pour dire les choses simplement, il
n’existe aucune information importante quant à la
diversification internationale qui n’est pas discutée dans Going Global 2013. En savoir plus
ici.
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