Guerre avec la Russie ? Lettre ouverte à Angela Merkel, par un ancien directeur de la NSA

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Published : September 04th, 2014
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Category : Opinions and Analysis

 

 

 

 

Alarmés par l’hystérie antirusse qui s’empare aujourd’hui de Washington, et par le spectre d’une nouvelle Guerre froide, un groupe de vétérans des services de renseignements secrets des Etats-Unis, dont l’un n’est autre que William Binney, ancien crypto-mathématicien en chef de la NSA qui en mars 2012, un an avant Edward Snowden, avait dénoncé les programmes d'espionnage de la NSA, ont décidé d’envoyer la lettre ouverte ci-dessous, datée du 30 août, à la chancelière allemande Angela Merkel pour lui parler de la fiabilité des médias américains et ukrainiens quant à la question de l’invasion russe :

 

Via AntiWar, Zerohedge et ConsortiumNews :

 

MEMORANDUM A DESTINATION DE: Angela Merkel, chancelière d’Allemagne

 

EXPEDITEUR: Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS)

 

SUJET: L’Ukraine et l’OTAN

 

Nous, soussignés, sommes des vétérans des services de renseignements américains. Nous avons pris la décision inhabituelle de vous écrire cette lettre ouverte afin de nous assurer à ce que vous puissiez vous faire une opinion libre de la question avant le sommet de l’OTAN qui aura lieu les 4 et 5 septembre.

 

Vous devez par exemple savoir que les chefs d’accusation concernant l’invasion de l’Ukraine par les forces armées russes ne semblent pas justifiés par les services secrets. Les preuves qui en ont été avancées paraissent très similaires aux excuses douteuses qui ont été utilisées il y a douze ans pour justifier l’attaque de l’Irak par les Etats-Unis. Nous ne disposions à l’époque d’aucune preuve de la présence d’armes de destruction massive en Irak, et de disposons aujourd’hui d’aucune preuve crédible d’une invasion de l’Ukraine par la Russie. Il y a douze ans, l’ancien chancelier allemand Gerhard Shroeder, qui n’avait pas confiance en la fragilité des preuves avancées, a refusé de se joindre à l’attaque contre l’Irak dirigée par les Etats-Unis. De notre humble avis, vous devriez vous montrer tout aussi suspicieuse face aux allégations faites par le Département d’Etat américain et les officiels de l’OTAN concernant l’attaque de l’Ukraine par la Russie.

 

Le président Barack Obama a tenté hier d’apaiser la rhétorique de ses propres diplomates et des sociétés médiatiques, en décrivant publiquement la situation en Ukraine comme une « continuité des évènements qui se sont déroulés ces quelques dernier mois, qui ne constitue pas vraiment de changement ».

 

Obama, en revanche, n’a qu’un contrôle limité sur les législateurs de son administration – qui, malheureusement, n’ont une connaissance historique que très développée, ne savent pas grand-chose de la guerre, et substituent des invectives antirusses à une politique réelle. Il y a un an, les officiels du Département d’Etat et leurs acolytes des médias sont presque parvenus à persuader Mr. Obama de lancer une attaque contre la Syrie pour des raisons encore une fois basées sur des « renseignements » au mieux douteux.

 

En raison principalement de la proéminence de ces renseignements et de la confiance qui leur est aujourd’hui accordée, notre crainte de voir les hostilités se répandre au-delà des frontières de l’Ukraine n’a pu que grandir ces quelques derniers jours. Plus encore, nous pensons qu’une telle situation puisse être évitée, dépendamment du degré de scepticisme dont d’autres dirigeants européens et vous-même feront preuve lors du sommet de l’OTAN de la semaine prochaine.

 

L’expérience du mensonge

 

Vos conseillers vous auront peut-être remémoré l’historique de crédibilité du Secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh. Il est de notre avis que les discours de Rasmussen continuent d’être rédigés par Washington, chose qui était claire à la veille de l’invasion de l’Irak, dirigée par les Etats-Unis, alors que le Premier ministre danois annonçait devant son Parlement : « L’Irak dispose d’armes de destruction massive. Nous ne faisons pas que le croire. Nous le savons ».

 

Si certaines images peuvent valoir beaucoup plus que des mots, d’autres peuvent décevoir. Nous avons collecté, analysé et étudié toutes sortes d’images satellites, ainsi que d’autres documents. Nous nous contenterons de dire que les images publiées par l’OTAN le 28 août n’apportent qu’une base fragile sur laquelle établir une répartie contre la Russie. Elles sont très ressemblantes à celles présentées par Colin Powell devant les Nations-Unies le 5 février 2003, des images qui elles-aussi ne prouvaient rien du tout.

 

Le même jour, nous avons mis en garde le président Bush au sujet de nos anciens collègues analystes, qui se montraient « de plus en plus angoissés devant la politisation des services secrets », et lui avons décrété sèchement que « la présentation de Powell ne justifie en rien une guerre ». Nous lui avons demandé d’élargir la discussion au-delà de son cercle de conseillers qui clairement étaient en faveur d’un conflit, puisque nous ne voyions aucun intérêt à entrer en guerre, et que les conséquences d’un conflit pourraient s’avérer catastrophiques.

 

Et voyez à quoi ressemble l’Irak aujourd’hui. Il est dans une situation plus que catastrophique. Bien que le président Poutine ait jusqu’à présent fait preuve d’une certaine réserve concernant le conflit en Ukraine, nous avons le devoir de nous rappeler que la Russie aussi peut faire des vagues. De notre point de vue, s’il y avait la moindre chance qu’une situation comme celle-ci afflige l’Europe à cause de l’Ukraine, tous les chefs d’Etat devraient y réfléchir attentivement.

 

Si les images rendues publiques par les Etats-Unis et l’OTAN représentent leur meilleure preuve d’une invasion de l’Ukraine par la Russie, il devrait être clair que tous les efforts sont mis en place pour fortifier les arguments contre la Russie à l’approche du sommet de l’OTAN, chose qui pourrait grandement offenser la Russie. Caveat emptor est une expression avec laquelle vous êtes sans doute familière. Tout le monde devrait se montrer prudent devant les propos de Mr. Rasmussen ou du Secrétaire d’Etat John Kerry.

 

Nous ne doutons pas que vos conseillers vous ont informés de la crise ukrainienne dès le début de l’année 2014, et du fait que la possibilité de voir l’Ukraine devenir membre de l’OTAN est un anathème du Kremlin. Selon un câble daté du premier février 2008 (rendu public par WikiLeaks) et envoyé par l’ambassade américaine à Moscou à la Secrétaire d’Etat Condoleezza Rice, l’ambassadeur américain William Burns aurait été contacté par le Ministre russe des Affaires étrangères, Sergey Lavrov, qui lui aurait fait part de son opposition à l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN.

 

Lavrov aurait parlé d’une « possibilité de voir le problème diviser la nation en deux et entraîner des violences voire, comme le pensent certains, des guerres civiles, qui forceraient la Russie à intervenir ». Burns a donné à son câble le titre « NYET MEANS NYET: RUSSIA’S NATO ENLARGEMENT REDLINES » et l’a immédiatement envoyé à Washington. Deux mois plus tard, à l’occasion du sommet de l’OTAN à Bucarest, les membres de l’OTAN ont déclaré que « la Géorgie et l’Ukraine » en deviendraient bientôt membres.

 

Pas plus tard qu’hier, le Premier ministre ukrainien, Arseny Yatsenyuk, a décrété sur sa page Facebook que suite à l’accord du Parlement qu’il avait lui-même requis, le chemin vers une adhésion à l’OTAN est désormais ouvert à l’Ukraine. Yatsenyuk était bien évidemment le favori de Washington au poste de Premier ministre suite au coup d’Etat du 22 février dernier à Kiev. « C’est Yats qu’il nous faut », a annoncé la Secrétaire d’Etat adjointe, Victoria Nuland, quelques semaines avant le coup, lors d’une conversation téléphonique placée sur écoute avec l’ambassadeur des Etats-Unis en Ukraine, Geoffrey Pyatt. Vous vous souviendrez certainement que c’est au cours de cette même conversation que Nuland a décrété « Que l’Union européenne aille se faire voir ».

 

Le minutage de l’invasion russe

 

La pensée conventionnelle promue par Kiev il y a encore quelques semaines était que les forces ukrainiennes avaient la main sur le conflit qui les opposaient aux fédéralistes anti-coups du sud-est du pays. Mais cette vision de l’offensive ne semblait partagée que par des sources officielles du gouvernement basées à Kiev. Les rapports originaires du sud-est de l’Ukraine étaient très peu nombreux. Il y en a en revanche eu un, citant le président ukrainien Petro Poroshenko, qui est venu remettre en question la fiabilité des rapports du gouvernement.

 

Selon les « services de presse du président ukrainien », Poroshenko aurait demandé le 18 août dernier un « regroupement des unités militaires ukrainiennes impliquées dans les opérations à l’est du pays… Nous avons aujourd’hui besoin de réarranger nos forces afin qu’elles puissent défendre notre territoire et poursuivre leurs offensives. Dans les circonstances présentes, il nous faut considérer une nouvelle opération militaire ».

 

Si par « circonstances présentes », il voulait dire l’avancée des forces ukrainiennes, pourquoi demanderait-il un regroupement de ses troupes ? Les sources déployées sur le terrain ont reporté une série d’attaques à succès portées par les fédéralistes contre les forces du gouvernement. Selon ces mêmes sources, c’est l’armée du gouvernement qui aurait enregistré le plus de pertes et aurait été forcée de reculer, notamment pour des raisons d’inaptitude et de mauvais commandement.

 

Dix jours plus tard, alors que les forces gouvernementales se retrouvaient encerclées et ont dû reculer, on nous a parlé d’une « invasion de l’Ukraine par les Russes ». C’est à ce moment précis que l’OTAN a publié ses images, et que des journalistes comme Michal Gordon, du New York Times, ont commencé à parler de « l’arrivée des Russes » (Michal Gordon était l’un des plus grands propagandistes de la guerre en Irak).

 

Pas d’invasion – mais un soutien de la Russie

 

Les fédéralistes du sud-est de l’Ukraine profitent d’un soutien local considérable, en conséquence notamment des attaques menées par les forces du gouvernement contre des centres urbains. Nous pensons que la Russie leur a également apporté son support, en leur faisant part notamment ses excellentes connaissances en matière de tactique de combat. Mais la possibilité que ce soutien implique aussi des chars et de l’artillerie est loin d’être déterminée – notamment parce que les fédéralistes sont jusqu’à présent parvenus à être mieux organisés que les forces gouvernementales et à les repousser.

 

Il ne fait aucun doute que, lorsque les fédéralistes en éprouveront le besoin, des chars russes leur seront fournis.

 

Et c’est précisément la raison pour laquelle la situation nécessite un effort de cessez-le-feu, que Kiev a jusqu’à présent tenté de repousser. Que faut-il faire aujourd’hui ? De notre point de vue, Poroshenko et Yatsenyuk doivent être prévenus du fait que l’adhésion de leur pays à l’OTAN n’est pas envisageable – et que l’OTAN n’a aucune intention de financer une guerre contre la Russie et n’apporte pas son soutien à l’armée indisciplinée du gouvernement ukrainien. D’autres membres de l’OTAN auraient besoin d’entendre la même chose.

 

 

 

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J'ai cherché et trouvé le pedigree de William B.. j'ai trouvé.
J'ai cherché des infos sur VIPS, pas grand chose.
Cet article a été relayé par de nombreux médias ( AntiWar, Zerohedge et ConsortiumNews plein d'autres ), mais sans jamais mentionner la source première ( sauf will B + vips).
Bref et même si je pense à peu près comme l'article, il semble qu'on ne puisse pas dire a 100% que cette lettre ait vraiment été envoyé par WB ou VIPS a Angela.
Dès lors, si les anti NSA ( dont je fais partie), utilisent peu ou prou les memes méthodes de désinformation que la NSA ( "quelqu'un a dit que, donc c'est vrai" en gros), ça me fait gerber.
Cette lettre a une probabilité non nulle d'etre un hoax. Je dis pas 100%, mais peut etre 5 ou 10, et dès lors il est inadmissible ( selon moi ) de la répandre comme un évangile estampillé .

Bon, cela dit, l'ennemi #1 en ce moment , c'est clairement pas les russes.




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Le projet Européen se dévoile enfin. Il ne s'agit ni plus ni moins, depuis le début, que de constituer un empire. Il ne manquait plus qu'un agresseur extérieur pour obtenir ce qui manquait, une défense européenne.

Attendez vous dans les semaines ou les mois à venir à une mobilisation de nos élites en faveur d'un projet de défense commune pour lutter contre l'ennemi qu'ils sont en train de nous inventer. En découlera naturellement ensuite un besoin pour des services secrets (extérieurs), puis, viendront naturellement les services secrets intérieurs.

Comment dit on en Allemand déjà ? Vous avez dit Geheime Staatspolizei ?

C'est bien ce qu'il me semblait.

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Vous n'avez peut etre pas tout à fait tort.

Pour autant que je sache l'Ukraine ne fait pas partie, de près ou de loin, de l'Europe.

Et pourquoi diable avoir nommé à la tête de l'Europe le président polonais, va t'en guerre en diable, et dont le pays ne fait meme pas partie de l'espace Euro ?
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La Belgique veut des F-35, et avant les élections, la question d'un "department of homeland security" Belge avait été mise sur la table.

Faut voir ce qu'il se passe dans les autres pays...

En tout cas, Hollande vient de plier face aux américains et bloque la livraison des navires de guerre à la Russie... (suite à un chantage ? Barack à Hollande : "flançois, tu bloques la livraison ou sinon on publie tes photos à poil qu'on a trouvées sur ton cloud". )
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Dieu merci il y a encore des hommes honnêtes
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Honnête en effet, mais je n'arrive toujours pas à comprendre comment des gens aussi qualifiés qu'eux peuvent penser un instant que madame Merkel est libre de ses décisions, ils sont tous prisonniers de lobbies en tout genre, d'Obama à Merkel en passant par Hollande, et c'est bien pire aujourd'hui qu'à l'époque de Shroeder.

Ces gens là ne décident de rien, ne controlent rien, tout juste des acteurs suivant un script, et ceux qui essaient de faire les malins, on menace de détruire leur carrière (Clinton avec l'agent du mossad à la rôbe tachées), ou on les tue comme des chiens galeux (Mossadegh, JFK, Saddam, Khadafi...).

Les banquiers dirigent le monde, et ils ont besoin des guerres, comme toujours, et tant que l'on ne prendra pas en compte cet état de fait, on perdra notre temps à tenter de convaincre des traitres de devenir des héros, en oubliant qu'un héros aujourd'hui, ça ne vie pas très longtemps.
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Ok

La Russie n'envoie pas de troupe en Ukraine. Un peu comme elle l'a fait en Crimée, en Tchétchénie, en Modavie (transnitrie) et en remontant encore plus loin en Afghanistan.

Sérieusement, y'a vraiment des gens qui pensent que la Russie n'est pas impliqué militairement (envoie de troupe) en Ukraine.

A chaque conflit à ses frontières, elle a envoyé des bataillons entier tout en jurant qu'aucun Russe ne combattait. Ensuite, elle finit par l'admettre et tlm admettra qu'ils étaient au courant (mais bon on va pas se facher avec la RUssie hein, c'est un gros partenaire commercial)

Cela n'enlève rien aux critiques justifiées des va-t-en guerre. mais autant il est ridicule de verser dans un "Les Russes sont des ogres sanguinaires martyrisant l'honnête gouvernement ukrainien", il est tout à fait aussi stupdie de verser dans un "Les russes ne prodiguent que des conseils militaires aux forces pro russes ukrainiennes"

Même en Russie personne n'y croit. Tlm sait (et approuve) l'envoie de troupes russes. Il n'y a que quelques illuminés pour encore en douter.

Reste la charge de la preuve et en effet, les milliers de combattants Russes ne sont que des "volontaires" qui ont t profités de leurs "permissions" pour aller aider leur compatriotes Ukrainiens :)

Bref, l'Ukraine c'est quand même la porte de l'Europe. Elle ne vaut probablement pas une guerre mais même si on aime pas les USA (et c'est tout à fait légitime), les Russes ne sont clairement pas plus démocratiques mais sont en plus très anti occidentaux.

Bref, entre la peste américaine et le choléra russe, j'ai du mal à comrpendre que certain préferent le choléra...

Bien à vous
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oula 3 pro russes sont passés par là :D

Je ne suis pas non plus une admiratrice de Poutine, car je préfère ne pas juger ces gens sur leurs actions ou non action du premier plan, mais sur le fond, ces petites choses qui ne passent jamais dans les médias, comme le fait que Poutine du coté de l'Asie nous fait le reflet de l'Europe, il crée une union "supranationale" du coté Est, alors que les peuples ont besoin de garder leur souveraineté, en clair ce genre d'agissements n'est en rien une forme de contre pouvoir face à l'empire anglo-saxon ou Américain pour faire plus simple.

Rien qu'hier, j'ai lu que le président de l'Equateur voulait participer à l'effondrement du dollar, et envisage la création d'une monnaie dématérialisée pour y échapper, il est bien gentil mais ce genre de news ça ne fera plaisir qu'aux amis du petit écran, les autres, ceux qui cherchent par eux-mêmes, trouveront cela très louche, car la destruction des monnaies pour du dématérialisé, c'est justement le projet du cartel bancaire, leur fameux nouvel ordre mondial est manifestement mondial, les peuples se font manipuler, ça saute aux yeux pour qui veut voir.
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@Electra

Ce qui pourrait faire capoter ces nouvelles constructions économiques, c'est la fin du pétrole, car les économies nécessaires exigent une relocalisation du pouvoir et non des empires. Le pétrole c'est aussi la guerre (il y a une relation de cause à effet entre le pétrole et le développement des guerres), avec sa fin les forces militaires seront moins nécessaires.
Ils ont surment déjà commencé à forer dans le grand nord, quand on voit les énormes étendues de glace coupés en carré parfait, et que l'on sait que les militaires ont la technologie du laser, on comprend mieux pourquoi il faut absolument croire que si la glace fond aussi vite, c'est uniquement dû à un réchauffement climatique qui lui même serait de notre faute, merde alors, donc y'a des terriens sur toutes les autres planètes du système solaire, vu qu'elles subissent le même cycle de réchauffement.

http://en.wikipedia.org/wiki/Boeing_YAL-1
http://www.popularmechanics.com/technology/military/weapons/10-weapons-that-never-made-it-6#slide-6
http://dai.ly/x90gl2


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c'est vrai qu'un pays où des fillettes de même pas 10 ans apprennent à tirer au fusil automatique, c'est un exemple à suivre..... tout comme un pays qui a grossièrement menti au monde entier au sujet des armes chimiques irakiennes, tout ça pour plonger un pays dans le chaos, menant à l'avènement de l'Etat Islamique.

Je n'ai jamais aimé les Russes, (quand j'étais petit déjà, je disais que les russes étaient "pas bien", durant les dernières années de la guerre froide, et les gens me traitaient de raciste (après m'avoir copieusement insulté et moqué pour mes origines allemandes)), mais honnêtement je peux comprendre que beaucoup de gens choisissent, cyniquement, le camp de la russie dans ce conflit.
C'est bel et bien l'Occident qui a provoqué la déchirure Ukrainienne en voulant forcer un rapprochement prématuré au mauvais moment. La Russie en a profité pour s'accaparer la Crimée et les vastes ressources énergétiques de son territoire en Mer Noire. Ce qui me donne la nausée est le fait que l'Occident s'insurge au nom de la démocratie et de la paix, alors que lui aussi ne pense qu'au pétrole et gaz naturel...

AHh PCq la Russie elle ne pense pas qu'au pétrole et au gaz naturel ? Elle pense au bien être de ses populations ?

Allez sérieusement, on dirait que vous vous réveillez tous d'un long sommeil en découvrant que les nations n'agissent JAMAIS pour une autre raison que leur intérêt personnel (ou ceux de leur dirigeant).

Depuis la nuit des temps c'est comme ca. ON donne une raison "pour le peuple" (Pour DIeu, pour la patrie, pour l'honneur) alors que les véritables raisons sont toujours bassement matériel.

DOnc oui l'Ukraine fait les frais de sa situation géopolitique et ni l'OTAN ni les Russes ne se soucient le moins du monde du peuple Ukrainien (tout comme les dirigeants Pro russe et pro ukrainien)

Cela n'empêche pas de garder les yeux ouverts et d'admettre que l'envoi de troupes Russes en Ukraine est une évidence et la seule raison pour laquelle les dirigeants de l'OTAN ne le disent pas ouvertement c'est pour les enjeux économiques (EN Crimée TLM savait que les Russes y étaient mais personne n'a osé le dire ouvertement)- même chose pour la Tchétchénie ou pour la transnistrie.

Bien à vous


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Extrait de mon message :

"La Russie en a profité pour s'accaparer la Crimée et les vastes ressources énergétiques de son territoire en Mer Noire"

J'ai bien dit, noir sur blanc, ce que vous m'accusez de ne pas avoir dit.

Mauvaise foi crasse ?

Non, je pense plutôt que ceci prouve une bonne fois pour toute que vous n'êtes qu'un sale troll de M... au service de l'UE et des intérêts Américains.
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Manichéisme, quand tu nous tiens...
Tu nous fais dire de belles âneries...
"un sale troll de M... au service de l'UE et des intérêts Américains".

Il y a des moments où je me demande
si tu penses réellement ce que tu dis, Ralph...
Si oui, disposes-tu de tout ton entendement ?
Sûr sûr ?

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La Russie a toujours eu des formations militaires stationnées en Crimée en liaison avec la possession contre loyer de la base de Sébastopol (laquelle Crimée était bien russe jusqu'en 1954 lorsque Staline décida de son plein gré de l'attribuer à l'Ukraine). La Russie a 'subi' la guerre de Tchétchénie parce que celle ci était devenue un repaire d'islamistes financés par l'Arabie (le grand allié démocrate local des USA). On peut lui reprocher de ne pas y être allée de main morte. Cependant, elle est restée loin des scores américains au Vietnam, en Irak et bien d'autres lieux d'Amérique du Sud et d'ailleurs. Quant à l'Ukraine, ce sont bien les USA qui ont financé les groupes qui ont renversé le gouvernement au départ contesté pour sa corruption, organisé et soutenu le nouveau pouvoir (offrant à ceux qui se proclament nazis quelques postes de ministres et pas des moindres), qui dirigent le FMI qui accorde un prêt à ce pays contre engagement à conserver (à tout pris, donc) les provinces de l'Est qui réclament leur autonomie sinon leur sécession. Ce sont bien les USA qui procure à leurs marionnettes fournitures et conseillers militaires. Et ce sont bien les Occidentaux qui, maitrisant parfaitement leurs grands médias, détournent les yeux du massacre des populations de l'Est rebelle effectué par l'armée et les milices de Kiev. Le comble de l'hypocrisie est atteint par Cameron déclarant qu'il se passait de l'autorisation de la Syrie pour bombarder le territoire syrien, jugeant ce gouvernement illégitime et coupable de crime contre sa population. Les récentes élections syriennes sont évidemment sans valeur puisque contraire au jugement des Occidentaux. Par contre, ces mêmes Occidentaux soutiennent à fond le gouvernement ukrainien issu des violences de Kiev et qui qualifie de terroristes les Ukrainiens orientaux qui ont refusé ce coup d'Etat et réclamé leur autonomie et pris les armes pour se défendre. Démocrates, les Occidentaux? quelle plaisanterie.
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bonjour Electra,j'ai lu aussi ErichMariaRemarque,effectivement,il n'y a riende nouveau.bien à vous.
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La Russie a toujours eu des formations militaires stationnées en Crimée en liaison avec la possession contre loyer de la base de Sébastopol (laquelle Crimée était bien russe jusqu'en 1954 lorsque Staline décida de son plein gré de l'attribuer à l'Ukraine  Read more
Sirius369 - 9/5/2014 at 10:49 AM GMT
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