L’Europe est désormais
le point zéro de la guerre contre l’argent liquide.
L’Europe est très
certainement devenue le système politique le plus centralisé du monde :
une région où les décisions économiques et politiques vont du socialisme (le secteur
public représente 30% des emplois allemands sur le « marché libre »)
à un socialisme plus extrême encore (le secteur public représente 56% des
emplois en France).
En Europe, il est
possible pour les banquiers centraux d’établir les politiques les plus
absurdes sans jamais souffrir des conséquences de leurs décisions.
Rappelez-vous que c’est
l’Europe qui a, la première, établi des bail-ins dans le cadre desquels des
dépôts bancaires ont été pillés.
C’est aussi l’Europe qui
a d’abord mis en place une politique de taux d’intérêt négatifs.
C’est aussi l’Europe qui
a interdit l’usage d’argent liquide dans le cadre de nombreuses transactions :
la France et l’Espagne ont interdit toute transaction en liquide supérieure à
1.000 et 2.500 euros respectivement.
Malgré des taux d’intérêt
négatifs et un programme de QE, l’économie européenne continue d’avancer vers
une déflation. La BCE tente donc de mettre en place des mesures plus radicales
encore pour tenter de rédiger du capital vers les actifs à risque.
Que trouvons-nous en
tête de liste ?
L’imposition de frais
exorbitants aux banques qui « accumulent de l’argent ».
Les banquiers
centraux de la zone euro pensent à imposer d’éventuelles amendes aux banques
qui accumuleraient de l’argent, ainsi qu’à acheter davantage de dette à l’issue
de la prochaine réunion de la Banque centrale européenne.
Un peu plus d’une
semaine avant la réunion qui déterminera les prochaines politiques de la BCE,
de nombreuses alternatives sont proposées, comme le rachat des obligations
des villes et des régions ou encore l’imposition d’amendes contre les banques
qui accumuleraient du capital auprès de la BCE.
Les sources officielles,
qui ont demandé à rester anonymes, ont expliqué que le possible rachat de
prêts regroupés qui risquent de ne jamais être remboursés a également été
discuté, bien qu’une politique si radicale reste pour le moment peu probable.
La BCE a refusé de s’expliquer.
Source: UK Reuters.
Accumuler de l’argent
est désormais une mauvaise chose aux yeux des banquiers centraux européens.
La guerre contre l’argent
physique n’est pas terminée. Elle culminera avec l’imposition d’une taxe sur
l’argent liquide, sinon son interdiction définitive.
Nous avons en effet pu
entendre parler de la découverte d’un document expliquant comment la Fed
prévoit d’incinérer l’épargne et de forcer les investisseurs à passer de l’argent
liquide à des actifs plus risqués.
Je
reviens sur ce document ainsi que sur trois investissements clés qui vous
permettront de protéger votre capital contre les sinistres projets de la Fed
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