Le protectionnisme est impossible ! Voyons ! Vous voulez quoi ? Devenir comme la Corée du Nord ? Hahahahahaha, vous êtes un fasciste, un europhobe, vous êtes contre le prôôôgrèèèès, un raciste opposé à la diversité heureuse et enrichissante, vous nous rappelez les heures les plus sombres de notre histoire blablablablabla…
Sauf que nos élites, nos mamamouchis, qui sont des traîtres aux nations qu’ils dirigent sont tous en train de se faire balayer par le ras-le-bol généralisé des peuples des politiques menées depuis des années contre leurs intérets et contre d’ailleurs leurs propres votes !
Croyez-vous que le peuple français a voté pour cette Europe-là ? Non, il l’a refusée, mais Sarko l’a fait quand même et tous les autres !
Croyez-vous que les Français ont voté Hollande pour avoir la loi Travail dite El Khomri ?
Croyez-vous que les Français veulent moins de droits sociaux, moins de protection, etc. ?
Évidemment non !
Les Français sont gentils, mais vous croyez vraiment les boniments des « leaders d’opinion », suppôts du totalitarisme marchand et des grandes multinationales qui se servent de l’immigration comme d’un outil pour avoir une main-d’œuvre corvéable à merci et des salaires moins onéreux ? Non, l’immigration – et la diversité – n’est plus heureuse depuis longtemps !
Elle n’est plus heureuse ni pour les « déjà-là » ni pour les « tout-juste-arrivés » ! C’est un enfer pour tous…
Croyez-vous vraiment que le mondialisme, le chômage de masse, les délocalisations et ce système-là sont dans l’intérêt des peuples ? Bien sûr que non !
Nous sommes, depuis début 2000, dans un capitalisme de vol, de rapine, de violence qui génère des guerres terribles que NOUS menons contre d’autres peuples pour voler leurs ressources et sauvegarder les bénéfices de grandes entreprises contre les peuples de toute la planète !
L’ennemi ce n’est pas Trump, ni Poutine, mais le totalitarisme marchand !
Alors je le dis, à tous nos gentils concitoyens, hélas, totalement lobotomisés par une propagande au raffinement jamais atteint, l’ennemi ce n’est pas Trump, encore moins Poutine, il ne faut pas avoir peur du Brexit. L’ennemi c’est justement le totalitarisme marchand, l’ennemi c’est toute une élite vendue aux intérêts des multinationales qui corrompent la classe politique et dirigeante mondiale.
Alors oui, l’élection de Trump, la victoire du Brexit, et sans doute demain le rejet par les Italiens lors d’un référendum d’une nouvelle réforme sont une excellente nouvelle, celle du vent de l’histoire qui souffle, du refus des peuples de poursuivre cette politique terrifiante qui mène le monde à l’abîme.
Sarkozy a fait la guerre à la Lybie pour voler le pétrole en notre nom !
Les Bush la guerre à l’Irak, à la Syrie, au Yemen, en notre nom !
Nous avons déstabilisé la Tunisie, l’Égypte, la Turquie en notre nom !
En réalité, ce sont nos grandes entreprises, notre système économique qui vont voler l’énergie, car nous menons des guerres pour l’énergie que nous refusons tout simplement de payer à ces pays au juste prix car notre système économique est basé sur une énergie abondante et peu coûteuse !!
Nous faisons n’importe quoi et nous nous étonnons des conséquences comme le terrorisme, car les gens, encore une fois, oublient que pour faire notre plein ici, nous bombardons là-bas !
Nous avons humilié et sanctionné la Russie sans raison réellement valable !
Nous sommes en réalité les méchants ! Non seulement nous n’avons pas de leçon à donner mais surtout, il est indispensable de changer ce que nous faisons et de mettre au pas ces puissances de l’argent.
Rejeter ce système est notre devoir à tous !
Lutter contre cette mondialisation, lutter contre cette pseudo-élite qui trahit les peuples, lutter et dénoncer ces grandes corporations, lutter sans relâche contre les excès de ce système financier est un devoir de citoyen, de tous les citoyens !
Depuis longtemps je suis très inquiet et pourtant, pour la première fois depuis bien longtemps, là où tous les bien-pensants voient un drame, je vois une lueur d’espoir avec le Brexit et l’élection de Trump !
L’espoir effectivement que nous mettions fin à ce système mortifère, et l’une des toutes premières déclarations de Trump a consisté à dire qu’il mettrait toujours les intérêts américains devant mais qu’il le ferait avec justice et dans le respect des autres nations avec qui il veut travailler ! Il ne parle plus d’une Amérique autoritaire, conflictuelle et hégémonique ! Trump veut parler avec Poutine là où Hillary Clinton voulait nous amener vers encore plus de tensions !
L’élection de Trump, c’est un espoir pour reprendre par la force des choses notre souveraineté et d’ailleurs les premières réactions d’Hollande, le soumis au mondialisme, sont pathétiques… Même son de cloche en Allemagne, nos mondialistes européens se retrouvent orphelins !
Nous allons découvrir que le protectionnisme est possible et qu’il est la seule voie pour sortir de la crise terrible dans laquelle nous sommes ! Sans protectionnisme, il n’y a aucun plan de relance possible.
Sans protectionnisme, il ne peut y avoir que de la déflation car les salaires vont vers le moins-disant !!
Sans protectionnisme, il ne peut pas y avoir de fiscalité car évidemment, nous avons organisé le dumping fiscal !
Sans protectionnisme, il ne peut pas y avoir de maîtrise de l’immigration qui, pour être bénéfique, doit permettre l’intégration, et l’intégration n’est possible que si le flux est maîtrisé, le reste étant de la littérature.
Nous allons découvrir, et en France aussi, que le seul chemin possible c’est de reprendre notre destin en main, de reprendre notre souveraineté.
Les Américains viennent d’envoyer valdinguer cette élite mondialiste insupportable qui depuis 20 ans ruine consciencieusement les peuples à son unique profit.
Les Américains viennent de dire qu’il y a une alternative et qu’un autre système est possible.
Les Américains viennent même de nous montrer, comme nos voisins anglais avec le Brexit, que le soleil se levait le lendemain du vote, que les marchés finalement suivaient…
« L’establishment » français peut trembler car il est fort probable qu’il soit balayé dès 2017. Quant à Alain Juppé donné grand favori, il risque, tant il incarne le « système », la « continuité », de se faire littéralement « Clintoniser ».
Trump c’est Marine le Pen !
Sauf que Trump est désormais président des États-Unis et qu’il va falloir que notre mamamouchi du palais, notre carpette élyséenne, aille ramper devant celui qu’il a insulté pendant tant de mois alors que son avis sur les élections américaines était loin d’être utile, un chef d’État n’interférant pas (au moins publiquement) dans le processus démocratique d’un pays, qui plus est allié !
Alors dire que l’élection de Trump est une bonne nouvelle, cela sera forcément faire le jeu du FN. Mais peu importe. Entendez-moi bien : vous pouvez aimer ou pas Marine le Pen et son parti, cela n’est pas l’objet de la présente analyse et ne changera rien au faits.
Dans le monde entier, les dirigeants ne veulent pas entendre la colère qui monte depuis des années, si ce n’est dans un seul pays… le Royaume-Uni.
Le Royaume-Uni, au pragmatisme légendaire, est le seul pays qui a réussi sa décolonisation pas trop bêtement. Pourquoi ? Parce que les élites ont entendu.
Elles ont également entendu pour le Brexit. Et qui met en place le Brexit ? Le FN anglais ? NON ! Les conservateurs anglais « classiques » ! En clair, la classe politique prend en compte le ras-le-bol avant de voir ce que l’on appelle les « populistes » prendre le pouvoir.
Il y a donc deux façons de voir : soit les partis dits « classiques » arrêtent leurs âneries mondialistes, européistes et immigrationnistes, et elles garderont le pouvoir, soit elles continuent (ce qu’elles semblent faire même après la victoire de Trump) et alors elles seront balayées par le vent de l’Histoire.
J’énonce une évidence, pas une prise de position, ce qui n’est pas mon rôle ici dans ces colonnes. Marine le Pen gagnera les élections de 2017 parce que les autres partis refusent d’entendre la souffrance, la colère, la désespérence, mais aussi ce que disent les électeurs depuis maintenant 20 ans. Les anglo-saxons ont été les premiers à ouvrir le bal, nous allons emboîter le pas et renverser la table que cela plaise ou non à nos chiens de garde du système actuel. De la même manière que la décolonisation était inéluctable, la démondialisation l’est également et avec elle, la fin de l’Europe, de l’euro et de la déliquescence des États, seuls échelons valables de la souveraineté et de l’expression démocratique.
Le monde change, et pour la première fois, il change vers un sens qui est porteur de lueurs d’espoir, et aussi de grands dangers, ne le cachons pas. La transition vers une démondialisation sera complexe, difficile, mais elle reste indispensable.
Va-t-on réussir à le faire de façon équilibrée et intelligente ? Rien n’est écrit, rien n’est sûr.
La politique est tout et l’économie n’est que de l’intendance ! Nous avons laissé l’intendance gagner à notre détriment. Nous devons reprendre le pouvoir et mettre l’économie au service des peuples et pas l’inverse. Comme tout combat, il sera douloureux et difficile. La victoire n’est pas certaine, mais le combat, lui, doit-être mené avec courage et fierté pour façonner un autre monde.
Il est déjà trop tard. Préparez-vous !