Au coeur du coffre de la banque d’Angleterre

La visite de coffre-fort décrite ci-dessous fera le plaisir de ceux qui croient toujours dans les clameurs qui veulent que l’or s’y trouve encore, mais ne suffira pas à convaincre tout le monde.

1. Pourquoi la banque d’Angleterre ne s’est-elle pas prononcée quant à l’or qui a été ‘découvert’ sous la ville de Londres ? (Stash of £156BILLION in gold bars"Found" Stored Underground in London Still Not Explained)

Les banquiers auraient-ils pu monter un tel subterfuge ?

2. Et pourquoi les réserves de devises étrangères ne sont-elles pas compartimentées ? Pourquoi existe-t-il seulement un coffre pour tout l’or étranger non-alloué ?

3. Comment le professeur Poliakoff est-il capable de déterminer l’authenticité d’une barre en ne faisant rien de plus que poser son regard dessus ? Bien qu’il appartienne à la société royale, je doute qu’il soit capable de voir si une barre d’or est ou non fourrée au tungstène.

4. Pourquoi la Fed et la banque d’Angleterre ne cessent-elles de reporter le rapatriement de l’or des banques centrales qui en font la demande ? Ce n’est pas une surprise si cet or n’est soumis à aucun audit indépendant.

Que pouvons-nous bien y faire… Les gens qui peuplent notre monde ont d’autres chats à fouetter et se réconfortent à l’idée que leur or est en sécurité entre les mains des Rothschild. Les banques centrales s’apprêtent-elles à répliquer contre ces banquiers pour avoir osé faire une demande si arrogante et insensée ?

Commentaire posté par Tyler Durden le 9 décembre 2012

Pour ceux qui pensent qu’une présentation documentée de l’or physique détenu par la plus ancienne banque centrale du monde ne puisse se produire que dans un film tourné à Burbank, en Californie, voici une vidéo du professeur de chimie de l’Université de Nottingham Martyn Poliakoff se promenant dans les boyaux du second plus important dépositaire d’or du monde (son premier commentaire ‘la première réaction qui me vient à l’esprit est que tout cela ne peut être vrai’ pourrait s’avérer bien plus exact qu’il pourrait l’imaginer).

Pourquoi la banque d’Angleterre abandonnerait-elle son habitude de conserver son or à l’écart du regard du public, tout particulièrement en sachant que Goldman est sur le point de prendre les commandes de cette institution d’impression monétaire des plus vénérables ? Je suis cependant content qu’elle l’ait fait : il est clair que la Fed de New York suivra très bientôt son exemple en faisant appel à un professeur de chimie Américain chargé de documenter les centaines de tonnes d’or qu’elle détient elle aussi 80 pieds sous terre – tant qu’il ne s’agit pas d’un membre du parlement Allemand… Si quelqu’un aperçoit les barres d’or de la Bundesbank, qu’il nous le fasse savoir…

ZH