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La dernière
religion à la mode est celle du réchauffement climatique, ou devrais-je dire
du changement climatique. Certains se contentent même de climat, comme dans « sceptiques
du climat ». Excusez-moi, mais n’avons-nous pas toujours eu un climat ?
A-t-on soudainement réalisé son existence ? Si la religion qui l’entoure
est suffisamment déconcertante, le ton strident employé à l’égard de ceux qui
ne voient pas les choses du même angle est plus terrifiant encore. Certains
individus à la « compétence » reconnue ont appelé à la condamnation
de tous ceux qui penseraient différemment. Le racket du climat a été
construit autour de la fraude. En 2007, des « scientifiques » des Nations-Unies nous
ont expliqué que nous n’avions plus que huit ans
pour combattre le réchauffement climatique – oups. (En 2007, le terme
réchauffement climatique était à la mode, on parle maintenant de changement
climatique). En 2007 également, les « scientifiques » des Nations-Unies
nous ont annoncé que notre Salut résidait en la taxe
carbone. Voilà qui semble familier. Les voilà prêts à utiliser de fausses
vérités scientifiques, de fausses actualités, pour handicaper l’économie du
monde, afin que ces globalistes dégoûtants puissent s’en mettre plein les
poches. Tout en portant atteinte à des milliards de gens honnêtes. Et en
passant outre un autre désastre potentiel susceptible de nous tomber dessus,
comme par exemple un refroidissement climatique.
La « science »
promue par les grotesques (de bien des manières)
hypocrites qui se réunissent à Davos, est généralement utilisée pour les
enrichir, ainsi que leurs camarades globalistes. Ils se moquent complètement
du changement climatique. J’ai du mal à comprendre comment ils ont pu rallier
tant de scientifiques, d’universités, de groupes médiatiques et de
politiciens des quatre coins du monde à leur cause. Ceux qui se sont lancés
dans le mouvement juste pour l’argent l’ont au moins fait pour une raison
compréhensible (bien que répulsive). Mais qu’en est-il des autres ? Ceux
qui ne tirent rien de leur fanatisme ? Et qu’en serait-il si la Terre ne
se réchauffait en fait pas du tout ? Qu’en serait-il si
elle avait commencé à se refroidir – significativement ? Faisons-nous
face à un nouveau minimum de Maunder ? C’est ce que pensent
certains scientifiques, qui ont été vilipendés et ridiculisés (bien qu’ils se
soient montrés courageux et éthiques). La professeure Valentina Zharkova a mené des recherches troublantes qui
vont bien au-delà des cycles solaires de onze ans. Elle et ses collègues s’inquiètent
de l’arrivée imminente d’un nouveau minimum de Maunder, dont le précédent s’est
inscrit dans le Petit âge glaciaire.
Le cycle
solaire actuel, le 24e en son genre, est le plus faible en
cent ans, et ne devrait pas atteindre son minimum avant encore de nombreuses
années. Mais nous sommes déjà en phase de refroidissement. Comme le montre le Dr Sircus, même les escrocs de la NOAA ont
tenté de dissimuler le fait que notre planète n’a pas souffert de
réchauffement depuis 60 ans. Elle a même enregistré un refroidissement en
1979, puis une phase de léger réchauffement autour de 2010, causée par l’activité
des taches solaires. Comme l’explique la professeure Zharkova, nous sommes de
nouveau en phase descendante depuis 2012. Certains scientifiques sont d’avis
que ce n’est pas la hausse des émissions de CO2 qui est responsable du
réchauffement climatique, mais le réchauffement climatique qui fait augmenter
les émissions de CO2.
Le physicien
solaire russe, Habibullo Abdussamatov, a fait quelques observations
intéressantes concernant l’hystérie climatique. Il pense que les théories
actuelles sont établies à l’envers, c’est-à-dire qu’elles confondent cause et
effet. La hausse cyclique de l’activité des taches solaires jusqu’en 2012 a
généré un réchauffement des océans qui ont ensuite émis plus de CO2. Ce n’est
donc pas la hausse des émissions de CO2 qui a généré le réchauffement
climatique, mais le réchauffement climatique qui a accru les émissions. Le
professeur Abdussamatov pense que le coupable n’est autre que le Soleil. Comment notre planète aurait-elle autrement pu
traverser des phases de réchauffement avant que l’homme moderne commence à
brûler des combustibles fossiles ? Les études menées par le professeur sur
des échantillons de noyaux de glace montrent qu’une hausse des émissions de
CO2 fait toujours suite aux cycles de réchauffement plutôt que les précéder.
La législation, la taxe carbone et la tournée en ridicule des climato-sceptiques
rendront-elles une période difficile pire encore qu’elle ne devrait l’être ?
Une chose est certaine : une majorité du capital « informé »
est positionné en prévision d’un réchauffement climatique. Sur le long terme,
il s’agit peut-être de la position la plus spéculative de tous les temps. Il
est bien plus sensé de contempler la possibilité du scénario opposé.
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