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Dis papa, c’est quoi la valeur d’un homme et celle de Pierre Gattaz ?

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Published : May 14th, 2014
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24hGold - Dis papa, c’est quoi...

Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !

Cette question il ne me semble ne jamais l’avoir posée à mon papa tant la réponse m’a semblé toujours évidente. À quoi mesure-t-on la valeur d’un homme ? Je fais partie de ceux qui pensent que la richesse d’un individu n’est pas matérielle et que les Rolex et autres attributs de la fortune matérielle ne pèsent pas lourd, voire ne pèsent pas du tout.

Ce qui fait d’un homme un homme, c’est un corpus de valeurs et de convictions, ce qui fait d’un homme un homme a été particulièrement bien exprimé et d’une manière tout simplement poétique par Rudyard Kipling

Ce qui fait d’un homme un homme, c’est son courage, sa constance, sa sagesse, sa pondération, sa capacité d’amour, de désintéressement, sa manière de tendre la main.

Tu seras un Homme, mon fils (avec une pensée toute particulière pour le président du Medef)

Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;

Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur ;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.

Mais… Pierre Gattaz veut couper court à la polémique sur son salaire

Comme vous avez dû en entendre parler, Pierre Gattaz, le président du Medef, a perçu en tant que patron de Radiall une rémunération en hausse de 29 % en 2013.
D’après un article du Monde, « lors de sa conférence de presse mensuelle, mardi 13 mai, le président du Medef, Pierre Gattaz, a estimé mériter «des félicitations» et non une polémique sur son salaire ».

L’affaire du salaire du patron des patrons a été révélée il y a quelques jours par Le Canard enchaîné qui indiquait que Pierre Gattaz avait perçu « une rémunération en hausse de 29,4 % en 2013, touchant 420 000 euros, dont 102 000 euros de part variable. Un paradoxe, souligne l’hebdomadaire satirique, alors que le même homme prône, en tant que représentant du patronat, l’appel à la modération salariale et à l’exemplarité. Sur la même période, les salaires de ses employés n’ont augmenté que de 3,3 % ».

Alors qu’est-ce qui fait la valeur financière d’un homme ? Rien. En réalité, rien ne justifie des écarts de salaires aussi prononcés lorsqu’il s’agit de patrons salariés.

La valeur de l’entrepreneur !

Un patron comme Gattaz n’est jamais rien qu’un bougre plus ou moins bon à la bonne place au bon moment, bénéficiant d’un facteur chance non négligeable. Sa société existait avant lui, pour tout dire d’ailleurs c’est en 1994 qu’il reprend la direction de l’entreprise familiale Radiall, créée par Lucien et Yvon Gattaz son papa. Merci papa qui lui avait créé cette maison en 1952.

Monsieur Gattaz junior est avant tout un héritier. Je ne le connais pas personnellement et il n’y a aucune honte à hériter, il y a une honte à ne pas se montrer digne. Une honte à demander aux autres ce que l’on ne s’applique pas à soi-même. Là réside le problème « moral » que Monsieur Gattaz doit résoudre pour être un homme.

Dans le capitalisme, c’est l’entrepreneur qui doit être privilégié dans le sens où c’est lui qui anime l’économie et la développe. L’entrepreneur prend des risques. Pas le salarié, fut-il patron ou pédégé. C’est à ce niveau qu’il ne faut pas qu’il y ait pas de confusion.
Quelle est la valeur d’un homme salarié ? Celle d’un salarié. Nos grands patrons ne sont rien qu’une caste d’ultra-privilégiés s’arrogeant des droits injustifiables au mépris des autres. C’est l’ère de l’enrichissement à outrance, du gavage généralisé.

Il ne faut pas limiter le salaire des patrons ! Il faut l’indexer sur celui de ses salariés !!

Je pense qu’un patron salarié est donc avant tout un… salarié. Ne prenant pas plus de risques, il n’a pas à être plus récompensé que la moyenne, et son travail ou sa stratégie, bien souvent, ne repose que sur le travail de centaines ou de milliers de collaborateurs. Là encore, ne donnons pas dans l’homme providentiel.

Ce qui serait passionnant, ce serait d’indexer l’évolution du salaire du chef sur l’évolution du salaire moyen dans l’entreprise. Si les salaires augmentent de 10 %, alors il peut s’augmenter de 10 %. Si les salaires montent de 3 % comme chez Radiall, alors Monsieur Gattz ne doit pas s’augmenter de 29 %, même s’il s’agit de la « part variable » qui est évidemment une fausse excuse.

Quelle est donc la valeur d’un homme ? Monsieur Gattaz « pèse » plus de 400 000 euros annuel financièrement parlant, moralement en revanche, il n’y a pas à dire, je me demande quelle est la valeur de cet homme.

On ne peut diriger que par l’exemplarité. On ne peut demander des efforts à autrui… qu’en les faisant soi-même. Ce que fait Monsieur Gattaz, à savoir s’empiffrer en demandant doctement au petit peuple de se serrer la ceinture, est parfaitement légal. Mais cela n’est pas moral et ne donne pas beaucoup de valeur à l’homme. Un peu de grandeur d’âme Monsieur Gattaz !

Préparez-vous et restez à l’écoute.

À demain… si vous le voulez bien !!

Charles SANNAT

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

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J'aime bien ce passage au sujet de la valeur d'un humain.

« La valeur d’un humain, ou son mérite, est comme celle de toute autre chose, à savoir son prix, autrement dit en autant qu’on serait prêt à payer pour utiliser sa puissance. Elle n’est donc pas absolue, mais dépend du besoin ou du jugement d’autrui. Un chef militaire compétent est d’un grand prix en temps de guerre déclarée ou imminente, mais pas en temps de paix. Un juge éminent et incorruptible a beaucoup de valeur en temps de paix, il n’en a pas en temps de guerre. Et il en est des humains comme les autres choses, ce n’est pas le vendeur, mais l’acheteur qui en fixe le prix. En effet, un humain (comme le font la plupart d’entre eux) est libre de s’attribuer la valeur la plus élevée qu’il peut, il en reste que sa véritable valeur ne se situe pas plus haut que celle à laquelle les autres l’estiment. »

« Thomas Hobbes » philosophe anglais, extrait du livre Le Léviathan, 1651.

Et nous voilà 350 ans plus tard à nous poser cette fichue question en ces temps de pure folie salariale. Et si on appliquait ce raisonnement... y aurait-il des salaires aussi plantureux? J'en doute...
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Yes merci pour Kipling. :-) un très grand !

Cher Charles,
en remerciement d'avoir abandonné l'antienne "L'hiver vient"
et en écho poétique à ce morceau de Kipling que tu nous a offert,
je vais amener à mon tour un peu de poésie.

Je ne connais pas l'auteur (car il n'est pas mentionné),
mais ce texte figure sur une étiquette - de très bonne facture ! -
d'un Châteauneuf-du-Pape 2005.

C'est en ancien français et je le reproduis TEL QUEL, à la lettre près
(ce qui peut parfois poser de petits problèmes de lisibilité,
mais qui en fait aussi le charme) :


LE BONHEUR DE CE MONDE

Avoir une maifon commode, propre & belle,
Un jardin tapiffé d'efpaliers odorants,
Des fruits, d'excellent vin, peu de train, peu d'enfants
Poffeder seul, fans bruit, une femme fidèle.

N'avoir dettes, amour, ni proces, ni querelle,
Ni de partage a faire avecque fes parens,
Se contenter de peu, n'efperer rien des Grands,
Regler tous fes deffeins sur un jufte modele.

Vivre avecque franchife, & fans ambition
S'adonner fans fcrupule a la devotion,
Domter fes paffions, les rendre obeiffantes.

Conferver l'efprit libre, & le jugement fort,
Dire fon chapelet en cultivant les entes,
C'eft attendre chez foi bien doucement la mort.


Après ça, qui osera contredire "In vino veritas" ?

Encore merci à Charles pour ses articles hors sentiers battus,
qui donnent des commentaires... hors sentiers battus.


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Christophe PLANTIN (1514-1589)
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Bravo, michel.a.collin ! Sincèrement : bravo !
Un sacré tour de force que vous avez réussi là...


Je ne connaissais ce texte que de titre et...woaw, pardonnez ma vulgarité spontanée mais quel putain de beau poème, merci de me l'avoir fait lire !!
« En réalité, rien ne justifie des écarts de salaires aussi prononcés lorsqu’il s’agit de patrons salariés. »

Je suis d'accord. Un patron n'a pas à justifier son salaire, c'est son affaire.
Tout comme un Juifs n'a pas à justifier son existence, tout comme un handicapé n'a pas à justifié son utilité… :p

j'en ai assez de ceux qui estiment avoir un droit sur autrui, exigent des justifications sur ce que les autres font ou sont…

Qu'ils aillent se faire cuire un oeuf !
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Dans l'Organisation des Nations Unies, 197 nations sont représentées.

Quand nous regardons ces 197 nations, que voyons-nous ?

- Nous voyons 28 nations qui ont construit une union : l'Union Européenne.

- Mais sur tous les autres continents, nous voyons 169 nations qui gardent précieusement le contrôle de leurs lois nationales, 169 nations qui gardent précieusement le contrôle de leurs frontières nationales, 169 nations qui gardent précieusement le contrôle de leur monnaie nationale, etc, etc.

Bref : nous voyons 169 nations qui sont souverainistes.

Partout ailleurs, sur tous les autres continents, 169 nations sont souverainistes.

En Europe, nous sommes l'exception : il n'y a que nous, en Europe, qui ne sommes pas souverainistes.

Les européistes sont comme les 28 neuneus qui sont montés dans un bus, et leur bus s'est engagé à contre-sens sur l'autoroute !

A l'intérieur du bus "Union Européenne", les 28 neuneus n'arrêtent pas de rigoler. Les 28 neuneus disent en rigolant : "Regardez tous ces idiots : ils se sont tous engagés à contre-sens sur l'autoroute !"

Les 28 neuneus ne devraient pas autant rigoler.

Nous savons comment finissent les véhicules qui s'engagent à contre-sens sur l'autoroute.
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C'est vrai, ça m'est déjà arrivé (pas sur l'autoroute, je précise) : un jour en voulant prendre le tram, je le vois arriver et je me dis "ces abrutis de la STIB, le tram affiche le terminus dans l'autre direction, quel nul !!!"..... et l'arrêt suivant je remarque que non, c'est moi qui m'étais rendu sur le mauvais quai ... la honte.
Mais voilà, ce genre d'aveuglement temporaire ça existe, même chez moi qui fait toujours attention, critique tout et tout le monde,... c'est ce qui arrive quand à un moment on se replie un peu trop sur soi-même (ce qui était mon cas ce jour-là, perdu dans mes pensées)..... or l'UE fonctionne justement en autarcie, se regardant tout le temps le nombril.

Bon article, mais attention, Pierre GATTAZ et les patrons du CAC 40 ne reflètent pas la réalité des patrons de PME, PMI ou des artisans qui sont le premier employeur en France ! Le gouvernement nous pondra surement un loi pour limiter, encadrer, ... le salaire de ces patrons là, mais comme la loi pour le 75%, comme la loi sur les retraites à 60 ans, comme la loi sur le mariage pour tous, ... ce ne sont des lois qui concernent une minorité ! les patrons aujourd'hui ont le couteau sous la gorge et la corde au cou !
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Dans un autre registre, le Ministre Allemand de l'Economie vient de déclarer que l'UE a commis une erreur (et est donc responsable) avec l'Ukraine en la forçant à choisir radicalement entre UE et Russie.

Cela sent la rupture pour bientôt...divorce UE-Allemagne en vue (surtout que c'est le ministre de l'économie qui le dit, pourquoi lui ? aha... )
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"Préparez-vous et restez à l'écoute"...
Merci Charles !
Je vois que tu es à l'écoute (!) des requêtes qui te sont adressées,
contrairement à nos sourds politicards.
Merci, merci et merci encore.
Reconnaissons ensemble que ça a quand-même plus de "gueule" sans incongru leitmotiv...

En outre, très beau poème de Kipling.
... Même s'il a sans doute dû être un peu "tordu" pour garder des rimes après traduction.

Merci (une dernière fois) pour "l'hiver", que l'on doit laisser venir en son temps
sans l'appeler précocement de nos anachroniques incantations.

Cordialement
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A ce propos, je viens de recevoir un spam publicitaire avec un message qui m'a quelque peu choqué. Une société propose des conférenciers et des artistes pour "vos événements" - choisissez parmi plus de 800 conférenciers (avec quelques noms listés) et 10 000 artistes.

En gros, ces êtres humains à haut potentiel intellectuel et artistique, sont devenus de la marchandise qu'on peut louer pour meubler un événement.

Autrefois, les ouvriers étaient de la marchandise, mais les artistes et intellectuels étaient des individus à "haute valeur".

Aujourd'hui, le monde moderne les a enfin mis sur un pied d'égalité : tout le monde est de la marchandise, point.

Voilà le progrès...

(pensons au nivellement par le bas de l'éducation)
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Un ouvrier vend la force de ses bras, un artiste vend les résultats de son talent, etc... Ca n'a rien d'extraordinaire, c'est même la base de l'économie. Dans une société capitaliste les gens sont libres de vendre le produit de leur travail à qui ils veulent, pourvu que l'acheteur soit d'accord sur le prix.
Je remarque que dans les sociétés socialistes c'est loin d'être le cas, l'état réglemente tout, y compris le coût du travail. Peut-être parce que les socialistes confondent marchandisation du travail et marchandisation des travailleurs. C'est comme ça que je comprends votre commentaire. la société en question ne "vend" pas les artistes, elle est un intermédiaire qui "trouve" des acheteurs pour leurs produits.
Et si Mr Gattaz vend trop cher ses services, la société qui l'emploie saura quoi faire.
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Les artistes ont toujours été de telles "marchandises."
Maintenant, ils vont passer d'allocataire privilégiés à personne devant faire comme n'importe qui pour vivre, c-a-d convaincre ceux qui le rémunèrent. C'était comme ça avant 59, époque où la France brillait par sa culture…

Mais peut-être considérez-vous que les privilèges de l'ancien régime et l'exception culturelle ont du bon…
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Le chef doit TOUJOURS montrer l'exemple. Et pour être détenteur d'une autorité, il faut être crédible.
Ce n'est le cas ni des partenaires sociaux ni des dirigeants du pays, et encore moins à la tête de l'état.
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Gattaz n'est que le chef de son entreprise. Et son entreprise performe.
Depuis quand en France il faut renoncer à son salaire pour donner son avis ?

Le sentiment antipatron devient vraiment n'importe quoi. Ce pays n'est pas encore sorti de l'auberge communiste…
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La politique de Hollande et celle de Sarkosy
(comme avant celle Chirac et de Mitterrand)
appartenant au même gloubi-boulga socialo-libéral,
si vous appelez cela "communisme",
c'est que vous avez un sacré problème
dans le maniement des concepts politiques...


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mmm. OK, mais dites un peu ce qu'elle a de libéral, pour le coup
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A moins de prétendre que Sarkosy était un socialiste en tenue de camouflage,
je ne vois pas trop ce que je pourrais ajouter...

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Sachant que chaque points du programme du PCF de 81 sont adoptés, où est le socialo-libéralisme ?
http://www.contrepoints.org/2014/04/02/161725-il-y-a-33-ans-deja

« si vous appelez cela "communisme",
c'est que vous avez un sacré problème »

La psychiatrisation de l'opinion… Si répandu dans les pays communistes…
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La manipulation de l'opinion, là, en l'occurrence, c'est vous !!!

J'ai écrit :
"si vous appelez cela "communisme",
c'est que vous avez un sacré problème...
DANS LE MANIEMENT DES CONCEPTS POLITIQUES"

Ce n'est pas tout-à-fait la même chose !!!

Alors de deux choses l'une :
ou vous ne savez pas lire,
ou vous essayez de faire passer des vessies pour des lanternes
aux yeux des autres intervenants qui pourraient tomber sur ces lignes.

Etant persuadé que vous savez lire correctement,
j'opte pour la seconde alternative.

Le coup est bas et mesquin,
non digne d'un échange d'idées
entre personnes sensées et réfléchies.

Là il n'y a pas d'échange : vous affirmez.
De surcroit, vous affirmez des âneries (car sans objectivité aucune)
avec pour seul "soutien" cet intégriste de Seize.

"Communisme" a un sens et doit être utilisé à bon escient.

Dire que Sarkosy était un communiste, par exemple, est une ânerie.

C'est en gros ce que vous seriez prêt à soutenir,
par délirante idéologie.

Je refuse ce "glissement" de la raison.
C'est tout.



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« Le coup est bas et mesquin, »

Les faits parlent d'eux-mêmes et ne sont ni des coups bas, ni mesquins.

Enfin, de toutes façons vous fonctionnez ainsi : si c'est bien, c'est du communisme, si c'est mal, c'est du libéralisme.

Voilà comment pense STEPHANE.BOUILLOT, grand intellectuel sur 24hgold…
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Ce que tu viens d'écrire est profondément idiot,
et prouve que tu n'as strictement rien compris
à l'objet exact de mon intervention,
pas davantage qu'à son sens.

Tu es toujours comme ça,
ou c'est aujourd'hui spécialement ?

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« Le coup est bas et mesquin, » Les faits parlent d'eux-mêmes et ne sont ni des coups bas, ni mesquins. Enfin, de toutes façons vous fonctionnez ainsi : si c'est bien, c'est du communisme, si c'est mal, c'est du libéralisme. Voilà comment pense STEPHA  Read more
ph11 - 5/16/2014 at 5:04 PM GMT
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