Et pourquoi pas une petite taxe sur le pinard ?

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Published : May 31st, 2013
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Category : Opinions

Vous le savez, la République Française a toujours été égalitaire. Follement, même. Et à mesure que son peuple se faisait à l’idée d’une solidarité permanente, totale et étanche à tout ennui d’un monde réel jugé trop piquant, cette République s’est aussi faite Citoyenne et Festive. Enfin, c’était jusqu’à maintenant. Au rythme où l’on va, elle ne sera bientôt plus que citoyenne, et encore…

Ici, je pourrais écrire quelques saignants paragraphes sur les déchirements qui agitent tout le peuple français, partagé entre ceux qui veulent absolument étendre leurs désirs à tous, ceux qui n’en veulent rien savoir, et la masse informe et sans voix de ceux qui voudraient surtout qu’on les laisse travailler, innover et embaucher tranquillement. Oui, quelques lignes à ce sujet seraient assez faciles à placer tant on peut palper la tension qui occupe tout le monde actuellement.

24hGold - Et pourquoi pas une ...

Mais de progressivement « Moins Festive » suite à une véritable avalanche de mauvaises nouvelles (dont toutes n’échappent pas à la responsabilité de la brochette de bras cassés au pouvoir), la France va passer à « Pas Festive Du Tout ». Certes, on a déjà compris que l’État, aux abois, racle les fonds de tiroirs de tous les côtés possibles (de nombreux hôpitaux sont techniquement en faillite, les services de l’armée sont au taquet ou en carafe, …). Certes, les ministres, volatiles maladroits et trop grassouillets pour pouvoir s’envoler, s’agitent en multipliant les idées stupides, pris d’une législorrhée carabinée.

Certes. On a bien intégré que tout ce petit monde n’était plus en mode « Détendu du Petit-Four » et avait compris que la crise n’était finalement pas aussi bidon qu’ils le croyaient quand ils étaient encore dans l’ « opposition ». Mais tout ceci n’est, pour ainsi dire et si vous me passez l’image éthylique douteuse, que petite bière comparé à ce qui se trame en coulisse.

En effet, d’insistantes rumeurs font état d’un projet de taxer à nouveau et encore plus … le vin.

Oui, vous avez bien lu : alors que ce produit est, d’une part, déjà largement taxé (on est en Socialie depuis 40 ans, je vous le rappelle) et d’autre part, probablement dans le top 3 des produits qui caractérise si bien la France, la Mission d’évaluation et de contrôle de la sécurité sociale (MECSS) du Sénat, présidée par les sénateurs Yves Daudigny (PS) et Catherine Deroche (UMP), a entamé une « réflexion » pour savoir comment extirper encore un peu plus de pognon de la poche des Français au travers d’une nouvelle taxe sur le précieux liquide.

Bien évidemment, et comme toujours dans pareil cas de nouvelle ponction débile, le principal artisan de l’idée se veut rassurant :

« Cette fiscalité sera mesurée : de l’ordre de quelques centimes. »

Parce que le coup de la fiscalité mesurée de quelques centimes, on ne nous l’a pas déjà fait sur les téléphones portables, les connexions internet, les disques durs, ou n’importe quel autre produit qu’un de nos furieux parlementaires a décidé de transformer en vache à lait ; et parce que comprenez bien qu’une fiscalité mesurée n’est jamais destinée à perdurer, bien sûr. Ni, soyez-en sûrs, à augmenter régulièrement à la faveur de je ne sais quelle pulsion concupiscente de ces phacochères qui nous dirigent.

Bien évidemment, la raison invoquée n’est pas les trous béants dans les caisses de l’État ; il faut comprendre que nos élus n’ont rien à carrer des problèmes financiers du monstre mou dont ils profitent grassement. Et il ne s’agit même pas, dans ce cas, de trouver un vague financement pour l’une de leurs habituelles parties fines ou autres « œuvres de charité ». Non.

La raison, tout ce qu’il y a de plus officielle, mise en avant par les brillants ponctionnaires, est la suivante, et cadre bien avec la fumisterie globale qu’on nous vend comme « Sécurité Sociale » : il s’agit d’instaurer une fiscalité dissuasive dite « comportementale » pour faire baisser la consommation des Français en alcool.

24hGold - Et pourquoi pas une ...

Bien sûr, pas un journaliste n’aura noté l’implacable incohérence des marquis perruqués qui sortent ce genre d’excuse à leur folie taxatoire. D’un côté, on nous assure sans rire une fiscalité mesurée, et de l’autre, on attend de cette taxe qu’elle soit dissuasive et fasse baisser la consommation. Et le tout est proféré au pays qui a élevé la vinification au rang d’art majeur.

Tout va bien : le foutage de gueule est en Imax-3D et son THX Dolby Surround. Bien sûr, il serait discourtois et probablement illégal de vous proposer d’écrire le fond de votre pensée à Yves Daudigny, le sénateur socialoïde président de cette magnifique mission dont le mail pourrait être y.daudigny@senat.fr ou la page Facebook un truc comme https://www.facebook.com/yves.daudigny (ni de vous rappeler que le mail de Catherine Deroche, son complice alcoolyte, serait quelque chose comme c.deroche@senat.fr …)

Après tout, ce brave homme sénateur ne fait que son travail qui est, semble-t-il, de diminuer le pouvoir d’achat de ces imbéciles de Français qui aiment boire un pichet de rouge à l’occasion, de fusiller le commerce de ces crétins qui le vendent, de saboter les exportations françaises et de culpabiliser ceux qui produisent et ceux qui consomment ce jus de fruit fermenté (et ce sera bien fait pour eux. Quelle idée, aussi !)

Et, je vous le demande, peut-on blâmer un homme sénateur qui s’investit tant dans la santé des Français au point de vouloir leur sucrer le vin, ce méchant liquide plein de sulfites et de tanins ? Peut-on, mes amis, mes lecteurs, mes fiers compatriotes, en vouloir à ce charmant individu sénateur de vouloir instaurer une taxe qui a montré, partout ailleurs, sa parfaite et misérable inutilité, son impact délétère et contre-productif ?

Peut-on blâmer un humain sénateur pris au hasard, paf, au milieu d’une foule, de ne pas être au courant de la furieuse déconfiture de la Fat Tax au Danemark, basée sur le même prédicat si profondément stupide qu’on peut modifier le comportement des gens en les sodomisant fiscalement ?

Non, en vérité, je vous le dis : le sénateur Daudigny, et son excuse paritaire féminine, la sénatrice Deroche, ne peuvent pas être tenus responsables pour leurs velléités à asséner, de nouveau, une taxe aux Français, et qui plus est sur le vin. L’un comme l’autre sont totalement irresponsables de leurs actes : leurs mots dépassent à l’évidence une pensée qu’ils ne peuvent avoir formé, n’étant manifestement pas équipés pour ce genre d’activité psychique. C’est donc avec indulgence que je vous demanderais de juger leurs petits agissements.

Que cette indulgence, cependant, ne vous fasse pas oublier l’évidence qu’avec de tels branquignoles aux commandes, ce pays est foutu.

Source : h16free.com
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H. Seize rédige sur http://h16free.com ses chroniques humouristiques d’un pays en lente décomposition, et apporte des solutions dans son livre, Egalité, Taxes, Bisous. Dans un monde toujours plus dur, et alors que la crise, la vilénie, les aigreurs et les misères allant de la maladie aux bières tièdes font rage, un pays fait courageusement face et propose toute une panoplie de mesures plaisamment abrasives qui permettront d'aplanir les aspérités, gommer les difficultés et arrondir les angles. Ce pays, rempli de gentils et d'aimables tous les jours mieux pensant, est devenu un véritable phare scintillant dans la nuit noire de l'obscurantisme des méchants et des vilains. Et pour mieux scintiller, il s'est doté d'une devise qui est parvenue à se hisser au rang de slogan, d'accroche et de modus vivendi : pour chacun et pour tous, il faudra de l'égalité, des taxes, et des bisous.
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Foutus, je vous dis .
Quand la lutte contre la fraude sert de prétexte à réécrire le code fiscal pour ouvrir de nouvelles voies d’inquisition au fisc C'est sous couvert d'Affaire Cahuzac et de fraude qu'est en train d'être mis en place par nos députés un véritable traquenard fiscal. Et cela par le simple changement d'un mot dans le code fiscal, rendant ainsi punissable l'utilisation des niches légales.
L’oppression fiscale est bel et bien en marche, et la tournure que prennent les choses est réellement glaciale...
l’affaire Cahuzac ayant éclaté avec ce qu’on sait d’absence totale de toute remise en question de la part des politiciens, tant de droite que de gauche, il a été promptement décidé, par ceux-là même qui étaient finalement les plus directement concernés, que toute cette vilaine évasion fiscale du Paradis Taxatoire Français devait être combattu âprement. Parce que bon, les finances du pays ne peuvent souffrir d’un tel drain (qui commence à se voir). Bien évidemment, il s’est rapidement révélé (sans surprise) que cette affaire aura servi de prétexte à réécrire une partie du code fiscal, judicieusement choisie pour offrir de nouvelles voies d’enquêtes et d’inquisition de la part du fisc. En substance, le projet de loi« relatif à la lutte contre la fraude fiscale et la grande délinquance économique et financière » prévoit notamment, comme je l’expliquais, la possibilité de recours à des techniques d’enquêtes spéciales ; rassurez-vous, les fers chauffés au rouge et le plomb fondu dans la gorge n’en font pas encore partie, mais il est probable que certains de nos élus y ont pensé, même si de façon seulement fugace. Pour le moment, il s’agit surtout de laisser au fisc la liberté d’utiliser des preuves éventuellement obtenues de façon illicites, ce qui est tout à fait bisou-compatible avec une République qui respecte les droits de l’Homme... le brave Philippe nous propose de modifier un peu la loi entourant la notion d’abus de droit. Il veut ainsi, et je cite la proposition,« renforcer la procédure de l’abus de droit en élargissant son champ d’application aux cas où les actes mis en cause répondraient à un motif essentiellement fiscal. » ... En quelques années de fiscalité millimétrique comme seuls l’Assemblée Nationale et Bercy sont capables de concevoir, cette notion est devenue la pierre d’angle de biens des inspecteurs des impôts, trouvant en elle un bon argument pour redresser du contribuable par paquets de douze...
atlantico
L'EXODE MÉDICAL
De plus en plus de médecins spécialistes Français se "cassent". Au Quebec depuis l'accord d'équivalence signé il y a trois ans. Et en Belgique, où le nombre de médecins Français a progressé de 42% en 5 ans.
mornink
Bienvenue aux élites .
J'en suis très content .
Ils sont fauchés alors ils en sont à trouver des prétextes pour taxer. De toute façon à paris ils s'en fichent du vin; Ils n'en produisent pas.
Dans le Sud de l'Occitanie, c'est un secteur économique majeur mais ils s'en fichent, c'est pas chez eux. hé bien chiche ! Barrez vous les français, on est assez grands pour se débrouiller tout seuls, nous les Occitans. Et en plus on ne met pas de sucre dans le raisin pour faire du degré, on n'en a pas besoin.
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Au lieu de picoler , les assistés devraient travailler.
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TOI tu devrais te mettre à picoler à temps plein
et lâcher ce site,
vilain troll délétère !



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Comment la France a tué mon envie d'entreprendre
Alexandre Denjean | Consultant




J’ai actuellement 34 ans et je me considère comme un vétéran de la guerre contre l’administration. Je vais vous raconter les deux pires années de ma vie.

Ayant appris à faire des sites internet en autodidacte, je décide en 2008 de créer une entreprise pour développer cette activité, car je souhaite aussi que les sites web de ma ville soient moins affreux. Pour un webdesigner, ces sites font en effet « mal aux yeux ».

Un ami retraité de la fonction publique (impôts) m’indique que fiscalement, le plus intéressant pour moi est de créer ma micro-entreprise. Je me renseigne également à la chambre de commerce et d’industrie de la ville de Sète, où l’on m’explique que je devrai payer l’Urssaf, mais sous forme de forfait trimestriel. On ne m’a jamais parlé d’autres charges supplémentaires.

L’image idyllique du statut d’auto-entrepreneur

Durant l’année, tout se passe plutôt bien. J’achète pour 5 000 euros de licences et je débute mon activité. Je me rends toutefois rapidement compte que je n’ai pas la patience nécessaire avec les clients que je qualifierais de pénibles (ceux qui ne sont jamais contents et qui, au final, essayent de vous arnaquer).

Mes premières cotisations tombent et, sans aucun problème, je paye avec un fond de caisse au minimum mais suffisant pour tenir un an.

En décembre, j’entends parler du statut d’auto-entrepreneur avec le portrait idyllique que nous en a tracé le gouvernement. Me servant principalement de cette entreprise comme d’un apport supplémentaire par rapport à mon principal travail de salarié, je me dis que cela me convient parfaitement. Du coup, en janvier 2009, je m’inscris. Les problèmes commencent, ainsi qu’une bataille administrative sans fin...

Dès les premier mois, je suis surpris car je ne reçois aucun courrier de confirmation ; pourtant mon inscription avait marché car le site web m’avait indiqué que j’étais inscrit. J’avais correctement rentré mon numéro Siret et fait toutes les démarches. Connaissant l’efficacité de notre belle bureaucratie, je me dis que ça ne va pas être rapide... Je continue donc à facturer mes clients sans me poser de questions supplémentaires.

Accumulation de charges

Quelques mois plus tard, je reçois une lettre d’une caisse pour les professions libérales et artisanales. Ne fabriquant pas de chaises, je me dis qu’il y a un problème. D’autant plus que la somme demandée dépasse les 1 500 euros, ce qui n’est pas prévu dans ma trésorerie. Je les contacte donc et ils m’indiquent que je suis sous le statut libéral et non auto-entrepreneur !

Ils se montrent néanmoins à l’écoute et réalisent que je suis de bonne foi. J’apprends aussi qu’il y a eu un problème lors de l’inscription de centaines de futurs auto-entrepreneurs en janvier 2009. Ma chance habituelle ayant encore frappé, je comprends que je fais partie du lot.

Ensemble, nous remplissons un dossier de contestation et quelques jour plus tard, je reçois une lettre de confirmation m’affirmant que je suis bien revenu au stade de la micro-entreprise. Fou que j’ai été de les croire...

En septembre 2009, je reçois un courrier de leur part et de l’Urssaf disant que je dois au total plus de 3 000 euros. Je prends peur et je décide en toute hâte de fermer l’entreprise avant que la situation n’empire. Je fais donc les démarches administratives afin que tout soit réglé le plus vite possible, les courriers étant envoyés en recommandé bien sûr. Toujours pas de nouvelles, je m’inquiète et commence à ressentir sur ma santé les effets du stress, je suis obligé de prendre un arrêt maladie d’un mois pour dépression en fin 2009.

Opacité des organismes sociaux

Début 2010, tout s’enchaîne : je reçois encore une lettre de cet organisme, des lettres de commandement de payer de l’Urssaf et une lettre de la Cipav [Caisse interprofessionnelle de prévoyance et d’assurance vieillesse, une caisse de retraite pour professions libérales, ndlr] qui me demande de payer plus de 400 euros de charges.

Panique à bord, d’autant plus qu’il m’est impossible de contacter la Cipav : les deux seules fois où j’ai réussi à les avoir, on m’a raccroché au nez en me disant que j’étais un incompétent et que je ne pouvais avoir raison. Impossible pour nous, pauvres entrepreneurs honnêtes, de faire valoir notre droit.

En février 2010, je débute un diplôme universitaire dans le droit social. Les intervenants nous content les mérites des organismes sociaux, moi je rigole et leur prouve que c’est du grand n’importe quoi. Même les professeurs de droit sont choqués et l’un d’entre eux se charge du dossier. Grâce à lui, tout s’arrange durant un temps.

Mais il ressort que l’Urssaf n’a jamais reçu le moindre de mes courriers. Pour eux, je suis toujours en régime micro alors que pour la Cipav, je suis en libéral. Devant ma bonne foi et les preuves dont je dispose, un accord est trouvé avec l’Urssaf et mon entreprise est signalée comme fermée le 31 décembre 2009, soit six mois plus tard.

On me confirme que les autres organismes sociaux seront informés de ce qu’il s’est passé et que désormais, je n’ai plus rien à faire et que je serai remboursé du trop perçu. Là aussi, je fais les démarches nécessaires, mais ce qui suit me fait encore halluciner.

Mon compte bancaire est bloqué

Je reçois un courrier me disant que sur l’année 2008 (je ne sais toujours pas pourquoi cette année-là) je dois être remboursé de 648 euros. Enfin une bonne nouvelle, mais de courte durée... En effet, le remboursement ne venant pas, je décide de les appeler tout les jours afin d’obtenir une réponse. J’apprends en juillet que je ne toucherai finalement que 298 euros car les charges de 2009 ont été retenues. Ensuite, on me demande de payer environ 50 euros ; finalement, je ne serai remboursé que de 248 euros. C’est toujours ça de pris, maigre consolation pour la galère que je viens de traverser.

Surprise en novembre 2010 : je reçois une lettre d’huissier m’informant que je dois payer sans délai la somme de 428,57 euros à la Cipav. De plus, je reçois une lettre du Trésor public qui me demande de payer 502 euros pour l’année 2009. Le Trésor public, fidèle à sa réputation, fait une demande de saisie deux semaine plus tard alors que je suis en train d’être conseillé par un juriste spécialisé sur la question. Mon compte bancaire est bloqué.

Je panique et je ne vois pas de solution à ce problème. Nous sommes le 30 novembre 2010, et je pense au suicide en me disant que sauter du quatrième étage serait la solution pour arrêter enfin ce cauchemar. Mais une amie me sauve en parlant avec moi durant une heure. Il va donc falloir que je trouve un autre travail pour rembourser un de mes proches qui fait l’avance. Concernant la Cipav, j’ai adressé un courrier de contestation et au moment où j’écris ces mots, j’attends la réponse.

Deux dépressions, du stress et une envie de suicide

En conclusion, ce système a tué mon envie d’entreprendre. J’ai passé plus de 90% de mon temps à me battre contre des gratte-papiers totalement incompétents. Mon entreprise a été fermée mais avec un déficit de caisse de - 1 600 euros. Je n’étais certes pas très patient avec les clients difficiles, mais l’administration ne m’a pas laissé le temps d’apprendre le métier de commercial.

Si un jour je dois remonter une entreprise, ce ne sera certainement pas en France. Je vais essayer de trouver une formation diplômante en informatique et je pense quitter le pays après ça. Au total, j’ai connu deux dépressions, des crises de stress à la limite de l’ulcère, et une envie de suicide.

Mon entreprise avait un statut hybride : moitié micro-entreprise, moitié libéral-artisan. Je conseille à ceux ou celles qui veulent se lancer dans l’aventure de bien y réfléchir à deux fois avant. Quant à moi, cette aventure a été un vrai cauchemar, tout ça parce que j’ai voulu faire les choses honnêtement et payer les impôts que je devais au nom de la solidarité nationale. Solidarité que je n’ai jamais connue cela dit en passant...
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Je suis désolé de ce qui vous ai arrivé. Je n'ai parlé que de vin et des français de paris. Issu d'une famille de vignerons Languedocienne, ça me concerne. Je suis révolté par tout ce que l'état français me vole. Les bureaucrates n'aiment pas les hommes libres. Ce qui me console c'est qu'a la fin ils seront tout seuls, on les attrapera, on les jugera et on les pendra.
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Rassurez-vous, il n'est rien arrivé de tel (in extenso) à notre troll pénible à obsession fixe.
Ce texte est un copier-coller (il n'a pas une telle plume, voyons !) dont, pour une fois, il a eu l'honnêteté de mentionner l'auteur.
N'avez-vous point vu ce détail, en haut de son message ?
Les copier-coller et les commentaires vaseux, c'est tout ce qu'il sait faire.
Vous pouvez sereinement vous départir, à son égard, de la compassion qui vous a étreint un instant.

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Zut. je ferai plus attention.
Merci.
Ce n'est pas moi ; c'st l'histoire d'un collègue qui m'a fait comprendre que je devais partir vers une contrée plus ensoleillée .
Bonne chance à Toi , car tu en auras besoin ...
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Je constate les dégâts du vin althi à 2 francs.
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« Peu de bipèdes depuis Adam ont mérité le nom d'homme. »
de Marguerite Yourcenar
Le pied loin des gauchistes-aulitgangs- feignants-percés-analphabêtes-incultes-alcolo-assistés-drogués ; enfin tous ces rebuts parasiraires qui n'apportent rien à notre société , sauf un tas d'emmerdes et de revendications parfaitement déplacées . Tu n'es pas content ? Casse-toi .
Par contre , pour toucher un max d'allocs , ils savent bouger leurs fesses obèses .
J'en foutrais moi du pognon non mérité à tous ces profiteurs !
Tu veux du fric ; fais comme moi : formations , travail , épargne , investissements . Tu n'auras pas le temps de geindre sur les malheurs que tu as cherchés , car le soir , tu seras fatigué .
Quand on ne sait rien faire d'utile pour la société , c'est un excellent passe-temps.
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Enchères: plus de 718.000 euros pour une partie de la cave de l'Elysée .

Un flan au pinard , un régal.
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Et putin j'ai raté l'occasion de compléter ma cave .
Du Cloune va boire de l'eau ?
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HONTEUX .
J'ai été obligé de mettre ma belle limousine rouge évidemment au container.
J'ai dû choisir , la mobilité ou la nullité .
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Je ne bois pas de gros rouge , c'est très mauvais pour la santé.
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M'en fiche ; moi que des bons blancs.
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Gros et rouge; y a pas pire .
La France de 2025, «plus vieille, plus petite, moins riche»
AFP
Le gouvernement français a promis des réponses sur les questions de la rentrée, et annonce travailler à un plan pour la France de 2025. « Et 2014 ? » raille-t-on déjà à droite.
« L’enjeu, c’est de ne pas subir, mais de choisir », a-t-il souligné, citant le philosophe Henri Bergson : « l’avenir n’est pas ce qui va arriver mais ce que nous allons faire ».

François Hollande a arrêté les trois grands « défis » pour les dix prochaines années : préserver la « souveraineté politique, diplomatique et militaire » de la France, l’« excellence » de son industrie, de ses services, de son système de protection sociale ou environnementale et l’« unité » sur les retraites, l’emploi, la lutte contre les inégalités ou le communautarisme.

« Cette stratégie » passe, a-t-il poursuivi, par cinq « objectifs » : « utiliser pleinement notre avantage démographique », « gagner la bataille de la mondialisation », « réussir la transition énergétique et écologique », « faire de notre territoire un levier de développement » et « inclure tous les citoyens dans la République ».
Mais lors de son intervention devant les ministres, le commissaire général à la stratégie et à la prospective Jean Pisani-Ferry a sans doute jeté un froid, dessinant une France qui, dans dix ans, « sera à coup sûr plus vieille, plus petite et moins riche ». Cependant « elle ne manquera pas d’atouts, étant mieux formée, encore excellemment équipée et potentiellement attractive ».

Pierre Moscovici (Economie-Finances), a ainsi jugé « réaliste » un retour au plein emploi en 2025 dans une France qui devrait avoir « pleinement recouvré sa souveraineté budgétaire ». Seul bémol : la cinquième puissance économique mondiale n’occupera plus selon lui que « la huitième ou neuvième place ».

Filant la métaphore numérique, Manuel Valls a promis des « forces de l’ordre 3.0 efficaces, proches de la population et à la pointe des avancées technologiques ».

Cécile Duflot a rêvé d’une France où l’accès au logement « pour chacun ne sera plus un facteur de stress ou d’incertitude, mais une étape plaisante de la vie ».

Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, voit son pays de retour « dans le concert des grandes nations industrielles » avec une balance commerciale à « excédent structurel »…

Tout ceci a laissé pantois le président du MoDem François Bayrou pour qui aucune importante piste de réforme n’a été « prise à bras-le-corps » par l’exécutif.



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