Un vendredi soir à Paris. La
France a été victime d’un carnage un carnage sanglant, après qu’un assaut
mené par plusieurs islamistes radicaux a causé la mort de plus de 130
personnes et laissé des centaines d’autres blessées. Selon certains rapports,
certaines explosions rapportées par des témoins seraient liées à des
attentats-suicide.
La France a immédiatement
annoncé l’adoption de l’état d’urgence, des couvre-feux ont été imposés, et
les frontières du pays ont été fermées pour la première fois depuis la guerre
d’Algérie en 1962. Les autorités parisiennes ont également annoncé la
fermeture de toutes les écoles et universités de la capitale. Des véhicules
armés ont été déployés dans la ville.
Il ne s’agit très certainement
que du début d’une vague de terreur susceptible de déferler sur la région au
cours des années et des mois à venir. Avec des centaines de milliers d’hommes
non-identifiés et en âge de combattre qui ont franchi les frontières de
l’Europe ces six derniers mois, depuis l’Allemagne jusqu’en Hongrie, des
citoyens ont littéralement pris les armes.
Nous avons pu entendre au mois
d’octobre que de nombreux Européens se sont procuré des armes face à l'invasion d'immigrants islamiques,
et que les Autrichiens sont si désespérés de pouvoir se protéger que toutes
les armes d’épaule disponibles dans le pays ont été vendues en quelques
semaines.
Au début du mois de novembre, des armes ont été découvertes en Suède dans un centre
d’immigrés, ce qui suggère que la panique des citoyens était entièrement
justifiée.
Quelques heures avant le
massacre parisien, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a violemment critiqué les Etats membres de l'Union européenne,
et décrété qu’un projet de conquête politique du continent était en cours.
L’invasion
de l’Europe par des migrants venus du Proche-Orient et d’Afrique pourrait
s’inscrire dans un complot de la gauche de remplir de continent d’électeurs
favorables, a expliqué le Premier ministre hongrois Viktor Orban lors d’un
entretien avec le magazine suisse Die Weltwoche.
…
Mr Orban a désormais renforcé
sa rhétorique, et ajouté que les activistes de la gauche, notamment les
Démocrates radicaux des Etats-Unis, travaillent des deux côtés de
l’Atlantique pour conquérir le monde politique. Il a également mentionné que
la culture occidentale judéo-chrétienne est ignorée dans les débats.
« Personne n’a soulevé la
question de notre existence, de notre identité culturelle, de notre mode de
vie. »
Dans la journée de jeudi, le
Commissaire de l’Union européenne, Franz Timmermans, a mis en garde les
Etats-membres du fait que la non-résolution du problème de l’immigration
pourrait mener la région toute entière vers la guerre.
Bien que, comme le veut le
dicton, « les bonnes clôtures fassent les bons voisins », il
semblerait que les dirigeants de l’Union européenne commencent à se sentir
frustrés face au manque de tolérance de membres nouveaux ou marginaux de
l’Union. Dans une déclaration particulièrement frappante, suite à de
multiples réunions au cours desquelles ont été discutées de possibles
solutions au problème de l’immigration, le Commissaire de l’Union européenne,
Timmermans, a mis en garde les Etats membres : « Il y a une
alternative à tout. Je crois en la coopération de l’Union européenne, parce
que toutes les autres solutions ont déjà été essayées pour pousser les
Européens à s’entendre, et qu’à l’exception de celle-ci, toutes les autres
ont mené à la guerre ».
Les attaques de Paris ne sont
pas des évènements isolés. Des milliers d’immigrants ont disparu des camps de
réfugiés, et des armes ont été découvertes sur plusieurs sites. Une tendance
de terreur pourrait bientôt exploser en Europe.
Voilà qui pourrait donner lieu
à des confrontations religieuses et culturelles entre Chrétiens et Musulmans,
et à la fin de toute forme de civilité entre les Etats membres.
L’Europe a déclaré qu’elle ne
participerait pas à la prochaine guerre mondiale.
Il se pourrait ironiquement
qu’elle commence sur son territoire.