Vous allez progressivement comprendre à quel point le système Clinton est effectivement au centre d’un système mondial d’intérêts privés et que ce système c’est justement le totalitarisme marchand qui veut s’imposer à nous et qui est à la fois la négation de notre dimension humaine mais aussi la négation de nos démocraties.
Nous sommes soumis à une propagande inouïe, incroyable, que rien ne semble pouvoir arrêter, et les médias traditionnels ne nous fournissent plus une information de qualité mais sont devenus des rouages de cette grande machine de propagande.
On veut vous faire aimer certaines personnes, on veut vous en faire haïr d’autres. Ce fut le cas pour Clinton qu’il fallait aduler et Trump que vous deviez haïr. Mais il y a eu avant Poutine ou encore Bachar el-Assad. En attendant, nous payons tous les jours les conséquences des « détestations » qui nous sont imposées.
Le dire et le dénoncer suffit à vous faire sortir des médias (bienvenue dans l’anonymat et plus personne ne vous invite nulle part, c’est la petite mort sociale et financière) et à vous faire qualifer des pires noms d’oiseaux.
Et pourtant c’est la vérité.
Poutine n’est ni gentil ni méchant, et Assad, nous nous en sommes accommodés pendant des décennies et avant lui de son père.
Le problème est toujours le même : par quoi remplacer ces régimes ? Par qui ? Pour quelle stabilité !
En attendant, vous allez commencer à comprendre l’ampleur du système qui a été insidieusement mis en place à votre détriment et sur votre dos avec la complicité de nos élites européennes et nationales mouillées jusqu’au cou dans la coopération et le financement du camp Clinton !
En Allemagne, le scandale lié au financement de la Fondation Clinton prend de l’ampleur. On a appris que l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ) n’était pas l’unique donateur de la campagne de la candidate démocrate à la Maison Blanche.
La GIZ a viré à la Fondation Clinton 2,4 millions d’euros des contribuables allemands.
Un autre donateur, le ministère fédéral de l’Environnement, a participé à son financement à hauteur de 4,5 millions d’euros.
Les médias et la classe politique ont longtemps gardé le silence sur ce « scandale maison », mais il est maintenant devenu impossible de le passer sous silence. « Je me demande pourquoi ce thème n’a pas été soulevé avant.
Le journaliste Tilo Jung en a parlé sur son blog en mai 2016, mais à l’époque aucune réaction n’a suivi.
Le fait a été médiatisé après les élections. Le rôle de la Fondation Clinton pose nombre de questions », signale Niema Movassat, député Die Linke du Bundestag allemand.
Selon lui, on pourrait croire que les journalistes ne voulaient pas évoquer ce sujet en raison d’une grande sympathie pour Clinton en Allemagne.
Entre-temps, l’Agence allemande de coopération internationale et le ministère fédéral de l’Environnement ont tenté de se justifier.
Selon eux, l’argent versé à la Fondation Clinton était destiné à des projets concrets et non pas au financement de la campagne électorale d’Hillary Clinton.
Le ministère de l’Environnement a expliqué dans sa réponse à une requête de Tilo Jung concernant le versement des fonds à la Fondation Clinton, qu’il s’agissait du financement de deux projets écologiques en Afrique de l’Est réalisés par la Fondation dans le cadre de l’Initiative internationale pour le climat (IKI). Niema Movassat trouve cette explication peu convaincante.
« Ce qui me surprend, c’est que l’argent a été donné précisément lors de la phase clé de la campagne électorale et non pas il y a dix ans. Il est clair pour toute personne possédant une consciente politique qu’on ne donne pas de l’argent à un tel moment et à une telle fondation », a dit le parlementaire dans un entretien à Sputnik.
L’agence de coopération internationale a réagi aux accusations d’avoir financé la Fondation Clinton par un communiqué publié sur son site et affirmant qu’il s’agissait d’une contribution versée à un projet humanitaire au Malawi et que l’agence a participé à ce projet de concert avec Clinton Development Initiative (CDI) sur l’instruction du ministère fédéral de la Coopération économique.
Néanmoins, le 22 novembre, Nieam Mossavat a adressé une requête au gouvernement fédéral demandant des explications écrites sur l’utilisation des fonds.
Le député a mis la réponse à disposition de Sputnik. En termes de contenu, elle ressemble beaucoup au communiqué de l’Agence de coopération internationale, mais les détails sont, de nouveau, absents.
« J’estime qu’il faudrait expliquer comment les choses sont allées jusqu’au financement de tels projets. Qui a présenté la demande et quand, qui a exercé un lobby.
Il faut le faire pour exclure toute odeur de corruption. Nous allons soulever ce thème encore une fois et déposer une nouvelle requête sur le financement des fondations privées en général. Je pars du fait qu’il y a, probablement, d’autres cas que nous ignorons », a conclu le député.