Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
D’après nos grands malades bruxellois, la vague de migrants actuelle va entraîner de la « croissance » en Europe. On omet juste de dire qu’il s’agit de croissance de la dépense publique, ce qui est très logique économiquement parlant dans un premier temps.
Les migrants sont forcément un coût avant de devenir un « bénéfice » potentiel. Bon, mais ça c’est la théorie rassurante que l’on vend à Madame Michu et aux ménagères européennes de moins de 50 ans.
La réalité c’est que la Turquie trie consciencieusement les migrants pour envoyer en Europe uniquement…
Les malades et les sans éducation !
Ho, ne hurlez pas à mon fascisme ou à mon racisme ou encore à ma xénophobie, vous tomberiez bien mal avec moi. Pour tout vous dire, je fais partie de ceux qui pensent que la valeur d’un homme n’est jamais liée à la couleur de sa peau mais à ses principes moraux, à son éducation et à son courage.
Je pense aussi qu’il est impératif et indispensable d’être fort d’un côté et sage de l’autre. Tout ne se vaut pas. Tout n’est pas acceptable, tout n’est pas négociable. Il y a des limites que nous ne devons pas avoir peur d’évoquer car il y va de l’intérêt supérieur de notre nation, de sa stabilité sociale et, bien sûr, également économique.
Dire la vérité est une face de l’expression du courage, et il est important de dire cette vérité.
Et qui dit la vérité ? Un grand quotidien anglais, The Telegraph, que personne de censé ou de sérieux ne peux traiter ou qualifier de fasciste, les Anglais étant par ailleurs particulièrement ouverts et tolérants aux autres cultures. Mais ils savent aussi être d’un grand pragmatisme quand nous sommes pétris d’idéologie mortifère et confinant à la plus grande des stupidités.
Vous pourrez apprendre dans cet article qu’aucun grand média bien-pensant n’osera jamais ni traduire ni encore moins évoquer que :
« Ankara procède à un tri sélectif des migrants quand il s’agit de les envoyer en Europe dans le cadre de l’accord conclu par la Turquie et l’Union européenne. »
Ou encore que :
« La Turquie a besoin de migrants diplômés et en bonne santé. Pour cette raison, en application de l’accord sur les migrants, le pays envoie en Europe des réfugiés malades et avec un niveau d’éducation extrêmement bas », révèle le journal britannique The Telegraph.
« Des représentants officiels de l’Union européenne accusent ainsi Ankara de procéder à une sélection et d’empêcher les migrants diplômés de partir, précisant également que ces derniers pourraient mieux s’intégrer dans la société européenne. »
Et enfin, histoire d’achever ceux qui penseraient encore que les migrants seront une « chance économique pour l’Europe », méditez sur cette dernière phrase :
« Ankara raye de la liste des demandeurs d’asile des médecins syriens, des ingénieurs, des scientifiques et d’autres personnes hautement qualifiées, les empêchant ainsi de partir, lit-on dans le journal britannique. »
L’Europe récupère donc après les bons-offices ne nos « amis » turcs, les analphabètes et les malades.
Pour l’Europe, un coût de plus en plus important !
Pour les analphabètes, cela va être compliqué de les intégrer dans le siècle de l’économie de la « connaissance » et dans un marché du travail qui réclame des compétences de plus en plus pointues. Qu’en ferons-nous ? Rien. Quel avenir leur proposerons-nous ? Aucun. Comment cela se passera-t-il à terme ? Mal évidemment puisque sans perspectives positives, il n’y a pas d’intégration apaisée.
Pour les malades, il faudra évidemment les soigner, humainement il n’y a pas d’autre possibilité si ce n’est d’exiger une juste répartition de ces coûts et la Turquie doit aussi faire sa part.
Imaginer qu’un pays puisse procéder de la façon dont le fait la Turquie constitue tout simplement, et cela doit-être dit, un acte de guerre et une attaque directe contre les intérêts supérieurs de nos nations européennes.
Les pauvres migrants, qu’ils soient migrants de guerre ou migrants économiques, n’y sont pour rien. Ils poursuivent leur propre logique de migrants tandis que certains États se servent de toute une gamme de couillons utiles à des fins politiques et de déstabilisation.
Les migrants, comme les grandes parties des extrême-gauchistes, sont en réalité les idiots utiles des mondialistes et du totalitarisme marchand, participant malgré eux à l’éclatement des nations et à la création d’un immense maelström globaliste tellement divisé qu’aucun contre-pouvoir ne pourra plus jamais émerger afin de contrer le pouvoir exorbitant que s’arrogent les grandes multinationales.
En attendant, mes chers amis, préparez-vous, il est déjà trop tard !