L’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre miserait aujourd’hui sur l’or

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Published : June 10th, 2016
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Category : Today's Editorial

George Soros, l’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre en 1992 , miserait aujourd’hui sur l’or et les minières

BILLIONAIRE INVESTOR SEES OPPORTUNITIES TO PROFIT FROM VARIOUS ECONOMIC AND POLITICAL ISSUES AFFLICTING THE WORLD (en Français ci-dessous)

M Soros voit des opportunités de profit dans les problèmes qui affectent le monde

Le Wall Street Journal fait un coup en annonçant que Soros revient directement aux affaires dans son fonds privé familial (Soros Fund Management LLC) et qu’il le fait en prenant des positions très baissières.

Soros s’attend à des évènements très perturbants, voire à des chocs. Il n’était, dit-on, pas intervenu dans la gestion directe de sa firme depuis 2007.

Soros serait inquiet de la situation globale et il pense  que les marchés sont inefficaces, « ils n’anticipent pas correctement les évènements à venir ». Donc il joue contre eux, c’est sa philosophie habituelle. On peut supposer que « l’inefficacité  » doit être grande pour que le Maître des grands paris Macro spectaculaires se mette lui même en avant et à la barre.

En fait depuis plusieurs mois Soros ne cesse de crier gare et de dire que les évolutions globales sont tès inquiétantes. L’une de ses idées est que la Chine n’échappera pas à une crise et que la division du pouvoir en place, les divergences et rivalités internes vont empêcher de prendre les bonnes décisions.

Il est vrai que la situation politique et sociale Chinoise pose des problèmes: certaines couches sociales victimes des purges liées à la corruption ont envie d’en découdre. De toute façon la Chine doit résoudre son problème majeur de transition et d’alignement sur les valeurs internationales.

Les fuites de capitaux sont colossales et elles ne présagent rien de bon de la part de gens qui eux, sont du pays, et connaissent sa situation réelle. Ce sont des initiés.

Les autorités Chinoises ont fait l’erreur de maintenir un change surévalué pour plaire aux occidentaux et éviter de déstabiliser encore plus le monde global. Ce pari, leur lie les mains, c’est une contradiction au sens de Mao et il  leur complique considérablement la tache face au ralentissement.

Il semble que l’inquiétude majeure de Soros soit la Chine, il croit à la contagion, mais il n’est guère optimiste et positif sur l’avenir de l’Union Européenne. Récemment il s’est inquiété des problèmes posés par l’immigration et mal traités. 

Le fond privé familial de Soros serait de l’ordre de 30 millards et il aurait constitué des positions significatives sur l’or et les mines. Sur les USA Soros aurait des positions vendeurs par le biais des dérivés.

Soros aurait 85 ans. 

Nul doute qu’il connait son statut de gourou puisqu’il en use et abuse. Il sait que ses actions et ses propos peuvent être interprétés commes des « self fulfilling prophecies », des prophéties qui se réalisent parce qu’elles sont crues. Soros est considéré comme un ennemi du pays par les autorités Chinoises. 

 

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Il serait judicieux de ne pas mettre une majuscule à chinoise lorsqu'il est adjectif

Les noms ("gentilés" ou « ethnonyme ») désignant les habitants d'un pays, d'une province, d'une localité.... (Note de l'expéditeur : et même donc d'un quartier de grande ville !!! Et aussi d'une fraction de continent, etc. ) prennent la majuscule initiale :  les Français, les Anglais, les Poitevins, les Parisiens.
Les noms de langues correspondants gardent une minuscule : parler le français, l'anglais, le poitevin...

L'adjectif garde la minuscule : la population française, la cuisine anglaise, le
Marais poitevin, le Bassin parisien.

L'usage est incomplètement fixé et les codes typographiques  diffèrent quant au traitement de l'attribut : Il est anglais (adjectif) ou Il est Anglais (nom). L'Imprimerie nationale tranche en faveur du nom, comme on le fait par exemple en allemand  (Sie ist Franzüsin).
L'Académie considère que l'on a affaire à un adjectif, que l'on ne dira jamais Elle est Suissesse, mais Elle est suisse, et met donc la minuscule : Ils sont albanais, corses... Elle n'est pas parisienne.
Enfin, on distingue généralement les noms désignant proprement des habitants de leurs emplois dérivés : les Albigeois aiment leur ville ; la croisade contre les albigeois, Cathares du Midi de la France, au XIIe siècle.

Et si vous diffusiez ?

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Il serait judicieux de ne pas mettre une majuscule à chinoise lorsqu'il est adjectif Les noms ("gentilés" ou « ethnonyme ») désignant les habitants d'un pays, d'une province, d'une localité.... (Note de l'expéditeur : et même donc d'un quartier de gra  Read more
Petipolak - 6/11/2016 at 4:53 PM GMT
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