Non, le Bitcoin n’est pas le diable en personne, loin de là, et il ne faut pas être outrancier vis-à-vis de la technologie qui sous-tend les cryptomonnaies. En revanche, on peut être outrancier à l’égard des comportements spéculatifs excessifs, qui mettent des gens ou des familles en péril.
Non, le Bitcoin n’est pas le diable, mais comme autour des monnaies papier et de tout ce qui a de la valeur, il y a des crimes et de la délinquance… Cela veut dire que non, le Bictoin n’est pas le diable, mais le Bitcoin est loin aussi d’être la solution miracle et la solution ultime à tout !!!! Le Bitcoin a aussi ses propres zones de fragilité.
C’est cela qu’il ne faut pas oublier.
Un habitant de l’État du New Jersey a perpétré une attaque armée pour voler 1,8 million de dollars en cryptomonnaie éther. Le cambrioleur a rapidement été maîtrisé par la police locale et risque désormais 25 ans de prison au bas mot.
Un Américain de 35 ans, Louis Meza, a menacé d’une arme à feu un riche New-yorkais et lui a volé ses clés, son portefeuille et son téléphone portable afin de permettre à son complice de pénétrer dans l’appartement de ce dernier et accéder à son portefeuille électronique contenant au moins 1,8 million de dollars en cryptomonnaie éther, relate l’agence Bloomberg, sans préciser le nom de la victime.
Toujours-est-il que Meza a par la suite réussi à transférer les actifs financiers vers son propre portefeuille électronique.
Le jeune « hacker » risque désormais 25 ans de prison au minimum, soulignent les autorités locales.
L’envolée du Bitcoin, qui valait 1 000 dollars au début de l’année, a suscité l’intérêt des autorités de régulation à travers le monde, qui désormais le surveillent.
Certains banquiers ou économistes, dont le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz, ont estimé que la cryptomonnaie devait être interdite.