« Industrie 4.0 » ou encore « crétinerie 2.0 ». Tout
cela n’est à mon sens que du vent alors que le chômage va de record en record
ce qui n’empêche pas notre mamamouchi en chef de vouloir se représenter… pour
se représenter il veut que le chômage baisse. On fait donc servilement
baisser les chiffres pour le chef… Pathétique.
Pour occuper la galerie, faire croire que l’on fait quelque chose alors que
tout ce qu’ils font ne peut qu’aboutir à l’effet inverse de l’effet
recherché, on nous sort maintenant un nouveau plan pour un nouveau futur de
l’industrie… franco-allemand le plan en plus…
Tout ceci est absolument lamentable.
Charles SANNAT
PARIS, 27 octobre (Xinhua) — La France et l’Allemagne sont convenues de se
coopérer pour accélérer la transformation numérique de leurs économies,
a-t-on appris dans une déclaration commune diffusée mardi par les deux pays à
l’occasion d’une conférence numérique franco-allemande tenue à Paris.
La France et l’Allemagne poussent ensemble l’Union européenne pour définir
un cadre adéquat à un marché unique du numérique ouvert et non
discriminatoire, ont indiqué le ministre français de l’Economie Emmanuel
Macron et son homologue allemand Sigmar Gabriel dans la déclaration commune.
Les deux pays se sont par ailleurs mis d’accord pour entamer une
discussion sur les principaux défis afin d’instaurer d’ici la fin de l’année
2015, une coopération entre les plates-formes « Industrie 4.0 » et
« Industrie du futur », ont fait part les deux ministres.
« Industrie 4.0 » et « Industrie du futur » sont les
plans officiels visant la numérisation industrielle lancés respectivement par
l’Allemagne et la France.
Les deux moteurs de l’Europe encourageront également l’établissement de
régimes d’incitation en faveur des start-up innovantes à l’échelle
européenne, et élaboreront une stratégie franco-allemande d’innovation
ouverte pour favoriser la coopération entre les entreprises de taille moyenne
et les grandes entreprises industrielles ainsi que les start-up.
La conférence numérique s’est tenue au Palais de l’Elysée, en présence du
chef d’Etat français François Hollande, de la chancelière allemande Angela
Merkel et du président de la Commission européenne Jean-Claude Junker.