La loi sur la monnaie de 1792 établit la peine de mort pour dévaluation de devise

N’allez pas croire que la même chose ne pourrait pas se reproduire aujourd’hui. Les serfs se réveillent, ils sont en colère, et ils ne supporteront pas leur situation une minute de plus. Si les têtes des banquiers et de leurs défenseurs commencent à être brandies au sommet de piques, vous saurez pourquoi !

Comme vous le savez peut-être, les lois des Etats-Unis sont en grande partie basées sur le droit prétorien Anglais. Et c’est ainsi que la Monnaie Royale traîtait les contrefacteurs et les faussaires. Les méthodes employées pour leur mise à mort sont encore valables aujourd’hui :

Section 19 de la loi de 1792 sur la frappe de monnaie : la peine de mort en réponse à la dévaluation de devise.

Si une pièce d’or ou d’argent frappée par la Monnaie mentionnée ci-dessus était dévaluée ou voyait son contenu en or ou en argent pur diminuer, ou si son poids ou sa valeur était inférieur à ce qui est fixé par cette loi, par l’erreur ou la connivence de tout responsable ou de toute personne employée par la Monnaie commise dans l’objectif d’en tirer un gain ou un profit ou dans une intention frauduleuse, et si tout responsable ou employé de la Monnaie détournait du métal destiné à devenir monnaie, il devrait être accusé de félonie et être soumis à la peine de mort.