Le cycle d'apprentissage du trader.

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From the Archives : Originally published September 24th, 2017
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Category : Invest

je vous propose de lire ce superbe travail de Gregory OLLIER qui m'a fait parvenir son article.

" A la naissance, un nourrisson n'est pourvu d'aucune capacité. Il n'a que des aptitudes qui vont lui permettre d'acquérir des connaissances et des compétences : les armes nécessaires pour accéder à l'autonomie. S'il est fréquent de voir un enfant frappé d'impatience, il vit tout de même selon l'adage "à chaque jour suffit sa peine". Progressivement, ...
il nourrit des ambitions de long terme sans chercher à brûler les étapes, pour la simple et bonne raison qu'il ne peut pas les brûler. Le rêve de beaucoup d'enfant est de piloter un avion mais un enfant n'est pas pour autant confronté au pilotage avant d'être un grand garçon. Mais surtout, ce n'est pas l'intelligence qui permet à un nourrisson d'apprendre aussi vite. C'est sa capacité d'observation, d'apprendre de ses chutes et à tout remettre en question (les lois naturelles de l'enfant de Céline Alvarez) sous l'aile bienveillante de ses parents qui l'encadrent.

Paradoxalement, lorsqu'une personne se met au trading, elle le fait bien souvent seule et dispose de tous les outils pour le faire librement. Il suffit d'ouvrir un compte chez un broker, d'initier la plateforme et de cliquer. Le reflexe de se documenter apparaît vite mais n'est toutefois pas un processus d'apprentissage en soi. Cela revient donc à avoir la possibilité de conduire une formule 1 sur l'autoroute sans l'instruction nécessaire, juste en ayant lu la notice de démarrage.
Ce paradoxe, certes un peu artificiel, pose la question de l'apprentissage en trading car le taux de réussite, au final, n'est pas très important (90% des traders particuliers perdraient et qui peut dire combien finissent par abandonner), attestant d'un problème de compétence.

D'ailleurs, qu'est-ce qu'apprendre ? Ce mot vient du latin apprehendere qui signifie saisir, prendre des connaissances ; c'est à dire acquérir par l'étude, la pratique et l'expérience un savoir-faire (Larousse). Quant au trading, il convient également de le définir et de le mettre en perspective avec la pluralité des intervenants : le trading est différent pour un professionnel de la finance qui a fait une grande école et dix ans d'étude que pour un artisan, un comédien, un fonctionnaire, un avocat... un particulier qui n'est pas du milieu de la finance mais qui veut faire de la finance ! Autant dire qu'il vaut mieux être psychologiquement stable ! Cette activité revient à investir sur un actif en se mettant dans le sens des statistiques, i.e. dans le sens des grosses mains (grâce à des connaissances techniques et fondamentales), avec le meilleur timing possible en élaborant un plan. Mais une fois en position, le tradeur particulier ne maîtrise plus rien puisque le marché est fait pas les grosses mains. Il faut donc accepter de faire confiance à son plan et de lâcher prise jusqu'au stop ou jusqu'aux prises de bénéfices. Aussi, pour élaborer de bons plans, il semble nécessaire d'être doué d'un minimum d'intelligence. La notion d'intelligence mérite d'ailleurs d'être démystifiée. Ce mot a pour origine intellĕgĕre dont les racines latines sont inter qui signifie "entre" et ligere qui signifie "lien". Autrement dit, l'intelligence est la capacité à établir des liens (donc des conclusions, grâce à une méthode de réflexion) entre différentes informations (ici, données techniques et fondamentales donc). Rapporté au trading, l'intelligence parait alors abordable au plus grand nombre (mais pas forcément à tous) puisqu'il s'agirait simplement de mettre en œuvre une méthode d'analyse.

Ces quelques définitions permettent de mieux cerner la problématique de l'apprentissage du trading. En effet, pour trader, il faut développer des qualités dans des champs pluriels (connaissance, méthode et psychologie). Ainsi, la question de l'apprentissage ne serait pas simplement compliquée, elle serait complexe et apprendre à trader reviendrait à trouver la bonne méthode pour résoudre le système d'équations de l'apprentissage.

En avoir conscience en débutant, c'est déjà se dire qu'à chaque jour suffira sa peine ! Comme pour résoudre un système d'équations, apprendre à trader demande donc une méthode, une formule, une recette du bon apprentissage... Cet apprentissage est une bataille qui, comme toutes batailles, nécessite un plan, pensé avec méthode, pour dominer son adversaire.
Pour comprendre comment apprendre, il faut d'abord comprendre les causes de l'échec. Ainsi, il est ensuite plus simple de lire le système d'équation et d'en comprendre la complexité pour mieux l'appréhender. Enfin, c'est avec une organisation d'ensemble et cohérente, appuyé sur un plan d'apprentissage répondant à quelques principes, qu'il sera possible de résoudre le système d'équation dans le temps.

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En effet, la principale cause d'un apprentissage raté ou de l'absence de résultat réside dans l'utopie Warren Buffet, qui trouve elle-même son origine dans les biais psychologiques de l'homme, parce que l'homme - qui plus est le trader - est bien souvent cupide et vaniteux.

La majorité des personnes qui décide de se consacrer au trading, le fond pour l'argent. Les ambitions initiales sont bien souvent démesurées et l'on rêve de richesse. C'est une utopie car pour devenir riche en trading, il faut déjà disposer d'un capital de riche, au risque d'avoir périlleusement recours au levier ! Rapidement, on perd de l'argent et c'est la mort de l'utopie Buffet. Alors débute un long deuil qui passe par ses cinq phases classiques :

le déni : alors que les premières pertes suscitent l'incompréhension, le reflexe semble être de se documenter. Les différentes lectures vont amener à glaner de nombreux conseils "d'anciens" çà et là. C'est alors que la majorité des gens feront fi du bon sens et s'obstineront dans le déni en poursuivant leurs ambitions initiales pour satisfaire la cupidité, dont le premier allié est souvent la vanité.  

Viens ensuite la colère. Les échecs répétés provoquent frustrations et fulminations. Sous le coup de ces émotions, il demeure encore plus difficile d'y voir clair, d'apprendre sereinement et de progresser. C'est alors que bien souvent, la régression s'installe sans pour autant en identifier les causes. Cette colère est exacerbée par les réseaux sociaux où de nombreuses personnes donnent l'illusion que le trading est facile en fanfaronnant sur les résultats de telle ou telle journée fructueuse.

Alors, c'est l'expression qui tient lieu, bien souvent à un moment où les débutants considèrent ne plus en être. Dans le contexte de la mort d'un proche, c'est la phase de négociation, de chantage... En trading, c'est la négociation avec les règles fraichement établies parce que la nécessité d'en avoir vient juste d'être comprise. Mais ces règles sont sans cesse contournées... Le Money Management apparait important mais il n'est pas respecté. La négociation s'exprime aussi dans la recherche de formation parfois couteuses, voire toujours plus couteuse. Mais la faim empêche même d'exploiter ces formations jusqu'au bout.

Evidemment, la dépression finit par battre son plein. La quantité d'argent engloutie dans le marché est importante. Dans cette phase, apparait une piètre image de soi et un processus de dévalorisation s'installe.  Les hommes se réfugient dans leur grotte (les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus de John Gray). La famille en pâtie plus ou moins sévèrement, voire la santé dans les cas les plus extrêmes. Le sens des réalités devient confus tout autant que celui des priorités. La sensation de cauchemar ou de mauvaise drogue peut même s'installer.

Enfin, l'acceptation conclue ce deuil douloureux et parfois très long. En trading, elle prend deux tournures : l'arrêt total et définitif de toutes activités de trading ou l'acceptation de la mort de l'utopie Buffet, un jour de déclic. Alors, les bonnes pratiques commencent à remplacer les mauvaises. Il devient plus aisé de s'éloigner des biais psychologiques. Les conseils des anciens sont entendus, appropriés et un système de trading fonctionnel voit le jour. Il ne reste plus qu'à se perfectionner.
Evidemment, ces cinq phases peuvent aussi se superposer dans le temps, ce qui rend ce deuil plus douloureux encore. Mais une chose semble évidente : un meurtrier n'est jamais épris de deuil !

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En conséquence, apprendre le trading dans la sérénité, comme on apprend à l'école ou à marcher, pourrait être concevable dans la mesure où l'on tue volontairement et d'emblée l'utopie Buffet. Il n'y aurait plus de deuil douloureux et dispendieux.
Il est évident que celui qui se lance dans l'aventure du trading en acceptant d'emblée qu'il est très peu probable de devenir riche sans capital significatif abordera le système d'équation sous un angle différent. Idéalement, il faudrait aborder l'apprentissage comme un nourrisson bien entouré aborde la vie : sans prétention et dans la sécurité. En effet, le nourrisson ne sait rien à sa naissance, mais il est programmé pour apprendre avec un cerveau parfaitement disposé à tracer des routes neuronales à chaque leçon de vie. Il ne baisse pas les bras lorsqu'il apprend et grandit. C'est heureux car il apprend presque tout dans l'échec. Aussi, il n'est pas dogmatique et remet tout en question à chaque observation qui pose un dilemme. C'est ce qui lui permettra de comprendre qu'un ballon de baudruche habituellement soumis à la gravité peut aussi s'envoler s'il est plus léger que l'air. Il ne s'enferme donc pas dans des carcans conceptuels. Mais surtout, ce qui fait d'un enfant un adulte intelligent et sociabilisé, réside dans la nature de son entourage et les rapports entretenus avec. Des parents habitués à discuter avec leurs enfants, sur des sujets variés, en faisant des phrases complexes et argumentées donneront davantage d'épaisseur intellectuelle à leurs enfants que des parents peu enclins à l'échange. De plus, les caractéristiques émotionnelles d'une personne naissent dans l'enfance et sont bien souvent le reflet des celles des parents.
De ce constat peut être tirées des conclusions intéressantes : aborder l'apprentissage du trading comme un nouveau né aborde la vie, sans prétention particulière, simplement motivé par la soif d'apprendre selon l'adage "à chaque jour suffit sa peine". Quelques principes émergent et peuvent guider l'organisation d'un plan d'apprentissage.
L'entourage est alors important. Comme un enfant a besoin d'échanges et d'être encouragé, un apprenti trader a besoin d'un environnement riche pour être guidé et apprendre de ses erreurs. Pour cela, il existe peu de solutions et la plus grande difficulté est d'être bien entouré. Beaucoup de temps est nécessaire pour se renseigner sur ce qui est proposé (communautés, contenus pédagogiques...). Cela peut prendre quelques mois le temps de se faire une idée précise tout en ayant identifié les besoins didactiques, phase d'apprentissage par phase. Mais au moment de s'entourer (école, forum...) il conviendra de garder à l'esprit que 90% des traders particuliers sont perdants.
L'entourage est donc important mais ne remplace pas l'apprentissage par essai erreur qui dans cette discipline est probablement le plus profitable. Les échecs successifs doivent demeurer sans grandes conséquences pour que les erreurs puissent se répéter. Ainsi, les capitaux engagés pour apprendre à trader doivent être considérés comme perdus mais pour autant, défendus coute que coute à chaque trade afin d'éviter l'effet "tapie" du joueur de poker plumé. Surtout, chaque trade perdu doit être décortiqué et les enseignements précieusement notifiés (voire partagés au sein d'une communauté qui apportera son lot de remarques plus ou moins pertinentes et dont il faudra faire le tri).
Donc, à l'instar d'un enfant, un apprenti trader apprendra de ses échecs et se relèvera pour repartir au combat grâce à un entourage bienveillant. Le combat est d'ailleurs difficile tant les adversaires sont nombreux.

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En effet, apprendre à trader est complexe car il faut agir dans au moins trois champs indissociables. Pour ce faire, il faut organiser son apprentissage dans le temps selon des principes ciblés qui aideront à gagner la bataille de l'apprentissage.

Le nourrisson ne sait rien lorsqu'il nait, n'a que des instincts et aucune prétention. Pour autant, il va grandir pour affronter les épreuves de la vie : la vie est une bataille et le trading aussi. Le trading s'exerce en effet dans la conflictualité : entre vendeurs et acheteurs, entre court terme et long terme, entre soi-même et ses biais psychologiques... Pour conduire une bataille, il faut un plan. Le plan du nourrisson est établi pas ses parents. Le plan d'apprentissage du trader l'est par lui-même, sans l'expérience de la "vie". Voilà toute la difficulté de cet apprentissage : partir en bataille sans plan, sans armes. Pour gagner une bataille, le Maréchal Foch avait établi des principes : l'économie des moyens, la concentration des efforts et la liberté d'action. Ces principes sont loin d'être inutiles dans le cas qui nous intéresse tant l'apprentissage mobilise de ressources (financières, intellectuelles, matériels...).

L'économie des moyens est le principe selon lequel on emploi au mieux l'ensemble de ses ressources. Rapporté au trading, il s'agit de ne pas perdre son temps et son argent en sachant aller à l'essentiel pour mobiliser au mieux ses capacités intellectuelles. Par exemple, le recours aux comptes Démo est discutable car il n'engage pas d'argent. Dès lors, les faiblesses psychologiques ne sont pas réveillées. Aussi, il faut organiser son temps passé devant les graphiques afin de préserver l'environnement familial et les liens sociaux. Ecarter des actifs peu liquides ou exotiques ou sélectionner un petit panier d'actions, de devises, est une manière de réduire les sous-jacent à observer. Egalement, procéder par thèmes préalablement hiérarchisés est aussi une bonne manière de ne pas se disperser.

La liberté d'action est un principe qui porte bien son nom. S'en inspirer pour apprendre le trading reviendrait à éviter la surchauffe intellectuelle et la destruction du compte de trading (pas de compte, pas trading, juste des analyses). Se dégager des plages de temps spécifiques pour étudier et partager au sein d'une communauté dans des proportions mesurées permettra sans doute de durer sans à-coups. La participation sur les réseaux sociaux et les communautés en ligne doit aller à l'essentiel pour ne pas se perdre en conjectures inutiles. D'ailleurs, le choix de la communauté est primordial. Les mauvais conseils enfermeront l'apprenti dans des impasses plus ou moins chronophages et énergivores. Surtout, en gardant l'esprit ouvert et en refusant tout dogmatisme, l'apprenti conservera toute sa liberté de penser et d'apprendre. En apprentissage comme une fois aguerri, ne pas multiplier les positions permet d'éviter les variations violentes du portefeuille qui déséquilibrent la stabilité émotionnelle et plonge dans l'angoisse stérile.

La concentration des efforts est à la guerre un principe qui permet d'avoir toujours le bon rapport de force face à son ennemi. En trading, il faut d'abord identifier l'ennemi : c'est le trader lui-même, à cause de ses biais psychologiques. Pour cela, il faut s'accepter. Chacun doit faire une analyse honnête de sa personnalité au risque de ne pas savoir contre quoi et qui l'on se bat. Il s'agit ensuite de lutter contre les biais mais surtout et simultanément contre leur cause. Si l'impatience ne sera contraint que par des règles simples (pour qu'elles puissent être suivies) et de la discipline, il faut surtout savoir pourquoi l'on est impatient. La vanité est sacrément tenace : la compréhension de sa place dans l'enfer des marchés financiers est primordiale. Les marchés ne vous connaissent pas et se fichent bien des traders particuliers. Pour lutter contre ces deux biais en concentrant les efforts, la communauté d'accompagnement dans l'apprentissage a son importante. En préférant partager ses pertes plutôt que ses gains, l'humilité finira par prendre une bonne place dans le processus didactique. Au-delà, il convient de déterminer sur quel levier agir pour transformer la vanité en une fierté fertile. La cupidité quant à elle est normalement tuée avec l'utopie Buffet mais elle a tendance à nous hanter. A chacun sa manière de combattre ses fantômes.

Une fois ces principes assimilés et appropriés par chacun, le plan d'apprentissage aura de bonne chance d'être efficace et surtout tenu. En tout cas, il aura le mérite d'exister. Ce plan le sera d'autant plus pertinent qu'il aura des applications dans les trois champs : les connaissances techniques, la méthode du système de trading développé et le domaine du renforcement psychologique. Ces trois domaines devraient être travaillés en fonction de leur importance car le premier est similaire aux fondations d'une maison (et se construit vite), le second aux murs porteurs et le troisième, le toit et les nécessités, c'est à dire ce qui fait que la maison est habitable. Mais rapidement, le plâtrier, le carreleur et le couvreur travaillent en même temps sur la construction au risque de voir le plan de charge s'étalé trop dans le temps. Arrive donc la synchronisation de l'apprentissage. Il n'est pas suffisant de maîtriser le chartisme ou les chandeliers de retournement pour bien trader. Il y a tous les autres champs qui peuvent lever de nombreux obstacles en cours de parcours.







Cycle d'apprentissage greg Ollier




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Ainsi, il semble clair qu'apprendre à trader prend non seulement du temps, mais nécessite d'établir une feuille de route de l'apprentissage, à l'instar d'un programme scolaire. En effet, le trading est une discipline complexe qui demande à la fois des connaissances, mais aussi de la méthode et surtout une parfaite maîtrise des émotions. En effet, une étude américaine (dont je ne retrouve plus les références) a prouvé que les zones du cerveau stimulés lorsqu'un trade évolue négativement est la même que celle stimulée alors que le sujet est en danger de mort. Au-delà des connaissances, il faut donc apprendre à réfléchir en situation de stress extrême. Les militaires l'apprennent par un entraînement difficile, de longue haleine, grâce à un corpus de savoir-faire complet enseigné dans un continuum instruction, entrainement, engagement bien encadré.

C'est pourquoi le trader particulier, souvent bien seul, n'a que peu de chance d'identifier ce type de raisonnement, comme en atteste le taux de réussite communément admis. Le recours aux formateurs ou formations, notamment en ligne est donc vital. La quantité d'information en sources ouvertes est phénoménale, notamment pour acquérir les connaissances techniques (chandeliers japonais, S/R, etc.). Toutefois, pour passer à la phase II (établir un plan, règles de money management...), une communauté semble nécessaire. Tous les formateurs ne sont pas trader ou de bons traders à cause de leurs biais psychologiques. Mais seuls les incompétents notoires sont nocifs. Beaucoup peuvent apporter selon le stade auquel l'on se trouve. Enfin, pour le travail de la psychologie, seul un vrai trader pourra apporter une aide précieuse. A défaut, le temps sera long et une introspection souvent très pénible indispensable pour parvenir seul à conclure victorieusement la bataille de la formation."

Si vous désirez contacter Gregory, vous pourrez le contacter à l'adresse suivante: gregoryollier@hotmail.fr





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Si un type est brillant et possede une methode infaillible, pourquoi s'embeter a perdre son precieux temps a donner des conseils a autrui, meme moyenant finance.

Cela me fait furieusement penser a ces tennis man, un peu loser,classe 200 a l'ATP qui se reclassent dans le coaching car en realite ils sont meilleurs a donner des conseils qu'a reellement les appliquer avec succes
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