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Des jeux, du pain
et du déshonneur
Churchill disait un
jour à Chamberlain a propos des accords de
Munich :
Vous vouliez la
paix, vous vouliez sauver l’honneur: vous aurez la guerre et le
déshonneur!
Le temps ne change
guère les hommes, ce sont les guerres qui changent. F Mitterrand dans
son testament nous prévenait d’une guerre en cours contre les
américains(1), une guerre sans mort, une guerre a
mort !
Le grand coup a
commencé :
Qui se souvient du
camouflet infligé a T Geithner, par la
troïka européenne, lors de son dernier voyage en Europe ? Les
diktats américains ne datent pas d’hier, et le testament de F
Mitterrand est là pour nous le rappeler. La déliquescence de
l’outil industriel et artisanal depuis 30 ans en occident est leur
bébé, la financiarisation de cet appareil et la
délocalisation via la mondialisation a été le passage oblige pour supporter cette concurrence féroce
inventé au seul profit du plan de cartellisation made in USA, la
preuve :
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2011...6/22064710.html
Pire encore,
La mise à
sac de l’occident par les financiers rastaquouères était
décidée de longue date notamment au forum de Davos, par tous
les dirigeants du monde, américains et russes, bras dessus, bras
dessous. Ceux qui ne connaissent pas ce jeu des réunions
internationales réécoutent ce témoignage, et à
partir de la 9eme minute pour les autres, sur la mise en place des
multinationales pour contrôler le monde :
http://www.dailymotion.com/video/xiac60_30...-pour-nous-r...
Depuis un quart de
siècle, nous vivons sur le dogme d’une globalisation
inéluctable, stade ultime du capitalisme, censée apporter
bonheur et prospérité au plus grand nombre. Or, ce monde global
débouche sur une crise… globale.
Sans oublier que capitalisme et communisme n’auront été
que les deux faces d’une même farce.
Ce plan arrive,
La puissance
financière tiens a un fil, elle à un
but, elle à peu de temps. Son seul ressort
est la monétisation de la dette jusqu’à
écroulement total des citoyens et des Etats pour imposer sa banque
mondiale et sa refonte du système monétaire au profit des
familles oligarchiques, comme jadis ce fut le cas pour les banques centrales.
Le plan Liesman(2),
Doit être
imposé aux européens le plus vite possible, c’est le plan
des mondialistes, son pitoyable héraut en France, J Attali ne jure que
par lui. Les européens selon ces dealers de fausses monnaies doivent
endetter l’Europe via une création monétaire fictive de
plus de 2000 milliards d’euro !!! Un énorme Quantitative Easy par le FESF…………..et comme
les américains trouvent que nos gouvernants n’ont pas
l’échine assez souple, une bonne chute des indices boursiers
européens pourrait leur servir a mieux
comprendre qui décide. Dans ce contexte, ceux qui n’ont pas
encore compris que les marchés ne sont pas efficients, et
n’existeront peut être même plus avant la fin
2012…………peuvent continuer à écouter la
musique sur l’insubmersible navire boursier. L’article
posé en lien ci-dessous considère qu’une chute de 10/15%
sur les marchés européens est un minima pour réveiller
la BCE, avec toute sa clique………….en fait un bon
prétexte diront nous.
Le tsunami
monétaire viendra,
Ces monstrueuses
quantités de fausse monnaie peuvent encore tromper un peu de temps,
comme la mer quand elle se retire avant un tsunami, mais il ne passera un an
que la vague reviendra, a ce moment ils reconnaitront
une inflation masqué depuis des années par des statistiques
magiques, juste réservé a la
plèbe planétaire qui ne cesse d’enfler, qui connait elle
le prix du pain…………..
Les peuples sont
dans la rue,
Un peu partout dans
le monde ; ils réclament des jeux et du pain ; incroyable que dans
cette société dont la richesse et les moyens techniques
n’ont aucun égal dans l’histoire de
l’humanité, il existe autant de misère, de corruption et
de vices…………a qui reviendra
le comble du déshonneur…………..certainement pas a ceux qui gouvernent, il y a trop longtemps qu’ils
ne connaissent plus la honte.
In fine
Les incroyables
dispositions prises pour piéger ceux qui ont encore quelques
économies, les manipulations pour les écarter de la conversion
en or et bien tangibles avant la vague de 2012, offre des opportunités
dans la dernière baisse qui se profile et qui impactera certainement
l’or et l’argent…………c’est le
dernier train. Les grands financiers préparent la nasse, vos
gouvernants sont en train de se faire botter le cul pour
accélérer la manœuvre……rira bien rira le
dernier. Les derniers nantis de la classe moyenne méprise la
piétaille qui se débat pour survivre, cette dernière
nourrie sa haine au quotidien, un jour ils se retrouveront face à
face, peut être que les forces de
l’ordre ne seront pas du coté
qu’ils pensent……c’est déjà ailleurs :
Les marines rejoignent
les manifestants devant Wall Street :
http://leveil2011.syl20jonathan.net/?p=4581
La police se joint
aux manifestants au Portugal :
il est minuit, dormez braves gens !
Denissto
(1) « La
France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec
l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une
guerre économique, une guerre sans mort…apparemment. Oui, ils
sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un
pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une
guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort
! »
(2)Les spéculations vont bon train outre-Atlantique sur le fonds
européen
De Hugues HONORÉ (AFP) – il y a 1 heure
WASHINGTON — Les spéculations vont bon train outre-Atlantique
sur la meilleure forme à donner au fonds de secours européen
(FESF), entre un gouvernement américain qui donne ouvertement son avis
et Wall Street qui cherche la meilleure issue à la crise de la dette
publique.
Depuis mi-septembre, Washington cherche à convaincre la zone euro
d'aller plus loin que le dispositif actuellement prévu, doté de
440 milliards d'euros.
"Ils traversent une crise financière qui fait peur au monde",
disait lundi le président Barack Obama. Et d'après son
gouvernement, le moyen de la combattre est d'augmenter les ressources du
Fonds européen de stabilité financière.
Le Trésor des Etats-Unis appelle à impliquer la Banque centrale
européenne, qui pourrait prêter au FESF.
"Une condition nécessaire à la confiance est de voir les
gouvernements et la banque centrale collaborer particulièrement les
uns avec les autres", disait samedi le secrétaire au
Trésor Timothy Geithner, qui se disait
"prodigieusement impressionné" par l'action de la BCE dans
cette crise.
"Ils vont devoir mettre en place derrière cela un cadre financier
bien plus puissant", poursuivait-il lundi, rappelant que les Etats-Unis,
en 2008 et 2009, avaient employé "une force financière
énorme" face à la crise financière.
La directrice générale du Fonds monétaire international
(FMI), Christine Lagarde, apprécie l'idée. "Je me demande
personnellement s'il ne serait pas nécessaire d'avoir une combinaison
des deux [interventions du FESF et financement par la BCE], avec un soutien
évident des Etats et des garanties d'une manière
organisée", confiait-elle le 23 septembre.
Lundi, la chaîne d'information américaine CNBC a
évoqué, en citant "un responsable" non
précisé, un projet de plan dont discuteraient les
Européens: la Banque européenne d'investissement
créerait un "véhicule spécial
d'investissement" qui pourrait emprunter à la BCE pour acheter de
la dette d'Etats en difficulté.
Aux Etats-Unis, ce projet est surnommé "plan Liesman",
du nom du journaliste de CNBC affecté au Trésor et à la
Réserve fédérale, et qui a révélé
l'information, Steve Liesman.
L'existence de ce projet a été vigoureusement démentie
par l'Allemagne. Le ministre des Finances allemand Wolfgang Schaüble a qualifié mardi l'idée de
"stupide".
Des analystes voyaient donc ce "plan Liesman"
le fond de la pensée du gouvernement américain.
"Pourquoi un responsable de haut niveau européen donnerait-il ce
scoop à Stevie plutôt qu'à un média
européen ou plus en vue?", s'interrogeaient mercredi les
analystes de la maison de courtage M. Ramsey King
Securities, suggérant que le "responsable" qui avait
révélé ces détails serait américain.
A Wall Street, l'idée inspire des doutes.
"Cela pourrait équivaloir à une monétisation (en
catimini) de dette à grand échelle, et ce n'est pas une
décision que la BCE ou les pays du centre de la zone euro ont des
chances de prendre facilement ou rapidement", écrivaient jeudi
les analystes new-yorkais de la maison de courage japonaise Nomura.
L'un d'eux, Jens Nordvig, comparait l'idée
à celle défendue en 2008 par le secrétaire au
Trésor de l'époque, Henry Paulson, de
se doter d'un "bazooka" contre la crise financière. M. Nordvig se disait "loin d'être convaincu"
que les Européens aient envie de monter ce "bazooka".
"L'histoire récente du processus politique européen
laisser penser qu'aucune solution aux problèmes de dette publique
n'interviendra tant que les dirigeants ne seront pas poussés à
prendre des mesures de correction par une nouvelle chute de 10 à 15%
des indices boursiers américains et européens",
déplorait jeudi John Lonski, de Moody's Analytics.
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