Nom de code : Opération Black Swan

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Published : November 02nd, 2012
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Mes chères contrariées, mes chers contrariens,


En cette période, je ne résiste pas à faire le parallèle entre l'agent 007 et My name is Baroin... François Baroin. Bon, je l'avoue, cela fait moins classe que Bond, James Bond, mais tout de même... Nous aussi nous savons lancer des opérations secrètes. Retour sur l'événement.


Black Swan : Bercy anticipa un éclatement de la zone euro


Qui a dit que nos ministres n'étaient pas cultivés ni créatifs. François Baroin, dans son livre Journal de crise, révèle qu'une réunion secrète a eu lieu à Bercy l'an dernier pour évoquer un scénario catastrophe : l'éclatement de la zone euro. Nom de code de cette rencontre : « Black Swan ».


François Baroin admet, dans son livre, avoir travaillé sur l'hypothèse d'un éclatement de la zone euro.

L'ancien ministre de l'Economie François Baroin publie un livre qui commence déjà à faire du bruit. Journal de crise, c'est son nom, est un carnet de bord embarqué dans les couloirs de Bercy. Le récit de son passage au Budget et aux Finances, de mars 2010 à mai 2012, au cœur de la crise de la zone euro. Et il y parle notamment d'une mystérieuse réunion.


Pas de traces, pas de documents ! La réunion était totalement secrète... À tel point que François Baroin reconnaît lui-même qu'il ne prenait aucune note.


D'après l'article de BFM TV, l'ancien ministre laisse imaginer la scène. Nous sommes en novembre de l'année dernière, trois personnes de confiance assises dans son bureau. Nom de code de la rencontre, « Black Swan », en référence au livre qui a théorisé la puissance des événements imprévisibles. Interdiction aux participants de mentionner ne serait-ce que l'existence de ce rendez-vous, même à ses proches.


Mais qu'ont-ils de si dangereux à cacher ? Réponse de François Baroin, « l'hypothèse la plus sombre de notre histoire économique moderne », à savoir le scénario d'un éclatement de la zone euro : sortie de la Grèce de la monnaie unique et effet domino sur l'économie française. C'est la première fois qu'un responsable politique français admet avoir travaillé sur cette hypothèse.


Voilà qui est de nature à rassurer les plus « pessimistes » d'entre nous. Nous n'avons pas rêvé. Il y a bien un problème majeur et effectivement, il est important de se préparer. Mais il ne faut pas vous inquiéter. Le pire de la crise est derrière nous.

Notre Président François Hollande nous l'a bien dit.


Cela dit, cette information m'inspire plusieurs remarques.


Ce qui est extraordinaire, c'est la capacité de nos dirigeants à déclarer publiquement certaines choses, et à faire en secret l'inverse. C'est justement pour cela qu'il faut ne faire preuve d'aucune naïveté, d'où la nécessité impérative de conserver en toutes circonstances un esprit critique affûté en regardant avec une lucidité absolue les faits.

Or, les faits, si on les regarde aujourd'hui, nous montrent clairement que rien, strictement rien n'a changé depuis 2011, à part des promesses de dons de pays totalement surendettés dans un mécanisme européen pour tenter de sauver des pays carrément en faillite. Sinon rien. N'oubliez pas, comme le dit l'adage populaire, que les « promesses n'engagent que ceux qui y croient ».


La deuxième remarque, c'est pourquoi François Baroin parle-t-il de ce sujet aujourd'hui ? C'est un homme intelligent qui a une parfaite connaissance et maîtrise de ce qu'est le concept de secret d'état et/ou de confidentialité ou de « réserve ». C'est donc une démarche parfaitement consciente de sa part.

Penser qu'il s'agit simplement de faire un « coup » d'édition me semble un peu court comme explication, de la part d'un homme dont la famille et la vie ont toujours été dédiées au service de l'État. Monsieur Baroin n'a pas besoin de « vendre » quelques milliers de livres en plus ou en moins. Alors pourquoi ?


On peut dès lors imaginer que ce type d'ouvrage et de déclarations permettent tout simplement de banaliser l'idée même d'éclatement de la zone euro. Le président de la République, lui, parle d'une Europe à plusieurs vitesses. Globalement, l'idée reste la même.


Enfin, pour ceux qui ne l'ont pas lu, le livre de Nassim Nicholas Taleb Le cygne noir : La puissance de l'imprévisible est particulièrement remarquable et sa lecture indispensable pour bien comprendre qu'en réalité, ce sont les événements imprévisibles et hautement improbables qui façonnent le monde et nos vies.


Les prévisions à base de moyennes sont systématiquement démenties par les faits. Mais les moyennes restent le seul outil pourtant utilisé pour fonder nos décisions.


L'explosion de l'euro est le « Cygne noir » par excellence. Une chose qui ne devrait pas arriver. Mais qui pourtant se produit. Le simple fait que cela soit officiellement envisagé par nos plus hautes autorités et qui plus est désigné comme étant un Cygne Noir est un... signe qu'il ne faut pas ignorer.


Pendant ce temps, outre-Rhin, nos « amis » allemands commencent à s'agacer prodigieusement de notre non-vision politique et économique.


L'Allemagne s'inquiète pour l'économie de la France


C'est un excellent article du Figaro du jeudi 1er novembre qui résume parfaitement la situation. Le Figaro revient longuement sur la « Une » du grand quotidien populaire allemand Bild, qui pose la question qui fâche : la France est-elle en train devenir la nouvelle Grèce ?


« Officiellement, les relations sont au mieux. Mais en coulisses, conseillers et anciens dirigeants critiquent les décisions économiques de Paris. 


Une fois encore, c'est le grand quotidien populaire Bild, qui saute dans le plat à pieds joints. "La France est-elle en train de devenir la nouvelle Grèce ?", s'interroge le journal. La question provocatrice lancée comme un signal d'alarme est volontairement outrancière. Cependant, elle traduit le malaise réel des élites allemandes et du gouvernement d'Angela Merkel à l'égard de leur grand voisin : la France est devenue un sujet d'inquiétude en Allemagne. S'exprimant lors d'une conférence organisée par l'institut sur l'avenir de l'Europe – fondé par le milliardaire Nicolas Berggruen – l'ancien chancelier social-démocrate, Gerhard Schröder, n'a pas mâché ses mots. Il a taclé ses camarades socialistes français, comparant la France d'aujourd'hui à l'Allemagne de 2003, alors considérée comme "l'homme malade de l'Europe". Schröder l'avait sortie de l'ornière grâce à sa cure de réformes libérales, "l'Agenda 2010".


"Les promesses de campagne du président français finiront par se fracasser sur le mur des réalités économiques, a-t-il prévenu. Si le refinancement de sa dette devient plus difficile ce sera le début des vrais problèmes pour la France". Ainsi, pour Schröder l'avancement de l'âge de la retraite est "simplement le mauvais signal", "pas finançable". La pression fiscale aura pour effet, selon lui, non seulement de provoquer une fuite des capitaux, mais conduira à un effondrement du financement des emplois en France. "Deux ou trois mauvais signaux et nos amis français seront rattrapés par les réalités", lance Schröder à ses camarades à Paris.


Bild enfonce le clou en citant "25 % de chômage des jeunes", "5 % de déficit budgétaire", "zéro croissance", "climat des affaires au plus bas depuis trois ans", sans oublier la "crise lourde de l'industrie automobile"… "La France se finance encore dans de bonnes conditions sur les marchés, mais les chiffres de son économie rappellent les États du Sud en crise." Et le journal de lancer un appel à Hollande pour "mener enfin des réformes courageuses". Pour Bild, il s'agit d'éviter que la "Grande Nation ne devienne aussi pauvre que les Grecs fauchés".


"Alice au pays des merveilles"

L'ancien chancelier a lancé de vive voix les inquiétudes que le gouvernement Merkel n'ose formuler publiquement. À la Chancellerie et dans les grands ministères à Berlin, l'invitation à commenter officiellement la situation en France se heurte systématiquement à un refus teinté d'un rictus angoissé. Mais en privé, quelques langues se délient. "Bild est dans l'exagération, tempère un responsable placé au cœur du pouvoir berlinois. La France, ce n'est ni la Grèce, ni l'Espagne, ni l'Italie. Mais ce qui s'y passe est inquiétant. Hollande donne une impression d'Alice au pays des merveilles. Idéologiquement, il s'est isolé de ses voisins, qui mènent des réformes structurelles courageuses. Mais il réalisera tôt ou tard que la France ne peut échapper aux lois de la physique."


Les économistes allemands les plus écoutés par le gouvernement sont unanimes. Le cocktail de hausses d'impôts et de trop timides coupes dans les dépenses de l'État étouffera la croissance en France et provoquera du chômage. "Ils nous disent tous que seules les réformes structurelles et la discipline budgétaire peuvent impacter positivement la croissance et l'emploi", poursuit le responsable. Les recettes des économistes allemands, pour créer un choc de compétitivité en France : "baisser le coût du travail", "abolir les 35 heures", "augmenter la flexibilité", "mettre fin aux avantages des fonctionnaires trop privilégiés par rapport aux emplois précaires", "réduire le poids de l'État dans l'économie", "lever les barrières à la concurrence", "baisse des impôts", "réforme du système social, notamment les retraites".


Les responsables allemands soulignent les "extraordinaires atouts" de la France. "Grâce à son fort taux de natalité, elle n'a pas besoin de faire autant d'efforts que nous, qui sommes frappés par la dépopulation, explique l'un d'entre eux. Cela lui offre un bonus de croissance de l'ordre de 1 % par rapport à l'Allemagne." Mais Berlin redoute surtout que la politique de Hollande ne finisse par saper la dynamique des réformes structurelles et de la discipline budgétaire en Europe. "S'il persiste dans ses choix hasardeux, s'inquiète-t-on dans la capitale allemande, Hollande finira par donner raison à ceux qui, en France et en Europe, affirment que ces remèdes cassent la croissance et l'emploi. »


En clair, nos « amis » allemands sont furieux de notre manque de courage et de vision. Ils ont raison. Cela n'est pas nouveau. Nous aurions bien tord de blâmer exclusivement François Hollande.


Nous sommes tous coupables collectivement et ce, depuis une bonne trentaine d'années. Nous ne faisons rien. RIEN.

Toujours plus de dépenses.

Toujours plus d'impôts.

Toujours plus de décentralisation pour satisfaire les ambitions (et le pouvoir d'achat) d'une classe politique régionale de plus en plus pléthorique.

Toujours plus d'aides sociales pour tous. Le RSA, les CAF, l'allocation de rentrée scolaire qu'il faut même augmenter de 25 % cette année !! Absurde.

Toujours aucune réforme de notre droit social ou du travail dont les « codes » ne font que voir leur nombre de pages s'élever d'année en année.

Toujours aucun effort sur les régimes spéciaux, étrangement absents de tous les débats.


Nous sommes un peuple qui manque cruellement de courage. Nicolas Sarkozy a perdu cinq ans à s'agiter pour pas grand-chose, sans s'attaquer aux maux profonds qui rongent l'économie française.

Jacques Chirac, malgré toute la sympathie que je porte à l'homme, fut un roi fainéant. Quant au règne de Tonton 14 (ans), seul subsiste de son œuvre quelques somptueux bâtiments et... une monnaie unique qui désormais prend l'eau de toute part.


Notre pays est, sous nos yeux, en train de s'enfoncer dans l'abîme. Vous pouvez ne pas le voir, ou plutôt ne pas vouloir le voir, mais la réalité va nous rattraper et très vite.


Préparez-vous. Le temps nous est désormais compté. Nous sommes le principal de l'Europe. L'Espagne, l'Italie et la Grèce ont toujours été et seront toujours des pays du Sud.

La France pouvait se placer dans le peloton de tête et l'euro, notre monnaie unique, est fondamentalement basée sur la convergence des économies françaises et allemandes.


Nous ne rattraperons plus l'Allemagne. L'euro est donc mort.


1992-2013... ci-gît l'euro, monnaie unique.



Charles SANNAT

Directeur des Etudes Economiques Aucoffre.com

 

 

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si chacque sitoyen serait pres a se sacrifier pour cela aulieu de plier la guerre contre le mal serait gagné car 6 milliard d'humain contre une poignée de ramassie de fausse monnaie je pense que le peuple sortira gagnant
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solution l'étalon or maintenant je comprends sa nécessité et aussi ne plus jamais s'en départir donc plus d'argent pour les guerres!!
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mais pourquoi il ne dit pas les vrais choses que tout ca c,est une mascarade et que la réalité c'Est que tout les dirigeants de pays démocratique qui fournique avec la reine elisab. et les usa veulent détruire le monde car il y a trop de monde sur la planette leur but 650 million pas plus et un gouvernement mondial alors il mentent en disant que sa leur dérange de voir l'économie tombé mais en réalité ils sont au premieres loges et de sang royal comme les lezards!! haha je suis commic!!!!
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Dimanche 4 novembre 2012 :

Grèce : Antonis Samaras ressort la menace de la drachme avant des votes cruciaux.

Le Premier ministre grec, Antonis Samaras, a de nouveau brandi dimanche la menace d'une sortie de l'euro, si le parlement ne votait pas la semaine prochaine le train de rigueur réclamé par l'UE et le FMI.

Les votes cruciaux, attendus mercredi 7 novembre sur une loi-cadre détaillant des économies budgétaires de plus de 18 milliards d'euros, et dimanche sur le budget 2013, sont la condition pour que le pays "en finisse définitivement et irrévocablement" avec le danger d'un retour à la drachme, a souligné M. Samaras.

"Nous devons sauver le pays de la catastrophe (...) Si nous échouons à rester dans l'euro, rien n'aura de sens", a-t-il insisté, s'exprimant devant son groupe parlementaire conservateur.

M. Samaras, qui s'était targué jusque-là d'avoir écarté la menace du retour à la drachme, a retrouvé ces accents dramatiques au vu des fissures au sein de l'alliance gouvernementale, qui écornent sa majorité parlementaire et la légitimité du sursaut de rigueur.

http://www.boursorama.com/actualites/grece-antonis-samaras-ressort-la-menace-de-la-drachme-avant-des-votes-cruciaux-267d1f93683978c8f324668237539e1c

Dette publique de la Grèce :

2013 : dette publique de 189,1 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.

2015 : dette publique de 207,7 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.

2016 : dette publique de 220,4 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.
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Baisser le coût du travail ? Chiche ! Mais on commence par les plus gros salaires, hein ? C'est pas le smicard à 990 euros et toutes les charges dont le patron est exonéré, qui coûtent cher, hein ? Mais, tiens les exonérations de charges, elles ne seraient pas financées par...la dette souveraine ? Toutes les niches fiscales de gros biens planqués de l'impôt aussi. Ce sont les artisans, TPE / PME qui paient le plus, pas les gros du CAC 40. Sans oublier les commerçant dont le loyer des boutiques est un véritable racket. Ce sont les intérêts de la dette qui nous mettent dans la merde jusqu'au cou, pas la dette. Il faut faire défaut sur la dette, et ré-autoriser la Banque de France à la financer à 0,1 % d'intérêt. Et il faut publier la liste des créanciers de chacune de nos adjudications sur les "marchés", histoire de voir si l'argent provient ou non du crime international organisé, de quelles institutions financières. Pour cela, il faut une renverser le régime en place, emprisonner la totalité des politiques qui ont conduit la France à ce désastre, faire taire les syndicats le temps qu'il faut, interdire aux patrons de former des ligues factieuses, et activer la force de frappe nucléaire pour être capable de frapper n'importe quel paradis fiscal. C'est le prix payer pour retrouver notre souveraineté nationale.
Rien que la publication de la liste de nos créanciers engendrera des troubles sociaux très graves, car la population comprendra enfin les tenants et aboutissants d'un mécanisme infernal mis en place dans les années 1970...Et cette liste est gardée à un niveau de secret comparable aux codes de la force de frappe nucléaire. C'est dire l'impact majeur que se divulgation aura sur le cours de l'Histoire, et pas que de France.
Pour la dette de la Grèce, lire ça http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=14659 Et ce n'est que la partie à peine visible d'un iceberg gigantesque, qui concerne toute l'Europe, France comprise.
La Grèce de nouveau sous pression de l’Europe.

Autre sujet d'inquiétude, la dette qui devrait s'envoler l'an prochain à 189,1% du PIB, soit 346,2 milliards d'euros, contre 175,6% attendu en 2012. La dette s'alourdit car la Grèce reçoit de nouveaux prêts de l'UE et du FMI depuis 2010, tout en peinant à lancer son programme de privatisations censé l'aider à rembourser ses dettes.

Au terme des quatre ans sur lesquels table la Grèce pour assainir ses comptes – si elle obtient le sursis demandé – les estimations de dette sont encore plus inquiétantes, la Grèce voyant son ardoise culminer à 220,4% du PIB en 2016, selon le « cadre de stratégie des finances publiques à moyen terme 2013-2016 » introduit parallèlement au parlement mercredi.

http://www.boursorama.com/actualites/la-grece-de-nouveau-sous-pression-de-l-europe-79837ab43be348b862e91518f5d1673b

Dette publique de la Grèce :

2007 : dette publique de 107,4 % du PIB.
2008 : dette publique de 112,6 % du PIB.
2009 : dette publique de 129 % du PIB.
2010 : dette publique de 144,5 % du PIB.
2011 : dette publique de 170,6 % du PIB.
2012 : dette publique de 175,6 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec. La dette augmente, augmente encore, augmente toujours, alors que le premier défaut de paiement de la Grèce a effacé 107 milliards d'euros de dettes.

2013 : dette publique de 189,1 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.

2015 : dette publique de 207,7 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.

2016 : dette publique de 220,4 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.

La question n'est plus de savoir si le deuxième défaut de paiement de la Grèce va avoir lieu.

La question est de savoir quand le deuxième défaut de paiement de la Grèce aura lieu.

En zone euro, il va y avoir des défauts de paiement en cascade.
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"Nous aurions bien tord de blâmer exclusivement François Hollande."

TORT Charles, Tort.

Sinon, c'est bien un des moins cons, si ce n'est le plus talentueux, qui est publié sur ce site.
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Dimanche 4 novembre 2012 : Grèce : Antonis Samaras ressort la menace de la drachme avant des votes cruciaux. Le Premier ministre grec, Antonis Samaras, a de nouveau brandi dimanche la menace d'une sortie de l'euro, si le parlement ne votait pas la sema  Read more
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