Voici
ce que certains hommes célèbres ont déclaré
à propos de la question de l’argent.
ALAN GREENSPAN : « Sans
étalon-or, il n'existe aucun moyen de protéger l'épargne
de la confiscation par l'inflation. Ceci est le secret minable des diatribes
anti-or des partisans de l'État-providence. Le déficit de
dépense n'est qu'un procédé malhonnête visant
à la confiscation cachée des richesses. L'or fait obstacle
à ce procédé insidieux. Il s'érige en protecteur
des droits à la propriété. Si l’on comprend
cela, on n’a aucune difficulté à comprendre la haine des
étatistes envers l’étalon-or. »
PRESIDENT THOMAS JEFFERSON : « Le système
bancaire [est] une souillure laissée dans toutes nos Constitutions,
souillure qui, si on ne la corrige pas, disparaîtra lorsque ces
Constitutions seront détruites…Je crois sincèrement que
les institutions bancaires sont plus dangereuses que des armées de
métier, et que le principe qui consiste à dépenser de
l’argent qui devra être remboursé par la
postérité…ne se résume qu’à escroquer
le futur à grande échelle. »
PRESIDENT JAMES A. GARFIELD : « Quiconque
contrôle le volume d'argent dans n'importe quel pays est le maître
absolu de toute l'industrie et de tout le commerce. »
CONGRESSMAN LOUIS McFADDEN
: « Les banques de la Réserve Fédérale sont
l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais
connues. Il n’y a pas une personne autour de moi qui ne sait pas que ce
pays est dirigé par les banques internationales. »
HORACE GREELEY : « Tandis que nous vantons
nos nobles actions, nous prenons soin de cacher que par le biais d’un
système monétaire profondément injuste, nous avons
nationalisé un système d’oppression qui, bien que plus
raffiné, n’en est pas moins cruel que l’ancien
système d’esclavage. »
THOMAS A. EDISON : « Les gens qui ne
donneront pas un coup de pelle dans ce projet (le barrage de Muscle Shoals) ni ne fourniront un peu de matériel recevront
davantage d’argent des Etats-Unis que ceux qui fournissent tout le
matériel et font tout le travail. C’est ce qui est terrible avec
les intérêts…mais voilà : si le pays peut
émettre une obligation d’un dollar, il peut émettre un
billet d’un dollar. Ce qui fait que l’obligation est bonne vaut
également pour le dollar. La différence entre
l’obligation et le dollar est que l’agent de change recevra deux
fois la valeur de l’obligation plus 20%, tandis que l’argent
honnête fourni par la Constitution ne paie que ceux qui contribuent de
manière utile. Il est absurde de dire que notre pays peut
émettre des bons mais pas d’argent. Tous deux
représentent un promesse de paiement, mais
l’un engraisse l’usurier et l’autre aide le
peuple. »
PRESIDENT WOODROW WILSON : « Un grand pays
industriel est contrôlé par son système de crédit.
Notre système de crédit est concentré. La croissance de
la nation et de toutes nos activités sont aux mains de quelques
hommes. Nous en sommes arrivés à être l’un des
gouvernements les plus mal dirigés, les plus complètement
dominés et contrôlés du monde ; et non plus un
gouvernement de libre opinion, de conviction et de vote de la
majorité, mais un gouvernement dirigé par l’opinion et la
contrainte exercée par un petit groupe dirigeant ». (Juste
avant de mourir, en parlant de la loi sur la Réserve
Fédérale votée durant son mandat présidentiel,
Wilson aurait déclaré à des amis qu’il avait
été « trompé » et qu’il
avait « trahi » son pays.)
SIR JOSIAH STAMP (Président de la Banque
d’Angleterre dans les années 1920, deuxième richesse
d’Angleterre): « Les banques ont été
conçues dans l’iniquité et sont nées dans le
péché. Les banquiers possèdent la terre. Si vous la leur
enlevez mais leur laissez le pouvoir de créer du crédit, ils
créeront en un coup de crayon assez de crédit pour la racheter.
Mais reprenez leur ce pouvoir et des grandes fortunes telles que la mienne
disparaîtront, et elles doivent disparaître, car cela ferait du
monde un endroit meilleur et plus heureux à vivre. Mais si vous voulez
être les esclaves des banquiers et payer le coût de votre propre
esclavage, alors laissez les banquiers contrôler l'argent et
contrôler le crédit. »
MAJOR L .L. B. ANGUS : « Le système
bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce
procédé est peut-être le tour de passe-passe le plus
ahurissant jamais inventé. Les banques peuvent en effet enfler,
frapper et détruire l’argent moderne d’un coup de crayon
dans le grand livre des comptes. »
RALPH M. HAWTREY (ancien secrétaire anglais du
Trésor) : « Les banques prêtent en
créant du crédit. Elles créent les moyens de paiement
à partir de rien. »
ROBERT HEMPHILL (ancien Gérant des
Prêts, Banque de la Réserve Fédérale
d’Atlanta, Géorgie) : « Cela est
stupéfiant. Nous sommes complètement dépendants des
banques commerciales. Chaque dollar en circulation, cash ou crédit,
doit être emprunté. Si les banques créent assez
d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous
mourons de faim. Nous n’avons absolument aucun système
d’argent permanent. Lorsque l’on adopte une vision
d’ensemble, l’absurdité tragique de notre position est
presque incroyable, mais elle est bien réelle. C’est la question
la plus importante sur laquelle les gens intelligents peuvent enquêter
et réfléchir. Elle est si importante qu’à moins
d’être largement comprise et que ses défauts soient
corrigés au plus tôt, notre civilisation d'aujourd'hui pourrait
s’effondrer. »
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