Regardez-vous en face, pauvres élus

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Published : April 12th, 2015
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Qu’il est amusant, le petit crin-crin de la représentation nationale ! Qu’ils sont savoureux, ces petits couinements de députés et de sénateurs qui découvrent, lentement, comme une tortue sortant très précautionneusement la tête d’une carapace multicentenaire, que le peuple n’est plus du tout synchrone avec leurs méthodes, leurs idées et leurs façons d’agir ! Qu’elle est comique, la plainte récurrente de ces élus qui réclament, un peu trop bruyamment, que le peuple fasse enfin comme ils disent, mais surtout, surtout, pas comme ils font !

Regardez-les, nos beaux parleurs, nos grands orateurs, nos fiers tribuns, regardez-les se moquer de nous, de vous, de tous ceux qui les ont élus, et pire encore, de ceux qui ne les ont pas élus. Regardez-les se foutre ouvertement de la démocratie dont ils se gargarisent à chaque élection. Regardez-les tenter tous les mensonges et toutes les compromissions pour continuer à faire croire qu’ils en valent la peine à ceux qui font encore l’effort de se déplacer pour voter et d’investir du temps ou de l’argent pour eux. Regardez cette bande d’aigrefins et d’hypocrites se débattre pour conserver le pouvoir, et, par dessus-tout, tenir le peuple loin de leurs petits privilèges !

J’exagère ? Je fais du poujadisme ?

Et pourtant, qui d’autre qu’un député (écologiste, en l’occurrence) a envisagé, très sérieusement, de déposer un projet de loi pour rendre le vote obligatoire ? Comment ne pas voir cet immense mépris du peuple dans cette proposition de démocratie coercitive, et la dérive totalitaire qui se cache derrière ? Comment ne pas voir l’immense hypocrisie du député de Rugy qui l’a proposée, alors même qu’il n’est pas lui-même présent à tous les votes de l’Assemblée qui l’indemnise pourtant richement ? Monsieur de Rugy, vous qui proposiez il y a quelques semaines d’imposer le vote à vos concitoyens, toute honte bue, que foutiez-vous le 9 avril dernier lorsque la Loi Santé, pourtant si importante aux yeux du gouvernement, fut soumise au vote ? Non, vous n’étiez pas là où vous auriez dû être. Votre minuscule morale et votre républicanisme de foire, qui vous fit dire « il faut être concrets sur les valeurs de la République, et dans ces valeurs, il y a cet engagement civique autour du vote », ne vous ont manifestement pas poussé à venir voter cette loi, comme tant d’autres. Manifestement, lorsque vous profériez « la République, c’est des droits et des devoirs », vous n’aviez pas pensé, la moindre seconde, à vos propres devoirs.

bousculade à l'assemblée nationale

Et pourtant, comment qualifier de démocratique la représentation nationale lorsqu’elle n’est plus composée que de 35 membres (soit 6% des élus) pour voter une loi qui aura un impact majeur sur la vie des Français ? Oh, on m’objectera que les séances sont longues, que les nuitées sont parfois dures dans les rangs de l’Assemblée, et qu’il est souvent difficile de rester tard la nuit (ou tôt le matin, selon le point de vue) pour exprimer son vote.

Mais à qui la faute, sapristi ? Qui pond des textes kilométriques pour chaque loi, qui chie de l’amendement comme un troupeau de pachydermes diarrhéiques, qui, si ce n’est ces mêmes élus, ces mêmes petits messieurs et ces mêmes petites dames avides de laisser, à tout prix, leur nom dans les pages de plus en plus nombreuses du Journal Officiel ? Vous vous plaignez de séances trop dures, trop longues, de ne pouvoir assister à ces votes primordiaux parce que retenus dans l’une de ces nombreuses commissions ? Mais qui, si ce n’est vous-mêmes, instituez et produisez de la Commission comme des saucisses industrielles ? Qui, à part vous-mêmes, peut être tenu responsable de vos emplois du temps soi-disant surchargés, de vos séances à rallonge et de vos assignations trop nombreuses à la myriade de Commissions que vous avez créées ?

Et pourtant, comment considérer que la représentation nationale fait ce que le peuple attend d’elle lorsqu’elle s’apprête à voter la Loi Renseignement, texte inique qui entend faire placer, au cœur même des fournisseurs d’accès à internet, des boîtes noires d’espionnage, ni plus ni moins ? Qui peut croire, une seule seconde, que les députés ont été élus pour s’assurer que les Français allaient pouvoir être tous écoutés par l’une ou l’autre administration ? Qui peut croire que les Français, ceux qui se sont fait violence et ont grillé quelques calories pour aller voter pour ces tristes personnages, réclamaient aussi clairement la censure d’Internet sans le passage par la Justice ? Dans quel programme, du PS, de l’UMP, de l’UDI, du FN, des écolos ou des dinosaures communistes peut-on lire que le député s’engagera à voter une loi permettant ainsi, véritablement, le piratage de tout ordinateur personnel d’une personne ayant été par hasard avec une personne suspectée, chose que permet pourtant explicitement la loi Renseignement en examen actuellement ?

Messieurs les élus, prendriez-vous les Français pour des abrutis ?

Eh bien tout le souci est qu’ils commencent à s’en rendre compte et qu’ils en ont, de plus en plus, autant à votre égard et que chaque petit fait, insignifiant en lui-même, vient s’ajouter aux autres pour former à la fin ce tas immense d’incuries, d’hypocrisies et de comportements scandaleux qui menèrent, jadis, certains de vos prédécesseurs à la potence…

Oh qu’ils sont amusants, ces petits cris sur le thème du « bashing anti-élus », qui voudraient rappeler que non, « ils ne sont pas tous pourris ! », qu’ils sont pour la plupart dévoués à la cause et qu’ils sont nombreux, les volontaires bénévoles dans ce curieux milieu de la politique. Oh, qu’ils sont à côté de la plaque, ces commentaires qui insistent sur le fardeau que représente le mandat électif, les risques que l’on encourt à l’exercer, comptant moult menaces sur la vie professionnelle ou familiale de l’élu… Et inversement, qu’elle fut irritante, cette belle unanimité processionnelle lorsqu’un élu aura trouvé dans le suicide un moyen d’échapper à la justice de son pays, qu’il avait peut-être analysée avec lucidité comme complètement corrompue…

Mais après tout, n’est-ce pas justement ce que souhaitait Montesquieu qui rappelait qu’on ne devait toucher aux lois que d’une main tremblante ? Ne serait-ce pas souhaitable qu’on ne s’engage en politique que tremblant de peur à l’idée de si lourdes responsabilités à exercer, et des si importantes menaces qu’elles font peser sur soi et sa famille ? Ne serait-ce pas désirable que les postes d’élus ne trouvent plus preneurs, qu’enfin la chaise vide succède à celles trop pleines, trop nombreuses, trop coûteuses, trop verbeuses même ?

24hGold - Regardez-vous en fac...

Ce monde et ce pays ont besoin de moins d’élus, de moins d’individus qui se croient ainsi investis d’une mission, qui veulent s’élever au-dessus des citoyens pour en prendre la direction. Ce pays a certainement moins besoin d’eux que d’un peu plus d’humilité de leur part. Ce pays, perclus de ses 600.000 élus, a besoin d’un peu moins de « responsables » politiques qui, dès qu’il s’agit justement d’exercer leur responsabilité, font preuve d’une absence parfois pathétique de courage voire d’une légèreté coupable. Et tant pis si ce pays devait être gouverné « en affaires courantes ». D’autres l’ont été, et ne s’en sont pas plus mal sentis.

Franchement, on aimerait bien croire ces discours qui vantent l’élu, tant local que national. Ce serait certainement plus confortable. On aimerait bien ne pas crier « tous pourris », ne pas tous les considérer comme des hypocrites ou des aigrefins. Malheureusement, ils ne nous y aident pas du tout.

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Source : h16free.com
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H. Seize rédige sur http://h16free.com ses chroniques humouristiques d’un pays en lente décomposition, et apporte des solutions dans son livre, Egalité, Taxes, Bisous. Dans un monde toujours plus dur, et alors que la crise, la vilénie, les aigreurs et les misères allant de la maladie aux bières tièdes font rage, un pays fait courageusement face et propose toute une panoplie de mesures plaisamment abrasives qui permettront d'aplanir les aspérités, gommer les difficultés et arrondir les angles. Ce pays, rempli de gentils et d'aimables tous les jours mieux pensant, est devenu un véritable phare scintillant dans la nuit noire de l'obscurantisme des méchants et des vilains. Et pour mieux scintiller, il s'est doté d'une devise qui est parvenue à se hisser au rang de slogan, d'accroche et de modus vivendi : pour chacun et pour tous, il faudra de l'égalité, des taxes, et des bisous.
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Etienne de la Boétie: "Discours de la servitude volontaire"
Étienne de La Boétie, philosophe, poète et ami de Montaigne, né en 1530 surnommé par certains, le Rimbaud de la pensée (car mort aussi jeune que lui et écrivant avec autant de fulgurance).

Pour ma part, je pense que nous sommes génétiquement programmés, comme la cigale qui sort de sa chrysalide et croit être libre, alors qu'elle est là pour perpétuer une espèce. L'homme chasse en bande. Chacun à sa place dans la horde. Il faut qu'il croit être libre, que tout change afin que rien ne change.
Et puis, c'est tellement commode que d'autres décident à votre place, ni responsable ni coupable . C'est fatigant de trancher sans cesse ...ça épuise à la longue.
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alors que nous sommes contraints de travailler deux jours sur trois pour l'état, et alors que nous sommes spoliés du fruit de notre travail, le constat est sans appel : ce système nous a asservi. et les 'maîtres' se comportent en despote. et ils n'ont aucun compte à rendre.
l'impôt est un vol, ce système politique a légalisé ce vol au profit de gens totalement oisifs. au nom de quoi ?
l'état est censé être à notre service, ne l'oublions pas. Il ne pourrait exister sans nous. or, nous en sommes devenus ses esclaves.
les 'maîtres' ne feront jamais oppositions aux faveurs et privilèges que le système leur procure. et le fait que nous puissions changer de 'maîtres' de temps en temps ne supprime pas notre condition.
tant que l'on n'aura pas la possibilité de payer un impôt librement consenti, car nous nous devons de participer à la société des hommes, et tant que serons contraints et forcés de laisser le fruit de notre travail à d'autres, sans qu'il n'y ait plus rien pour nous : nous ne pouvons plus parler de liberté. et pour longtemps.
et comme dirait mrCharles, ce n'est pas la possession d'un e-machin qui y changera quoi que ce soit. mais en attendant,la manipulation et le temps que nous y passons nous font penser à autre chose... on se rempli de vent pendant qu'on nous fait les poches... technique moderne de la manipulation de masse. alliée à des médias aux ordres et on nous ferait gober n'importe quoi. mais puisque nous sommes dans le camp des 'gentils' et des 'démocrates', cela a l'air normal.
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"les 'maîtres' se comportent en despotes"

En despotes ??
En tyrans, oui.
Si leurs méthodes se ressemblent, leurs buts s'opposent.

"les 'maîtres' ne feront jamais oppositions aux faveurs et privilèges que le système leur procure"
Tous les aspects du fonctionnement de l'Assemblée Nationale est régi par la Loi, elle-même écrite par...
Ne cherchez pas plus loin !

Quand le décideur et le payeur sont distincts et même strictement cloisonnés, il n'y a rien de bon à attendre de la situation.
Rien de durable non plus, heureusement.
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bonjour Pâris, je ne pense pas que quiconque ait un jour voté pour avoir des tyrans comme élus.( hormis ceux qui y auraient intérêt). ils sont devenus ce qu'ils sont car le système leur permet ces dérives. entendez par là : pas de compte à rendre : "Quand le décideur et le payeur sont distincts et même strictement cloisonnés, il n'y a rien de bon à attendre de la situation" : bien d'accord avec vous.
ne devrions-nous pas nous questionner sur la manière de réduire leurs méfaits et limiter leur pouvoir de nuisance ? quel que soit le gouvernement en place ?

courts extraits de "Karl Popper vs Platon" sur la démocratie
"... D’ailleurs les sophistes, qui enseignaient la rhétorique, l’art de bien parler, sont les inventeurs de la démocratie. En effet, la démocratie est le régime de la parole où la vérité dépend moins d’une connaissance de la réalité que d’une capacité à convaincre, à imposer ses opinions par l’art du discours. Il n’y a que des opinions et la meilleure opinion n’est pas la plus vraie mais la plus convaincante. Celui qui détient l’art de convaincre, détient aussi le pouvoir. En bon disciple de Socrate, Platon méprise les sophistes, ces flatteurs, démagogues et manipulateurs."
...
De plus, selon Popper, les gouvernants « ne sont pas toujours capables et sages… l’histoire a montré que ce sont rarement des hommes supérieurs » Platon avait formulé la question politique comme suit : Qui doit gouverner ? Le plus petit ou le plus grand nombre ? Et sa réponse était : le meilleur doit gouverner. Mais en fait, selon Popper, la question est mal posée, et il propose de la remplacer par une autre, à savoir : comment organiser l'État et le gouvernement de telle sorte que même les pires dirigeants ne puissent pas causer trop de dommages ? L’essentiel n’est pas de savoir qui gouverne, mais bien plutôt de savoir si le gouvernement est susceptible d’être contesté et remplacé par un autre sans violence.
...
Toute vérité est en sursis et aucun homme, aussi savant soit-il, n’est infaillible.
...
Si nous sommes tous faillibles, il est vain d'espérer l'avènement d'un homme providentiel ou d'un chef idéal pour gouverner la cité. Il faut réduire autant que possible les maux et non pas chercher à instaurer le bien, le juste ou le bonheur. Popper propose de remplacer le principe utilitariste de la « maximisation du bonheur » par le principe faillibiliste de la « minimisation de la souffrance ». En effet, il n’y pas de consensus sur ce que sont le bien et le juste : imposer une vision du bien serait dictatorial. Par contre, les hommes s’accordent assez facilement pour désigner ce qui est mal et injuste.
...
De même, la fonction d'un État, c'est moins de viser le bonheur que de viser la réduction des souffrances et des malheurs des hommes. Dans cette perspective, la tentation de faire table rase du passé pour instaurer un monde parfait diminue.
Ainsi, en cherchant à éliminer le mal et l’injuste, nous pourrons nous rapprocher du bien et du juste, sans nous heurter à des problèmes insolubles de définition.
L’erreur de Platon c’est d’avoir cru qu’on pouvait instaurer le Bien en désignant des dirigeants bons.
Le mérite de la démocratie, selon Popper, ce n’est pas que la majorité aurait toujours raison contre la minorité, c’est seulement que les mauvais gouvernants peuvent être rejetés sans effusion de sang. C’est toute la différence avec la tyrannie, y compris avec la tyrannie du bien."

et si moi,salarié,sans formation littéraire,ai connaissance de ce qui précède,je ne doute pas un instant que nos 'fiers élus' aient lu aussi Popper et Platon et s'y sont intéressés. chacun le comprendra à sa manière, mais leurs avantages et privilèges étant intimement dépendants du système, imposent qu'ils ne comprennent pas.
et c'est ainsi que moi,travailleur âgé, suis contraint de continuer à bosser,être toujours plus productif,flexible et rentable, pour pouvoir payer les dépenses publiques, des pensions à des plus jeunes que moi, et des privilèges à des gens oisifs qui n'ont jamais rien produit et dont le seul mérite est de vider les caisses en distribuant notre argent car, comme avait écrit un intervenant,une élection, par nature, s'achète : par les prodigalités quand on est au pouvoir ou par des promesses quand on y aspire.
et puisque les caisses sont vides et qu'il n'y a plus rien pour nous, nous sommes priés de continuer à travailler, et surtout, surtout de continuer à payer nos impôts. car ils ne baisseront pas leur train de vie.faut pas rêver.
dès lors, et au vu de la situation, ne reste plus que le goudron et les plumes.
"nous sommes priés de continuer à travailler"

Le propre de la monnaie-dette, c'est que, après avoir travaillé, produit de la richesse et s'être fait payer, il faille absolument continuer à travailler pour simplement maintenir la valeur de la monnaie dans laquelle est libellé notre épargne passée!
La carotte suspendue avance à la même vitesse que le bourricot qui la poursuit !

Pour que des mots simples désignent des situations claires:
Le dictateur a reçu les pleins-pouvoirs de façon légale, généralement pour une période limitée.
Le despote dirige seul et sans contre-pouvoirs, pour le bien de ceux qu'il dirige.
Le tyran dirige seul et sans contre-pouvoirs, contre les intérêts de ceux qu'il dirige. Il a bien souvent usurpé son pouvoir hors cadre légal ou pacifique.
Evidemment, un chef peut glisser d'une situation à une autre, il existe des nuances de toutes sortes.
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"ne reste plus que le goudron et les plumes"

Attention, ils ont pondu des textes !
Le goudron est un polluant, son commerce est règlementé, son usage limité aux professionnels agréés opérant sur une surface bétonnée avec collecte des eaux de ruissellement, traitement spécial, redevance et tenue de journal etc.
Les plumes aussi doivent avoir une longueur minimale, elles ne doivent pas avoir été prélevées sur un animal vivant et doivent toujours être accompagnées de leur certificat vétérinaire et de leur livret de vaccination contre la grippe aviaire !

Il faut bien créer une large assiette à la TVA et "aller chercher la croissance avec les dents" !
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J'aime bien vos définitions dictateur,despote,tyran.
quoi qu'il en soit,il est clair que ceux qui vivent de nos impôts ont remporté la partie. et même si d'aventure,un reférundum était possible,le nombre de gens dépendant de l'état est tel qu'il s'opposerait à un quelconque changement. avec un prélèvement de 60% de l'état, les 40% sont pressés comme des citrons pour entretenir les 60 autres... dès lors une autre question se pose alors : que vaut une démocratie représentative lorsqu'un grand nombre d'électeurs reçoit de l'argent de l'état ? à côté,Dassault est un petit joueur...
oserais-je encore ? osons : du goudron et des plumes.mais on peut aussi remplacer avantageusement ces ingrédients somme toute assez salissants,j'en convient, par cette lame au tranchant net et parfaitement républicaine fort appréciée en son temps par ceux-là même qui se prétendaient les représentants du peuple...
bon je vais suivre le conseil de Monrose et lire E de la Boetie.
bien à vous
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ferzi - 4/18/2015 at 1:59 AM GMT
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