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Sur la gaffe d'Obama : "Vous n’êtes pas responsable de votre propre succès"

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Published : April 13th, 2012
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Barack Obama, en déclarant que les entrepreneurs Américains les plus prospères ne sont pas les seuls responsables de leur propre succès, nous a prouvé une fois de plus qu’il est un Fier Marxiste (comme le surnomme Yuri Maltsev, ancien conseiller de Mikhail Gorbatchev). Sans les bureaucrates du gouvernement, les chefs d’entreprise n’en seraient pas où ils en sont aujourd’hui, a affirmé le Marxiste de la Maison Blanche, prenant pour exemple les écoles et autoroutes ayant été financées par le gouvernement. Tout comme ses amis Marxistes, Barack Obama ignore tout des lois économiques.

Aucun entrepreneur ne considère avoir créé son entreprise sans aide extérieure. Chacun d’entre eux collabore de jour en jour avec des fournisseurs, des clients, des employés, des comptables, des marketeurs, des banquiers, des investisseurs, et bien d’autres personnes. Voici ce qu’en a écrit Adam Smith dans son traité de 1776 intitulé Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations :

Dans une société civilisée, une personne a constamment besoin de la coopération et de l’assistance d’un très grand nombre, alors que sa vie entière ne lui suffit à gagner l’amitié que d’une poignée d’individus… Un homme a constamment besoin du secours de ses frères, mais ne peut espérer que ce secours soit bénévole. Il a de plus grandes chances de pouvoir s’imposer lorsqu’il parvient à convaincre ses pairs de diriger leur amour-propre en sa faveur, et de leur montrer qu’il est en leur avantage que de faire ce qu’il leur demande. C’est là ce que propose toute personne offrant un marché à une autre. ‘Donnes-moi ce que je veux et je te donnerai ce que tu veux’ est la devise se cachant derrière chacun de ces marchés. C’est de cette manière que nous obtenons d’une autre personne les biens dont nous avons besoin. Ce n’est pas du bénévolat d’un boucher, d’un brasseur et d’un pâtissier que nous tirons notre dîner, mais d’un échange allant également dans leur intérêt… Seul un mendiant peut choisir de ne dépendre uniquement que du bénévolat de ses frères citoyens’.

Pour ce qui concerne le rôle du gouvernement, l’Histoire nous a de nombreuses fois prouvé qu’il est l’ennemi juré de l’échange volontaire et de la génération de prospérité par le marché libre. Comme Ludwig von Mises l’écrivait dans son ouvrage La Mentalité Anti-Capitaliste, publié en 1956, ‘Une nation est aujourd'hui d'autant plus prospère qu'elle a le moins tenté de placer des obstacles sur la voie de l'esprit de l'initiative privée et de la libre entreprise. Les habitants des États-Unis sont plus prospères que ceux de tous les autres pays parce que leur gouvernement s'est engagé plus tard que les autres dans une politique d'obstruction de l'économie’.

Les dépenses gouvernementales s'élèvent à quelques 40% du PIB, ce qui signifie que l’économie Américaine est socialiste à 40%. Le système socialiste d’écoles publiques est partout un désastre, excepté peut-être pour quelques enclaves de banlieue. Ainsi, la force de travail Américaine a d’année en année été nivelée par le bas, au détriment économique de tous. Le financement socialiste d’un réseau routier public est responsable de la mort de plus de 50.000 personnes chaque année, ce qui est loin d’être une bonne nouvelle. L’Etat-providence a détruit le désir des gens à travailler et causé l’éclatement de beaucoup plus de familles que l’on ne le pense. (Ce dont je parle ici, ce sont des aides sociales assez généreuses pour pousser des millions de pères de famille bons à rien à abandonner leurs enfants sans avoir à craindre de les avoir laissé dans la pauvreté).

La sécurité sociale réduit la motivation des gens à épargner pour leur retraite. Une baisse du taux d’épargne entraîne un manque de capital d’investissement et, en conséquence, un ralentissement de la croissance économique. Tous les autres programmes de financement gouvernemental enrichissent la classe politique parasite et appauvrissent la classe laborieuse. La longue histoire de l’agressivité militaire des Etats-Unis n’a fait qu’accroître le pouvoir du gouvernement aux dépens de la liberté et de la prospérité, tout en enrichissant le complexe militaro-industrio-congressionnel. Le système de démocratie illimitée dont les Américains sont aujourd’hui les esclaves peut être défini de la manière suivante : des parasites emploient/élisent des pilleurs professionnels pour voler les producteurs.

La Fed génère depuis toujours des cycles économiques de type croissance-récession, et continue de blâmer la libre-entreprise pour les problèmes qui en découlent. Après que la Fed de Greenspan ait créé la Grande Récession, le parrain actuel de la Fed, Ben Bernanke, est venu se moquer à la télévision de l’idée que les marchés et la libre-entreprise puissent représenter la solution à la dépression actuelle, faisant au passage l’éloge des nouveaux pouvoirs régulatoires de la Fed.

Chaque entreprise Américaine est aujourd’hui prise à la gorge par les dizaines de milliers de pages de régulations fédérales, et je n’ose même pas parler des régulations locales et étatiques. Tout politicard ignorant et égoïste a le pouvoir de recourir aux régulations gouvernementales pour mettre fin à des projets de plusieurs milliards de dollars en un clin d’œil. Nous pourrions citer comme exemple la manière dont un seul membre du conseil municipal de West Palm Beach, en Floride, est parvenu à suspendre la construction d’un centre commercial en demandant à ce que la société de construction chargée des travaux emploie plus de ‘firmes locales’. Il y a fort à parier que ce membre du conseil ait un proche qui soit entrepreneur en bâtiment. De telles actions ne sont rien de plus que des extorsions légalisées.

Plus une personne a affaire à des régulations et des régulateurs, moins elle a le temps d’améliorer son produit, de réduire ses coûts et prix, et de créer de nouveaux produits. Les régulations gouvernementales évincent l’entreprenariat, la création de richesses et la création d’emplois dans le même temps qu’elles imposent des coûts incommensurables aux entreprises privées.

Il existe bien entendu des exceptions à tout cela, mais pour le plus gros de ces 120 dernières années, les régulations gouvernementales ont été utilisées par les plus grosses corporations pour étouffer la concurrence de leurs plus faibles compétiteurs et empêcher d’autres de faire leur apparition. La première agence de régulation fédérale, appelée Interstate Commerce Commission et ayant été fondée en 1887, fut utilisée pour la première fois par l’industrie des chemins de fer afin de devenir un cartel contrôlé par le gouvernement et fixant ses propres prix. Ce fut ensuite le tour de l’industrie des transports routiers. Le Civil Aeronautics Board fut également ‘capturé’ par l’industrie aéronautique, qui a pu jouir d’un monopole de fixation de prix durant plus de 50 ans, avant d’être dérégulée à la fin des années 1970. Le système de régulation des services publics n’a été depuis la fin du XIXe siècle qu’un système de monopole gouvernemental. (Voir Butler Shaffer, Restraint of Trade, et Gabriel Kollo, The Triumph of Conservatism).

Le gouvernement, avec ses plans de sauvetages destinés à sauver des entreprises en péril, porte également un coup mortel à l’institution capitaliste. Le capitalisme est un système au sein duquel profits et pertes doivent demeurer privés. Une entreprise qui répond correctement aux besoins de ses clients enregistre du profit, et celles qui ne le font pas sombrent dans la banqueroute. Socialiser les pertes tout en gardant les profits privés encourage la prise de risque et la mauvaise gestion d’entreprise, et pousse les entreprises ‘privées’ à se comporter telles des bureaucraties gouvernementales.

En clair, la remarque ignorante d’Obama a eu deux conséquences : premièrement, elle a fait preuve d’une ignorance économique remarquable, et deuxièmement, elle a présenté tout le contraire de la vérité pour ce qui concerne le rôle du gouvernement dans l’économie. Dans le monde d’aujourd’hui, les entreprises Américaines les plus prospères le sont devenues malgré l’intervention du gouvernement, et non grâce à elle.


 

 

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mauvais perdant il a perdu car pro romney et donc lache sa haine. OBAMA a raison car ce sont les salariés qui crée la richesses en produisant. les grands patrons (je ne parle pas des petits qui mette la main à la patte et connaisse leur boulot ) demain j'ouvre une boulangerie et embauche un jeune qui fais des bon pains et venoiseries je le motive en lui donnant une prime variable aux resultats car j'ai besoin de lui. est moi qui reelement crée la richesse. non. mais je m'enrichi.
economistes à 2 balles bien formaté comme il faut en sortant ces cours et theorie ... salut profs j'ai bien appris malthus ,marx, adam smith ,riccardo et cie.... et maintenant que j'ai bien appris comme un perroquet on m'a filler des diplomes pour repeter ce que g appris. avec c mes voila ou on en est. pitoyable.
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On ose à peine se donner du mal pour dire du mal de celui qui a écrit l'article qui est d'une faiblesse hilarante. Dire par exemple : "Le financement socialiste d’un réseau routier public est responsable de la mort de plus de 50.000 personnes chaque année, ce qui est loin d’être une bonne nouvelle", doit signifier dans les méninges de l'écrivant que si les routes avaient été financées par le privé, il y aurait eu zéro morts ? L'imbécilité de ce raisonnement est consternante et devrait faire honte à ceux qui ont autorisé la parution de cet article. On aimerait que le niveau monte !
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Ce qui est rassurant c'est que même aux USA ce discours permet de battre les républicains. De moins en moins de gens pensent que l'Etat est inutile et que les l'argent retombera de ceux qui le possèdent pour créer des écoles, ouvrir des hôpitaux, soigner les malades, payer la police, développer un bon réseau routier, etc ...

De moins en moins croient aussi que ceux qui possèdent cette argent réguleront le marché pour qu'il soit efficient et non entièrement à leur profit. On commence à savoir que 1% possèdent 99% des richesses, que les particuliers et les entreprises payent de moins en moins d'impôts grâce aux paradis fiscaux. Applel 2% d'impôts aux USA, 0.2% en France, tout le reste pour lui, même pas aux actionnaires car l'argent est dans des paradis fiscaux et ne peut pas revenir.

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Cet article exprime une opinion de libéralisme extrémiste, mais n'est en aucun cas une démonstration. Il ne méritait pas d'être publié.
Le Président Obama faisait en réalité une réflexion de simple bon sens.
Je rajouterai même qu'il a oublié comme tout le monde le fait, l'apport des chercheurs scientifiques et ingénieurs. Les hommes d'affaires, banquiers, chefs d'entreprises se servent d'avions, d'ordinateurs, sont soignés par des chirurgiens qui disposent d'appareils de résonance magnétique nucléaire, des médicaments aux molécules synthétiques complexes, etc. et n'oublions pas les agriculteurs et éleveurs qui nous font manger.
Sans tout celà, ni eux ni leurs entreprises n'auraient réussi.
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Obama n'a pas dit "Vous n’êtes pas responsable de votre propre succès", il a dit :

"If you were successful, somebody along the line gave you some help. There was a great teacher somewhere in your life. Somebody helped to create this unbelievable American system that we have that allowed you to thrive. Somebody invested in roads and bridges. If you've got a business – you didn't build that. Somebody else made that happen."

http://en.wikipedia.org/wiki/You_didn%27t_build_that

Quand il dit "Si vous avez votre Business, vous n'avez pas construit cela", le "Cela" fait réference à l'école qui vous a formé, au système qui vous a permis de créer votre entreprise, au ponts et routes qui vous permettent de vous déplacer.

Cette phrase "If you've got a business – you didn't build that." a été sortie de son contexte et montée en épingle par des médias nauséabonds comme la Fox.

Cet article est donc ridicule et totalement gratuit.





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on va vous taxer mais ne partez pas car vous y perdrez nos marchés, is't it?
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Toujours trouver comique qu'on puisse taxer un président US de marxisme. Sa modération a été reconnue par tous les horizons, et la grande majorité de son électorat de 2008 trouve qu'il n'en n'a pas fait assez en tant que progressiste. Sur le plan externe, les politologues, le trouvent plus agressif que Bush, tout en sachant ne pas le montrer et en faisant croire l'inverse !
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On ose à peine se donner du mal pour dire du mal de celui qui a écrit l'article qui est d'une faiblesse hilarante. Dire par exemple : "Le financement socialiste d’un réseau routier public est responsable de la mort de plus de 50.000 personnes chaque anné  Read more
augustin - 11/10/2012 at 10:52 AM GMT
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