Ça ne peut pas s’inventer.
Un scientifique qui a étudié un
pathogène mortel chez les tortues a décidé de baptiser l’espèce Baracktrema obamai, en l’honneur du
président Obama.
Le ver plat parasitique entre en
compétition avec le système immunitaire de son hôte, et prend le dessus sur
ce dernier pour se reproduire. Les conséquences en sont souvent mortelles
pour la tortue.
Peut-être le scientifique a-t-il
perçu des similitudes entre son comportement et la manière dont le système
constitutionnel a été contrecarré par l’infiltration de l’administration
Obama, qui a véritablement pris le dessus sur l’économie pour en faire un organisme
zombie.
Quel autre type d’organisme
affaiblit son hôte, surtaxe le système et permet à ses frontières d’être
infiltrées par de potentiels pathogènes ? Peut-être Baracktrema obamai pourrait-il être perçu
comme une stratégie naturelle d’affaiblissement jusqu’au point d’effondrement
à la Cloward & Piven.
Via le Washington
Post :
Voici
le Baracktrema obamai, un pathogène mortel chez les tortues,
baptisé en l’honneur de notre président actuel. Croyez-le ou non, c’est censé
être un compliment.
Cette nouvelle espèce de ver
plat parasitique a été présentée cette semaine par un article paru dans le Journal
de Parasitologie. Les petites créatures, dont l’épaisseur ne dépasse pas
celle d’un cheveu humain, envahissent les poumons des tortues d’eau douce de
Malaisie, et les conséquences en sont souvent mortelles.
Thomas Platt, l’expert en
pathologies affectant les tortues, qui a découvert cette nouvelle espèce à l’aube
de sa retraite, a expliqué que son nom lui a été donné en l’honneur de Mr
Obama. Bien que beaucoup de gens ne portent pas les parasites dans leur cœur,
Platt a un profond respect pour ces petites créatures.
Elles font face à d’incroyables
obstacles pour survivre, et dépendent du système immunitaire de leur hôte
pour arriver à maturité et se reproduire, a-t-il expliqué.
« J’ai baptisé un certain
nombre d’espèces après des gens que j’admire, depuis mon beau-père jusqu’à
mon professeur de doctorat, en passant par de bons amis académiciens ou
amateurs naturalistes, » a ajouté Platt. « Baracktrema obamai
subsistera tant que des systématiciens étudieront ces organismes
remarquables. »
Le Washington Post ajoute également que beaucoup de
présidents ont des librairies, des écoles, des rues et des montagnes nommées
après eux. Obama a un ver parasitique… sans oublier les autres créatures de
toutes tailles qui ont reçu son homonyme.
C’est assez approprié, vous ne
trouvez pas ?
Quelqu’un a drainé le système de
toute source de vie.