C’est en substance le message qu’a délivré Nigel Farage, l’un des principaux artisans du Brexit et l’ancien président de l’UKIP, lors de sa dernière intervention au parlement européen. Vous avez les vidéos ci-dessous.
Pour lui, ce qu’il s’est passé en Angleterre avec le Brexit (dont il doute de la réalité à venir), ce qu’il s’est passé aux États-Unis, et ce qu’il s’est passé enfin en Italie sont autant d’éléments qui sont révélateurs à son sens d’une révolution démocratique.
Cette révolution démocratique c’est évidemment celle des peuples qui veulent reprendre le pouvoir sur les multinationales.
Cette révolution démocratique c’est celle des nations qui ne veulent pas disparaître dans l’immense trou noir de la mondialisation et de l’uniformisation de tout, y compris des us et coutumes ancestraux et si différents.
Cette révolution démocratique c’est le combat entre les souverainistes (à ne pas confondre avec les nationalistes) et les mondialistes.
Les mondialistes enchaînent revers sur défaites et c’est très logique. La mondialisation n’est pas faite pour les peuples mais contre les peuples. Il n’est pas étonnant que les peuples finissent par s’y opposer.
Une tension extrême !
Sachez que de l’autre côté de l’Atlantique, des rumeurs ont été diffusées indiquant qu’il circulait une vidéo sexuelle du nouveau président US. Pendant la campagne, les mêmes rumeurs de vidéos, pédophiles cette fois-ci, concernant Bill Clinton circulaient aussi, de même que le scandale plus ou moins étouffé autour d’un très proche des Clinton.
Dans ce dernier cas, les médias se sont toujours montrés plus que prudents et n’ont jamais évoqué ces rumeurs contre les époux Clinton.
Le groupe CNN, qui a diffusé ces rumeurs, s’est évidemment aliéné et pour longtemps le nouveau président américain et une partie des services de renseignements aussi.
Dans tous les cas, et quelle que soit la vérité, vous devez comprendre que la tension est extrême entre les mondialistes qui ne veulent pas perdre leur pouvoir ni l’extension de leur vision et les souverainistes qui veulent revenir à plus de nation, à plus de pays.
Trump n’a pas encore prêté serment que la bataille se poursuit d’une façon aussi violente que lors de la campagne présidentielle américaine.
Pour tout vous dire, je pensais que cela se calmerait un peu mais non, les tensions sont toujours aussi vives, et c’est particulièrement inquiétant.
Cela montre bien que les enjeux sont terriblement élevés tout comme les risques associés.
Il est déjà trop tard. Préparez-vous !