Nous sommes, nous autres les sans-dents, pris en otage et les victimes
collatérales du combat de géants que se livrent quelques psychopathes pour le
contrôle du monde, le contrôle des âmes, des ressources, des richesses
qu’abrite notre si petite et si fragile planète.
Nous sommes, nous autres les sans-dents, soumis à une propagande de plus
en plus intense, y compris évidemment sous nos contrées dites « civilisées ».
On nous demande de détester la Russie, et chaque jour, Poutine est décrit
comme un ogre mangeur d’enfants par nos médias. On nous demande d’accueillir
les migrants, et l’on vous monte en épingle l’affaire (dramatique) du petit
Aylan. Souvenez-vous. Cette information, ou plus précisément le traitement de
cette information, fera ouvrir les frontières de l’Europe avec les résultats
électoraux que l’on peut voir en Hongrie, en Autriche, et désormais en Italie
!
L’Italie va fermer ses frontières, la France ouvrira les siennes, regardez
comme Mamadou est sympathique ! Et la machine à propagande s’emballe.
Nous sommes, nous autres les sans-dents, totalement instrumentalisés. Nous
aimons ceux que nos maîtres souhaitent que nous aimions, nous détestons ceux
que l’on demande de haïr sans bien savoir d’ailleurs pourquoi nous menons des
guerres illégales (et je parle de nous la France) en Libye, en Syrie. Nous votons
pour ceux que l’on nous désigne. Regardez cette vidéo (passionnante) de
Michel Onfray qui explique à partir de 3.30 minutes que l’on n’a pas le choix
de la politique qui sera menée, juste de celui qui la conduira ! Illusion du
choix. Illusion démocratique.
Il est impossible de connaître la vérité !
Ce que je veux vous dire, c’est que plus que jamais, nous sommes dans une
période très troublée où la vérité est la première des victimes. Dans ce
combat qui secoue le monde, les relations sont très tordues et les gentils ou
les méchants ne sont pas forcément ceux que l’on désigne à la vindicte
populaire.
Pus troublant encore, le gentil du jour peut être le méchant du lendemain
et inversement.
Justement, à propos de méchants et de gentils, partons du principe que
Poutine n’est ni l’un l’autre, et le président d’un grand pays appelé la
Russie que l’on peut rejoindre… par la route ! Oui, la Russie est européenne,
partage notre histoire et notre géographie… contrairement aux… États-Unis
d’Amérique. D’ailleurs, la politique gaulliste était celle de l’indépendance
nationale entre ces deux géants, ce qui était du bon sens, qui s’est en
chemin, et quelques grosses corruptions plus tard, perdue dans les limbes de
notre histoire politique.
Poutine peut être méchant un jour, mais gentil le lendemain, ce qui est
valable aussi avec Trump qui était méchant semble-t-il d’après l’édito que je
vous ai fait hier. Demandez à Macron qui évoque les saucisses pour noyer le
poisson quand on lui demande de réagir à cette fameuse conversation
téléphonique avec Trump. Il répond avec humour (enfin moi ça me fait sourire)
que c’est « comme les saucisses, vaut mieux pas savoir ce qu’il y a dedans »…
à ceci près que les saucisses c’est super bon !
Vladimir Poutine est allé faire un voyage en Autriche.
C’est un beau pays l’Autriche. Sissi Impératrice, les valses de Viennes,
ses concerts et son chancelier d’esssstrêêême droate (à prononcer avec une
moue de dégoût pour ne pas être crucifié immédiatement en place publique par
la bien-pensance). Il s’appelle Sebastian Kurz, du Parti populaire
autrichien. C’est un croisement génétiquement modifié de Macron et de Trudeau
mais en populiste !
Donc Vladimir était tranquillement avec ses copains et alliés autrichiens,
tout en sachant que l’Allemagne de Merkel vacille vis-à-vis des sanctions
antirusses, et que l’Italie est carrément pour leur levée. Sans parler de
l’Europe de l’Est à part l’Ukraine qui ne souhaite pas s’aliéner l’ancien
ogre soviétique.
Bref, Vladimir se fait attaquer sur les « usines à trolls russes » qui
sont des centres où des milliers de Russes pianoteraient pour porter la bonne
parole du Kremlin dans le monde entier à travers les sites Internet et
réseaux sociaux de la planète entière… D’ailleurs, je reçois régulièrement
des courriels m’accusant d’être à la solde de Moscou… Je ne suis à la solde
de personne, et pas plus d’Emmanuel que de Vladimir. Il peut y avoir des
convergences de vue en fonction d’analyse stratégique, de convictions
personnelles ou de culture historique qui dépassent largement l’idée de «
solde »…
Et il y a beaucoup plus de citoyens/internautes qui pensent par eux-mêmes,
disposent d’une conscience historique, et qui refusent la propagande et le
lavage de cerveau par eux-mêmes et sans que les Russes aient besoin de leur
dire quoi dire ou quoi faire ! Mais il semble que cela semble une idée
saugrenue à nos médias ou à nos mamamouchis. Pourtant, la vérité est aussi
simple que cela. Si Moscou a des relais c’est parce que certains, dont je
fais partie, refusent de ne voir dans la Russie qu’une nation remplie de
barbares assoiffés de sang et n’achètent pas la propagande que l’on veut ici
bas nous servir sur un plateau.
Poutine prévient de la prochaine attaque de Soros !
Prenant prétexte, de manière fort maline s’il en est, de cette attaque du
journaliste, Poutine répond que si certaines personnes privées en Russie font
certaines choses cela n’engage pas le Kremlin, enfin pas plus que les actions
d’un George Soros n’engagent les États-Unis.
Et notre Vladimir de balancer son avertissement pour le coup qui est tout
sauf anodin !
« Des rumeurs circulent désormais sur le fait que monsieur [George]
Soros compte rendre l’euro très volatile. Des experts en discutent déjà. Le
département d’État [américain] va dire qu’il n’a rien à voir avec cela, que
c’est une affaire privée de monsieur [George] Soros », a ainsi noté le
président russe. Et de conclure en revenant aux accusations portées contre
Moscou : « Eh bien pour nous, c’est l’affaire privée de monsieur [Evguény]
Prigojine. Voilà, ma réponse, vous satisfait-elle ? »
Évidemment, vous aurez également compris que Poutine se fiche bien de la
gueule de tous les naïfs !
Évidemment, quand Evguény Prigojine fait le couillon avec ses trolls sur
Internet, il agit pour le compte du Kremlin qui peut quand même dire ce n’est
pas moi, c’est lui. Poutine vient juste de dire que son Evguéni Prigojine
n’est que l’équivalent du George Soros américain.
Pendant que son sbire russe fait « mumuse » sur les réseaux
sociaux, le sbire américain, lui, prépare la destruction de l’euro, et c’est
autrement plus grave. Poutine rappelle aussi ici, avec une malice certaine,
que la Russie, à défaut d’être plus gentille, n’est pas forcément moins
méchante que les États-Unis.
La logique de l’attaque de Soros sur l’euro est la suivante. Soros se bat
pour un monde « ouvert », pour combattre les souverainistes, faire
trembler l’euro pour faire trembler les peuples alors que se profilent les
élections européennes de 2019 afin d’inciter les peuples à bien « voter »
en leur donnant un aperçu du chaos monétaire peut sembler une approche
appropriée et techniquement, cyniquement, elle l’est.
Il va donc y avoir, dans les 6 mois qui viennent, une crise colossale sur
l’euro… Et c’est Poutine qui vous aura prévenus. Paradoxal non ?
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi,
localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes
pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend
inévitables les révolutions violentes » (JFK)