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>1 100 milliards d’euros déjà dépensés pour sauver l’euro !  - Charles Sannat - Au Coffre
Samedi 13 juillet 2013 :

A propos de la faillite du Portugal, François Leclerc écrit :

Quelles seraient les conséquences d’une restructuration avec décote ? D’après la Deutsche Bank, la dette publique portugaise serait actuellement d’environ 200 milliards d’euros, avec comme créanciers la Troïka (86 milliards d'euros, soit 43 %), les banques et assurances du pays (70 milliards, soit 35 %) et des investisseurs étrangers (44 milliards, soit 22 %). Les États européens et le FMI subiraient donc le plus les conséquences d’une décote, ce qui sonnerait le glas des interventions du FMI (ce qui semble avoir déjà été décidé par anticipation) et infligerait de sérieuses pertes aux créanciers publics européens. Les banques et assurances du pays nécessiteraient quant à elles un renflouement immédiat. C’est pourquoi toute restructuration de cette nature est refusée, impliquant des pertes politiquement elles aussi insoutenables.

Pour parachever le tableau, les banques seraient également atteintes, espagnoles d’abord, françaises et allemandes également, les premières n’ayant pas vraiment besoin de cela ! Devant ce scénario de décote, qui est pourtant le seul possible, il va donc être temporisé, accentuant encore la situation désastreuse du Portugal, désormais sur les brisées de la Grèce et partageant son destin. Pour un bon élève hier encensé, quelle dégringolade qui en dit long sur la qualité du système d’évaluation et la persévérance à se voiler la face !

François Leclerc.

http://www.pauljorion.com/blog/?p=56317


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4074 days ago
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Beginning of the headline :Le 11 juin j’écrivais un édito intitulé « quel serait le véritable coût d’une sortie de l’euro » car de très nombreux lecteurs se posaient la question. Ce que je souhaitais entre autres démontrer dans cet article c’était qu’il ne fallait pas non plus occulter le coût du maintien de la monnaie unique et le risque, à l’arrivée, de devoir assumer un double coût. Celui du maintien et en cas d’échec, également celui l’explosion de l’euro. Voilà exacteme... Read More
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