Dette publique : le plafond maximal autorisé par les traités européens est une dette publique de 60 % du PIB.
Allemagne : 2002 : dette de 1295,3 milliards d’euros, soit 60,7 % du PIB. 2003 : dette de 1383,8 milliards d'euros, soit 64,4 % du PIB. 2004 : dette de 1454,1 milliards d'euros, soit 66,2 % du PIB. 2005 : dette de 1524,8 milliards d'euros, soit 68,5 % du PIB. (Rappel : le 22 novembre 2005, Angela Merkel devient chancelière) 2006 : dette de 1573,8 milliards d'euros, soit 68 % du PIB. 2007 : dette de 1583,7 milliards d'euros, soit 65,2 % du PIB. 2008 : dette de 1652,6 milliards d'euros, soit 66,8 % du PIB. 2009 : dette de 1768,9 milliards d’euros, soit 74,5 % du PIB. Mars 2013 : dette de 2150,5 milliards d'euros, soit 81,2 % du PIB.
Depuis qu’elle est chancelière, Angela Merkel a donc rajouté 626 milliards d’euros de dette publique.
Bravo, Angela.
L’Allemagne s’effondrera, comme les copains.
L’Allemagne n’est pas préparée à être submergée par des raz-de-marée de vieux.
L’Allemagne va être submergée par des tsunamis de retraités allemands qu’il faudra loger, nourrir, soigner, etc.
Avec quel argent ?
La dette officielle de l’Allemagne est aujourd’hui de 2150 milliards d’euros (source : Eurostat).
La dette réelle de l’Allemagne est de 7000 milliards d’euros.
Je dis bien : la dette publique REELLE de l’Allemagne est de 7000 milliards d’euros.
L’effondrement démographique de l’Allemagne n’est pas une bonne nouvelle : il signifie que l’Histoire va venir lui porter l’addition.
C’est comme à la fin d’un festin dans un restaurant : il y a toujours un moment où quelqu’un vous porte l’addition.
Et à ce moment-là, avec quel argent l’Allemagne va-t-elle payer l’addition ?
Lisez cet article :
http://www.presseurop.eu/fr/content/news-brief-cover/981331-l-enorme-dette-cachee-de-l-allemagne Commented 4058 days ago |
Beginning of the headline :Mes chères contrariées, mes cherscontrariens !
J’ai emprunté le titre de cet édito à Barack Obama «himself » ("lui-même" en français, c’est juste pour montrer que je sais parler anglais et mon anglais est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale). Donc thepresident of the United States a dit lui-même que Wall Street, cette fois, devrait commencer à avoir peur…
Pour une fois qu’un président est aussi pessimiste que moi, je ne vais tout de même pas bouder mon plaisir... Read More |