 Pour moi, la réponse est simple : "nous sommes trahis", comme nous l'avons été en Algérie. J'ai vu au retour d'Opération, en 1959, dans le Constantinois, libérer sous les yeux des soldats exténués qui avaient crapahuté depuis 5 h du matin jusqu'à 15 h par 40 ° après avoir été héliportés, des fells coxés sur le terrain, libérés par l'autorité supérieure arrivée en DS noire et motards en gants blancs, tandis qu'en ville, les vendeurs de journaux proposaient l'Express, France Observateur devant le mess, alors que nos troupes qui venaient de perdre des leurs étaient insultées et caricaturées le couteau entre les dents, à longueur de colonnes. Rien de nouveau donc !
A Croissy-Beaubourg (Seine-et-Marne), après la décision de justice en octobre 2014, Marilyne G. pensait pouvoir retrouver sa vie de famille sereinement. Mais son violeur, condamné à cinq ans de prison dont deux ferme, car récidiviste avec arme !, est sorti au bout de six mois et est revenu habiter à 150 mètres de sa victime, rapporte Europe 1 ce mardi.
Qui parle au sujet des émeutes de Sétif-Guelma, le 8 mai 1945, des 103 Européens, massacrés par les émeutiers, dont certains isolés dans des fermes avec femmes et enfants en Petite Kabylie, et combien violées ? et des 800 français musulmans pro-français qui ont subi le même sort ? L'Histoire repasse les plats, mais à présent, en métropole !
Nos enfants, nantis du bac avec mention, doivent passer des concours très difficiles à 100 contre un, par exemple dans la Santé, pour espérer être parfois au mieux être "aide soignant" et encore en payant des écoles, et on fait entrer des étrangers à diplôme étranger y compris en médecine, soi-disant parce que les jeunes Français ne veulent pas travailler. De qui se moque-t-on ?
Tout cela finira mal ! Commented 3407 days ago |
