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MARCHAND
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>Dette de la France à 100% du PIB, et alors …? - Anthony Alberti - L'or et L'argent
On peut donc s’endetter bien d'avantage !

Sans formation économique, j'imagine que les ressources de l'état ne sont qu'une faible partie du PIB même en considérant les avantages indirectes qui découlent de ces richesses.

Les 65 % d'endettement du PIB correspondent pour moi à une limite "temporaire" au delà de laquelle les bijoux de famille vont inéluctablement être vendus et les dépenses budgétaires réduites de manière draconiennes.

C'est bien ce que souhaite le "mainstream", notamment le FMI qui l'a inscrit en claire dans sa politique (wikipedia), ce qui lui permet au passage de dettes i recouvrables de s'approprier le bien commun qu'ont accumulés les états. C'est visiblement ce à quoi on a pu assister en direct pour la Grèce...
L’Italie est à ce seuil mais n'a pas les faveurs de la presse "officielle" dans ce contexte de Brexit.

Alors qu'une grande partie de notre dette est due au renflouement des banques, ce que confirme chaque audit officiels (Grèce, Équateur, Islande...), et de mémoire pour 65% de la dette française, je ressent personnellement votre discours comme une provocation, un encouragement à s'inscrire dans l’intérêt de quelques uns...

A mon sens il ne résiste plus que deux courants de pensée dans ce monde qui doivent orienter nos choix : Le mondialisme et le souverainisme, respectivement épaulés par le pouvoir financier et le pouvoir politique.

Le financier a déjà pris un contrôle intolérable, sans foi ni lois, à travers les banques centrales et de recouvrement, la politique Européenne, l'OTAN, les révolutions colorées, les médias avec pour seule contrepartie l’extorsion, la garantie des peuples, qui se reportent en dettes de l'état, répression financière, confiscation de la propriété privée (directives et lois sur les comptes bancaires, les assurances)...

Et bien laissons faire dites-vous, on est riche, vendons nos bijoux de famille, c'est de toute manière ce qui est prévu. C'est déjà bien parti (aéroports, routes, énergie, monuments...).


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3041 days ago
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Beginning of the headline :Il en va des chiffres comme des absents : on leur fait dire un peu ce que l’on veut, du moment que personne n’est là pour équilibrer le débat. Et le niveau de l’endettement public de la France en est un bon exemple. Récemment, on expliquait que Bercy jouait avec les statistiques afin d’éviter que la dette de l’État ne franchisse le rubicond symbolique des 100% du PIB. C’est laid, c’est malhonnête, c’est dangereux même, mais, d’un autre côté, ce n’est pas une nouveauté : les manipulations de donn... Read More
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