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D.
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>La « crise de la dette » est la crise de l’État  - Renaud Dozoul - 
Par la forfaiture de l’article 25 de la loi du 3 janvier 1973 du tandem rotschildien Pompidou Giscard, repris par l’article 123 du traité de Lisbonne ainsi étendu à toute l'Europe .
Dispositions imposées malgré son rejet référendaire en France et confirment à l'évidence le coup d’état au profit de la haute finance.
Les banques créent d’un trait de plume les milliards que les gouvernements empruntent (voir les principes de création monétaire et la "magie" des réserves bancaires fractionnaires bancaires , argent dette Paul Grignon , arnaque de la dette Wikipédia etc.) et , ensuite font payer le remboursement à la populace par diminution drastique des prestations de retraite, de sécurité sociale , du niveau de vie,des ventes de biens publics.
La mise à l’encan de toute une nation grâce à l’escroquerie de l’argent dette abondamment fourni par le cartel bancaire mondial rotschildien, forfaiture acceptée et promue par nos chers politiciens putassiers de tous bords, de gauche comme de droite comme des verts qui se succèdent au pouvoir depuis quelques décennies dans une fausse alternance et un unanime soutien à la banque à la haute finance.
Cui bono ?
Ce qui vaut pour la Grèce vaut pour tous les pays de la zone euro , c’est exactement le même principe du plus gigantesque hold-up de toute l'histoire .
La Grèce est un coup d’essai pour la réalisation du rêve humide de la mise en servitude de la population par la ploutocratie bancaire apatride par une dette impayable.
Que le gouvernement « socialiste » de Papandréou souhaite faire appliquer les mesures de guerre économique édictée par le FMI , reprises à l’unisson par les eurocrates et la BCE sont équivalentes non moins qu’au paiement de dommages de guerre d’une nation vaincue est un acte de haute trahison contre son pays.


Commented
4860 days ago
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Beginning of the headline :Ils n’ont sans doute pas lu Stéphane Hessel (du moins leur souhaite-t-on), mais ils s’indigent aux quatre coins de l’Espagne, de la Grèce, sans doute demain de la France, et de tous les pays qui s’enfoncent tranquillement dans les sables mouvants de la dette publique. Les commentateurs ont du mal à déchiffrer ces tremblements, et sont tentés de réunir des mouvements tout à fait différents sous... Read More
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