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Cours Or & Argent

41 Faits sur les Banques Centrales que vous n’apprendrez jamais à l’école

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Extrait des Archives : publié le 01 février 2011
1923 mots - Temps de lecture : 4 - 7 minutes
( 38 votes, 4,9/5 ) , 10 commentaires
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Rubrique : Fondamental

 

 

 

 

Une grande majorité des étudiants Américains ne comprend pas le fonctionnement d'une banque centrale, et encore moins que la bataille menée contre ces banques centrales est l'une des plus importantes batailles de l'histoire des Etats-Unis.

 

La vérité est que cette nation est née d'un conflit autour de la taxation et du contrôle de la monnaie, et que le XIX° siècle a été marqué par la lutte entre les partisans et les opposants à l’établissement d’une banque centrale. Les présidents ayant résisté à l'emprise des banques centrales ont fini assassinés, laissant les autres se plier honteusement à leurs demandes. La banque centrale actuelle est appelée Réserve Fédérale, bien qu'elle ne soit pas plus 'fédérale' que Federal Express. Il s'agit en effet d'une institution financière privée à qui l’on peut attribuer  la responsabilité de la Grande Dépression, et qui se trouve être aujourd’hui au cœur de la crise économique. 

 

En 2010, les jeunes Américains ne se voient étudier qu'une version aseptisée de l'histoire Américaine n'ayant en réalité aucun sens. Comme pour tout autre chose, si vous avez soif de vérité, suivez simplement la piste de l’argent.

 

Voici donc 41 faits historiques concernant les banques centrales que tout Américain devrait connaître...

  1. Suite à la guerre de Sept Ans menée contre la France, le roi George III s'est vu lourdement endetté face à la banque centrale d'Angleterre.

 

  1. Dans une tentative d'augmenter ses revenus, le roi George III tenta de taxer massivement les colonies en Amérique.

 

 

  1. En 1763, la Banque d'Angleterre questionna Benjamin Franklin au sujet de la prospérité de ses colonies. Voici sa réponse...

'C'est très simple. Dans les colonies, nous produisons notre propre monnaie, appelée le Script Colonial. Nous le délivrons en quantité proportionnelle à la demande commerciale et industrielle afin de permettre aux produits un transfert simplifié depuis les producteurs jusqu'aux consommateurs. De cette manière, c'est à dire par la création de notre propre monnaie papier, nous contrôlons son pouvoir d'achat, et n'avons donc aucun intérêt à l'utiliser de quelque autre manière'.

 

  1. Avec l'Acte des Devises de 1764, les colons Américains se virent déchus de ce droit d'imprimer leur propre monnaie. Le Script Colonial (monnaie de ce temps utilisée par les colons) fût échangé au ratio 2:1 contre des 'billets' imprimés par la Banque d'Angleterre.

 

  1. Plus tard, dans son autobiographie, Benjamin Franklin expliquera l'impact que ce changement de devise eût sur les colonies :

 

'En l'espace d'un an, ce renversement de situation mit fin à l'ère de prospérité coloniale et laissa s'installer une dépression  d'une ampleur telle que les rues des colonies se virent emplies de chômeurs'.

 

  1. En réalité, Benjamin Franklin décrit également ce pouvoir qu'est l'impression de monnaie comme étant sans équivoque la raison première de la Révolution Américaine :

'Les colonies se seraient bien volontiers chargées d'une petite taxe sur le thé et autres produits de consommation plutôt que de laisser l'Angleterre éradiquer leur monnaie, entraînant chômage et insatisfaction. L'impossibilité pour les colons de produire de manière permanente leur propre monnaie, et ce indépendamment de George III et des banquiers internationaux, fût la cause de la Révolution Américaine'.

 

  1. En 1787, l'un des auteurs de la Constitution Américaine, le gouverneur Morris, avait solennellement mis en garde contre une mise en esclavage par les banquiers :

'Les riches vont s'efforcer d'établir leur domination afin de réduire les autres à l'esclavage, puisque c'est ce qu'ils ont toujours fait, et feront toujours...

Cela aura le même effet ici que partout ailleurs si, par le (pouvoir du) gouvernement, nous ne les gardons pas dans leurs propres sphères'.

 

  1. Malheureusement, ceux ayant mis en garde les Américains contre les dangers que représentent les banques centrales n'ont jamais exercé le pouvoir. Après une tentative avortée d'établir une banque centrale dans les années 1780, la Première Banque des Etats-Unis vit le jour en 1791. Alexander Hamilton (lié de très près à la famille banquière Rothschild) assura qu'il supporterait la candidature de Washington DC en tant que nouvelle capitale Américaine en échange d'un support sudiste en faveur de l'établissement d'une banque centrale.

 

  1. George Washington signa en faveur de la création de la Première Banque des Etats-Unis le 25 avril 1791. Une charte fût instaurée pour une durée de 20 ans.

 

  1. Durant les cinq premières années de vie de la Première Banque des Etats-Unis, le gouvernement Américain emprunta 8,2 millions de dollars, et les prix augmentèrent de 72%.

 

  1. Les opposants au système de banque centrale ne s'en trouvèrent pas satisfaits. En 1798, Thomas Jefferson fit les déclarations suivantes.... 'Je souhaite qu'il fût possible d'obtenir un amendement de notre Constitution afin de mettre fin au pouvoir d'emprunt de notre gouvernement fédéral'.

 

  1. En 1811, la charte de la Première Banque des Etats-Unis ne fût pas renouvelée.

 

 

  1. Un an plus tard, la guerre de 1812 fit rage, opposant à nouveau les Américains aux Anglais.

 

  1. En 1814, les Anglais prirent Washington DC et la brûlèrent, mais les Américains sortirent victorieux des combats clés que représentaient New York et New Orleans.

 

 

  1. Le traité de Ghent, mettant officiellement fin à la guerre, fût ratifié par le Sénat Américain le 16 février 1815, puis le 18 février 1815 par les Anglais.

 

  1. En 1816, une autre banque centrale fût créée: la Deuxième Banque des Etats-Unis, également établie grâce à une charte sur 20 ans.

 

  1. Andrew Jackson, devenu président en 1828, était déterminé à mettre fin au pouvoir des banquiers centraux aux Etats-Unis.

 

  1. Plus tard, en 1832, le slogan d'Andrew Jackson en vue de sa réélection était 'JACKSON et PAS DE BANQUE'.

 

  1. Le 10 juillet 1832, le président Jackson fit la déclaration suivante concernant le danger des banques centrales :

'Ce ne sont pas uniquement nos propres citoyens qui se voient recevoir la générosité de notre gouvernement. Plus de huit millions du capital de cette banque sont possédés par des étrangers... n'y a-t'il aucun danger pour notre liberté et notre indépendance en une banque dont l'objectif n'est plus que le ligotage de notre propre pays?... Contrôler notre devise, recevoir des monnaies publiques, et tenir des milliers de nos citoyens en état de dépendance... serait bien plus formidable et plus dangereux qu'un pouvoir militaire de la part de l'ennemi'.

 

  1. En 1835, le président Jackson remboursa la dette nationale en sa totalité. Il est le seul président Américain à avoir jamais accompli cet exploit.

 

  1. Le président Jackson posa son veto contre la tentative de renouvellement de la charte de la Deuxième Banque des Etats-Unis en 1836.

 

  1. Richard Lawrence tenta d'assassiner Andrew Jackson, mais ce dernier survécut. Lawrence aurait annoncé que 'de riches européens' l'avaient incité à mener cette tentative d'assassinat.

 

  1. La guerre civile n'était qu'une autre opportunité pour les banquiers européens de mettre une main sur l'Amérique. En fait, Abraham Lincoln aurait contacté les banquiers de Rothschild en Europe dans une tentative de financer les efforts de guerre. Selon des rapports, les Rothschild demandaient des taux d'intérêts si élevés que Lincoln hésita à les rembourser.

 

  1. Finalement, plutôt que de rembourser sa dette, Lincoln créa l'Acte de Change Légal en 1862, grâce auquel le gouvernement Américain délivra 449,338,902 dollars sans facteur d'endettement.

 

  1. Cette monnaie sans facteur d'endettement fut connue sous le nom de 'Greenbacks', du fait de l'encre verte qui servait à sa fabrication.

 

  1. Les banquiers centraux Européens ne furent pas satisfaits de la situation. La note suivante fût publiée dans le London Times en 1865 :

'Si cette politique financière nuisible prenant racine en Amérique du Nord se voyait devenir un appareil durable, alors le gouvernement Américain sera en mesure de produire sa propre monnaie sans aucun coût. Cela lui permettra de rembourser ses dettes et de se trouver exempt de toute dette. Il aura en sa possession toute la monnaie nécessaire au bon fonctionnement de son commerce. Il atteindra une prospérité sans précédent dans l'histoire du monde. Les cerveaux et richesses de tout pays se verront migrer vers les Etats-Unis. Ce pays se doit d'être détruit sans quoi il détruira toute monarchie sur notre planète'.

  1. Abraham Lincoln fût assassiné par John Wilkes Booth le 14 avril 1865.

 

  1. Suite à la Guerre Civile, toute la monnaie des Etats-Unis fût créée par les banquiers achetant des obligations du gouvernement Américain en échange de billets de banques.

 

  1. James A. Garfield, opposant aux pouvoirs bancaires, devint président des Etats-Unis en 1881. La même année, il fit la déclaration suivante....

'Quiconque contrôle la monnaie en notre pays est le maître absolu de l'ensemble de l'industrie et du commerce...et lorsque vous réaliserez que le système est très facilement contrôlable, d'une manière ou d'une autre, par quelques hommes puissants, alors vous n'aurez plus à être informés de l'origine des périodes d'inflation ou de déflation'.

  1. Le président Garfield fût agressé deux semaines plus tard, le 2 juillet 1881, par Charles J. Guiteau. Il mourût le 19 septembre 1881 suite à des complications.

 

  1. En 1906, la bourse Américaine était particulièrement nerveuse. Elle s'effondra en mars 1907. Selon les dires, des banquiers de New York en seraient responsables.

 

  1. De plus, en 1907, J.P. Morgan lança une rumeur au sujet d'une banque New-Yorkaise qui aurait fait faillite. Cela entraîna une course massive vers les banques. En retour, les banques commencèrent à réclamer le remboursement des prêts qu'elles avaient octroyé. La panique de 1907 entraîna une investigation du Congrès, déclarant pour finir qu'une banque centrale était nécessaire afin d'éviter le retour à la panique.

 

  1. Cela nécessita quelques années, mais les banquiers internationaux obtinrent finalement leur banque centrale en 1913.

 

  1. Le Congrès vota en faveur de l'Acte de la Réserve Fédérale le 22 décembre 1913, entre 1h30 et 4h30 du matin.

 

  1. Une portion significative du Congrès était soit au lit à cette heure, ou était déjà chez elle à fêter les vacances en compagnie de sa famille.

 

  1. Le président ayant ratifié la loi donnant naissance à la Réserve Fédérale, Woodrow Wilson, déclara par la suite qu'il regrettait sa décision et fit la déclaration suivante :

 

'Une grande nation industrielle est dirigée par son système de crédit. Notre système de crédit est un système privé. Cependant, la croissance de la nation, ainsi que toutes nos activités ne se trouvent qu'entre les mains de quelques hommes... Nous sommes devenus l'un des gouvernements les plus dirigés, les plus contrôlés et plus dominés du monde civilisé – nous ne sommes plus un gouvernement d'opinion libre, de conviction et de vote majoritaire, mais un gouvernement régi par l'opinion et la contrainte d'un petit groupe d'hommes de pouvoir'.

 

  1. Entre 1921 et 1929, la Réserve Fédérale augmenta la réserve de monnaie de 62%. Cette période est mieux connue sous le nom des 'années 1920 rugissantes'.

 

  1. De plus, un effet de levier élevé des 'prêts sur marge' devint commun durant cette période.

 

  1. En octobre 1929, les banquiers de New York commencèrent à contracter ces prêts sur marge à grande échelle. Cela donna naissance à l'effondrement initial ayant débouché sur la Grande Dépression.

 

  1. Plutôt que d'étendre la masse monétaire en réponse à cette crise, la Réserve Fédérale l'a resserrée.

 

  1. En réalité, la masse monétaire des Etats-Unis régressa de huit millions de dollars entre 1929 et 1933. Cela représentait alors une somme extraordinaire. Plus du tiers des banques Américaines firent faillite. Les banquiers de New York furent alors en mesure de s'approprier d'autres banques et un volume d’autres actifs tout à fait colossal pour une poignée de pain.

 

Les étudiants Américains sont-ils mis au courant de tout cela?

 

Bien sûr que non.

 

Actuellement, seule une mineure partie des étudiants  serait capable de décrire ce qu'est une banque centrale, et a perdu le sens de l’essentiel de cette histoire.

 

Et vous savez ce qui se dit :  – ceux qui oublient l'histoire sont ceux qui seront condamnés à la revivre.

 

From endoftheamericandream.com

 

 

Toni Straka

Editeur, the Prudent Investor

 

 

 

 

 

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Toni Straka est un analyste financier indépendant, qui a été journaliste financier pendant plus de 15 ans. Il analyse l'actualité financière et politique pour faire comprendre que nous approchons d'une ère de redistribution de la richesse mondiale.
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Les Américains n'ont rien inventés. En France, nous avons eu Louis XIV et son fameux Ministre des Finances, Colbert ! Résultat : à la fin de son règne la France était ruinée et c'est Louis XV qui a récupéré " le bébé avec l'eau du bain ": John Law a du s'enfuir pour sauver sa peau... faute de n'avoir pu réussi à mener à bien son arnaque magistrale à base de fabrication de " fausse monnaie ", tous ces titres (titrisation à la Blythe Masters de l'époque, on pourrait dire, déjà !). Depuis, rien à changer. C'est invariablement les mêmes abus malhonnêtes et liberticides vis à vis des peuples besogneux, sous couvert de Démocratie. De nos jours, la fabrication " à go-go de monnaie de singe " continue, encore et encore, lourd héritage indélébile par delà les siècles... On croîrait que nos keynésiens dirigistes de notre soviétocratie bruxelloises (et mondialisée : contagion virale du vice nommé " amour de l'argent et du pouvoir tordus " dont sont atteintes nos élites, et ce, quasi invariablement), ont épuisés toutes les ficelles. Eh bien non, ce serait trop beau. En France, l'arnaque de la création monétaire coûte aux citoyens une dette inextinguible, " bagatelle " de 1850 milliards et 65 milliards d’intérêts annuels, et en plus on a même trouvés des pigeons pour continuer à nous prêter gratuitement. En fait, c'est une association géante de malfaiteurs, de politicards dévoyés, d'affairistes opportunistes et requins, de banksters cupides, de lobbyistes corrompus, multinationales spoliatrices autant que leurs laquais étatistes, etc... tous incurables ! Ils n'ont que le profit personnel en tête, au détriment de tout. Même notre pauvre planète n'en peu plus... En outre ces gens là, sont la plupart eugénistes, car la principale excuse qu'ils se sont trouvés c'est d'invoquer la démographie pléthorique de la gente humaine ! Il se dit même qu'ils auraient des plans machiavéliques pour lutter contre ce " fléau " ! Non vraiment, si on continue comme ça, on fonce à 400 km/h contre le mur en klaxonnant !
Bref, si les étudiants américains n'apprennent pas bien leur histoire, on n'y pourra toujours rien. En revanche, s'il y en a quelque-uns parmi eux qui auraient la ferme intention de réformer le SMI de fond en comble, en créant un nouvel étalon-or, en supprimant la Fed, en arrêtant le Ctrl + print monétaire, le crédit, les réserves fractionnaires, les produits dérivés, les titrisations, les leviers puissance 100, le "Shadow Banking ", etc... qu'ils ne se gênent surtout pas ! Le problème c'est que tout le monde se doute bien que le délitement du système est tel, que tout va finir par un crack systémique, bien avant. Il n'y a pas d'autre issue pour les sages et perspicaces, que de nous prendre en main personnellement, en toute responsabilité, de retirer bien sagement mais non moins promptement, nos actifs bancaires. Utilisons notre intelligence, et les MP comme boucliers éternellement fiables. Et après, comme le dit si bien la chanson : " chacun sa route, chacun son destin, passe le message à ton voisin...".
_ " La monnaie fiduciaire est une hypothèque sur de l'argent qui n'existe pas. " Ayn Rand
_ " Le problème qui perdure siècle après siècle et qui devra un jour être combattu est la question du peuple contre les banques. " John Dalberg Lord Acton
_ " La monnaie est une marchandise trop spécifique pour qu’on en laisse la gestion aux politiques (aux banquiers, aux économistes, etc... ; NdL). " Napoléon Bonaparte
_ " Nous devons combattre une crise de confiance. " Bundesbank, Banque Centrale Allemande ; nov. 2012 ; Source : Wealthcycles.com
_ " ... Et si on revenait à l’étalon or, l’once d’or devrait être à un million de dollars, car ce n’est pas une question de quantité d’or pour le faire, mais de prix. Avec les moyens technologiques actuels, l’étalon or peut remplacer le système monétaire fiduciaire actuel en 48 heures ... " HuffingtonPost.fr 21082011
_ " ... L’article de Jack Farchy (du Fiancial Times de londres) a son importance, puisqu’il pourrait contribuer au développement d’un marché libre pour les prix de l’or et de l’argent. Les prix des métaux précieux devraient enfin pouvoir grimper, comme le prédisent depuis un certain temps des analystes célèbres, et comme nous le laissent entendre les fondamentaux de leurs marchés. " Mark O'Byrne - Goldcore 31012013 (D'autres pays devraient suivre l'exemple de l'Allemagne Par Jack Farchy du Financial Times, Londres, Tuesday, Janvier 29, 2013).
_ " Si une nation espère pouvoir être ignorante et libre, elle espère ce qui n'a jamais été et ne sera jamais. " Thomas Jefferson
Evaluer :   6  0Note :   6
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Cet article souffre de plusieurs défauts rédhibitoires : alignement d'affirmations sans références ni explications. Il souffre aussi de nombreuses contradictions ou déformations conduisant à des non-sens.
L'impression générale est traduite par : Quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage.
Enfin cela concerne les USA où les banques centrales peuvent être détenues par des actionnaires divers même étranger ; cela ne nous concerne en rien.
Evaluer :   2  7Note :   -5
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Au fait , que veut dire "indépendance de la BCE" ?
Existerait-il une troisième voie entre le public et le privé ?
Cui bono ?
Bien évidemment non , par définition tout ce qui n'est pas public est privé.Ce terme d'indépendance de la BCE inscrit dans ses statuts est simplement une dissimulation du fait que la BCE est une organisation privée qui ne sert exclusivement que les intérêts des banques et non la population.

Les exemples sont tellement nombreux comme les sauvetages systématiques des banques en faillite totale par la création de monnaie ex nihilo , le reste peut crever , c'est d'ailleurs ce qui se passe.
Evaluer :   6  2Note :   4
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Fondamentalement il ne peut y avoir de différence réelle entre public et privé puisque dans tous les cas ce sont des humains qui y sont en charge de décision.
La différence réside dans le pouvoir :
Dans le privé un homme ou un petit groupe sont seuls décideurs
Dans le public - EN PRINCIPE - c'est en tout état de cause le peuple qui décide, du moins en démocratie.
Qu'ensuite il y ait des dérives et des abus; il faut s'en prendre à la nature humaine.
Evaluer :   3  3Note :   0
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Bien d'accord avec vous , mais vous conviendrez que la différence réside essentiellement
dans la distribution des dividendes et en l’occurrence , l'arnaque de la création monétaire privée coûte à la population une dette inextinguible de 1800 milliards et 60 milliards d’intérêts par ans.
Ça serait mieux dans nos poches non ?
Car dorénavant cette cupidité absolue permise par une évidente corruption des gouvernements successifs nous entraine collectivement vers la ruine et peut-être la guerre.
Guerre civile par la population immigrée non intégrée qui subira la fin des aides et conséquences militaires des guerres de conquêtes au moyen orient.
Bref ,un avenir radieux.
Evaluer :   5  3Note :   2
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Voici un élément de réponse à votre questionnement sur les actionnaires qui "s'en mettent plein les poches", Par exemple la BNP :
1. Investisseurs Institutionnels Français 70,90%
2. SFPI/FPIM 10,70%
3. Salariés 5,80%
4. Actionnaires Individuels 5,50%
5. Axa 5,10%
6. Gd Duché de Luxembourg 1,10%
7. Autocontrôle 0,30%

Le solde devant probablement être aux fonds de pensions USA

Nous tournons en rond dans le franco-français c'est-à-dire nos poches ou nos caisses de retraite ou assurances. Nos poches sont surtout les retraites !
De plus, et malheureusement, nos dettes sont toutes financées par les étrangers et seul un emprunt d'état de 1800 milliards entièrement souscrit par nous (en vendant tous nos bien !) pourrait nous libérer. et alors ensuite une trentaine d'années sans intérêts - à condition d'une très saine gestion - libérerait l'état complètement !
Evaluer :   3  2Note :   1
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Merci pour ces précisions mais vous oubliez la création monétaire qui permet d'acheter de la dette souveraine avec quelques bits sur un disque dur.
Montant de l'arnaque 1800 milliards et la totalité de l’impôt sur le revenu par an , uniquement pour payer les intérêts....
Et ce n'est pas fini ,vu que nous sommes en récession.
Il est là le problème , dans la magie des réserves fractionnaires.Cela devrait être interdit et les dirigeants mis derrière les barreaux.
La dette est virtuelle et doit être répudiée .
Cette crise qui représente une opportunité fantastique de transferts de richesses vers la frange richissime des 0,001% est une escroquerie qui ne tient que par la désinformation des médias qui leur appartiennent, et l'abrutissement des foules.
Mais ce n'est pas la tévé qui les nourrira quand le frigo sera vide ,pourtant on y va tout droit.
La Grèce ne fait que nous précéder , l'arnaque est à l'identique.
Evaluer :   4  2Note :   2
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Votre article n'interresse personne, il n'y a qu'à voir le nombre de commentaires.
Est-ce anormal ou nomal? Je pense qu'étudier c'est du travail et qu'aujourd'hui il est plus facile de geindre avec une orthographe SMS que de lire et apprendre. Il n'est qu'à constater l'inculture géénrale du peuple et celle des dirigeants.
Très bon article, j'avais lu l'ouvrage d'Eustace Mullins "Les secrets de la Réserve fédérale" 44 ans avant de paraître, c'est dire.
Je tenerai une paraphrase de votre conclusion:
Ceux qui oublient l'histoire sont ceux qui seront désespérés de ne pas comprendre ce qui leur arrive par ces temps de création monétaire acharnée.
Evaluer :   7  0Note :   7
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Mais si il y a des personnes intéressées... malheureusement... ils sont une minorité, souvent incompris par leur entourage, se sentent impuissant face à l'inconscience générale... et finalement s'isolent ou se demandent si ce n'est pas eux qui sont dans l'erreur...
Et dans très peu de temps, ils risquent aussi d'être considérés comme "ennemis d'état"...
Evaluer :   8  0Note :   8
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la paresse (intellectuelle ici) est mère de tous les vices.
Evaluer :   1  1Note :   0
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