Quand les prix baissent, cela porte le nom de « déflation » et c’est généralement le signe d’une grande dépression économique, et aussi d’une récession. Bref, ce n’est pas bon signe du tout… évidemment ! Mais puisque l’on vous dit tout de même que tout va bien et pour le mieux…
Les « abenomics » sont un échec, mais c’était en tout point prévisible et prévu ! La politique monétaire qui consiste à injecter de l’argent ne peut pas créer de richesses !! Créer de la fausse monnaie oui… pas de la richesse, pas de la croissance, sinon cela serait très facile et les crises économiques n’existeraient pas.
Nous serions dans un monde pur et parfait ! Un monde de « théorie », ce pays imaginaire…
Encore une fois, il s’agit juste de masquer l’insolvabilité du Japon. La BoJ anime les marchés nippons, sinon ce serait l’effondrement.
Ils ne peuvent pas sortir de cette politique sans que le monde entier ne se rende compte que l’empereur est nu !
Tokyo (awp/afp) – Les prix à la consommation ont décliné en octobre au Japon pour le 8e mois de suite, signant leur plus longue évolution négative depuis 2011, a annoncé vendredi le gouvernement, même si le déclin s’est légèrement atténué.
Prenant acte de cette situation, la Banque du Japon (BoJ) avait décidé début novembre de repousser une nouvelle fois l’échéance pour atteindre son objectif d’inflation de 2 %, à mars 2019, sur fond de manque de dynamisme de la troisième économie mondiale.
Arrivé au printemps 2013, son gouverneur, Haruhiko Kuroda, espérait y parvenir beaucoup plus vite. « Ce qui devait être une victoire rapide en deux ans s’est transformé en une longue guerre d’usure qui devrait durer au moins cinq ans », soulignait récemment Yasunari Ueno, chef-économiste de Mizuho Securities, jugeant la cible de 2 % « déraisonnablement élevée » au pays de la déflation.
Admettre la défaite ?
« Le mieux serait d’admettre la défaite et de fixer de nouveaux objectifs », au lieu de « blâmer des forces extérieures comme le pétrole bon marché », a-t-il jugé.