Bon, je n’ai pas pu résister. Alors que je parlais de cette affaire avec
un camarade de jeu, le voilà qui me sort, d’une manière fort triviale, dans
un immense éclat de rire, « Charles, Jeff vient de se faire bien
Bezos »… L’humour, dans ce monde de brutes, reste indispensable pour
garder les pieds sur terre et c’est une thérapie pour rester sain d’esprit.
Bon, l’histoire est la suivante.
Jeff Bezos, qui est le parton d’Amazon, n’est rien moins que l’homme le
plus riche du monde…. avec l’entreprise la plus grande au monde, et ce
divorce n’arrive pas du tout par le fruit du hasard, mais il est la
conséquence directe d’une guerre terrible qui oppose depuis plusieurs années
Trump et Bezos, sauf que Trump, coté divorce et chausse-trappes sexuelles, en
connaît un rayon !
Voici ce qu’en dit Vanity Fair ̶ je sais, c’est
rare que nous parlions de ce type de presse dans nos colonnes, mais que
voulez-vous, notre monde vole de plus en plus haut !!
« Derrière cet emballement médiatique se dissimule une querelle plus
politique. Le National Enquirer n’a jamais renié ses accointances avec Donald
Trump qui, de son côté, déteste Jeff Bezos (et réciproquement). Depuis très
longtemps, l’homme le plus puissant du monde et l’homme le plus riche du
monde se mènent une guerre où tous les coups sont permis. Par le biais du
Washington Post, journal qu’il a racheté, Jeff Bezos a soutenu la
campagne anti-Trump dès 2016. Tandis que le président des États-Unis
l’insulte dès qu’il peut sur les réseaux sociaux. Les conseillers à la Maison
Blanche parlent même d’une haine qui vire à l’obsession. Aidé par quelques
journalistes zélés, Donald Trump devrait donc sauter sur l’occasion que
représente ce divorce médiatisé pour tenter de faire tomber son ennemi juré,
et tout son empire avec »…
Finalement, Trump n’aura pas à démanteler Amazon, Jeff Bezos et sa future
ex-épouse vont s’en charger directement, tout en sachant que le Jeff a été
pris en photo dans un hôtel où il y avait sa femme et ses enfants et,
quelques chambres plus loin, sa maîtresse…
Il ne fallait pas « trump-er » sa femme… Hahahahahaha !
Source Vanity Fair ici