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La destruction de la liberté, une preuve.

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Publié le 29 février 2016
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Rubrique : Editoriaux

24hGold - La destruction de la...

1. La destruction de la liberté.

La liberté, c'est la liberté de penser et d'agir (cf. M. Rothbard, L'éthique de la liberté, 1982, 1991 en français) au détail près sur quoi ont insisté Plick et Plock :

Mais les hommes de l'état font tout pour qu'il n'en soit pas ainsi, grâce à la pérennité du privilège de collation des grades qu'ils se sont donnés jadis.

Au lieu que le doctorat soit le summum de l'université comme il l'avait été, les hommes de l'état se sont immiscés dans celle-ci, ont dénommé le doctorat "doctorat d'état" et inventé l'agrégation de l'enseignement supérieur - où même Xavier Darcos, secrétaire d'état à l'enseignement supérieur en exercice en 2004 (aujourd'hui académicien), n'y retrouvait pas son latin ou son grec puisqu'il confondait agrégation de l'enseignement supérieur et agrégation de l'enseignement secondaire -.

En effet, en 2003, le professeur Salin avait reçu du Premier ministre en exercice de l'époque (Jean Pierre Raffarin) la présidence du jury du concours sur la base de l'application de la règle traditionnelle souvent non respectée dans le passé ! - : "le plus ancien dans le grade le plus élevé".

Des "chers collègues" tenteront, à plusieurs reprises, un coup d'Etat sans précédent dans l'histoire universitaire française contre le président et le jury que celui-ci avait constitués.

Cela ne débouchant pas, ils se replieront, à défaut, sur la tentative de déstabiliser à la fois les candidats au concours, le président et les membres du jury à l'occasion de la parution de résultats intermédiaires, ceux de le première épreuve dite "d'admissibilité", en s'appuyant sur Internet et des médiats bien connus pour la désinformation quotidienne qu'ils exercent.

Etant donné l'"affaire", Hervé Novelli, alors député de l'Assemblée Nationale, se fera un honneur, à l'occasion d'une séance hebdomadaire de questions au Gouvernement (séance du 3 mars 2004), d'interroger le ministre de l'éducation nationale sur de tels agissements.

Le ministre étant empêché, ce sera le secrétaire d'état qui lui donnera une réponse non seulement en décalage avec la question mais encore en confondant le concours en question avec le "concours de l'agrégation d'économie et de sciences sociales du secondaire" (lequel n'a strictement rien à voir avec le concours en question).

Il conclura sa réponse défaillante par une pirouette.

 

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Georges Lane enseigne l’économie à l’Université de Paris-Dauphine. Il a collaboré avec Jacques Rueff, est un membre du séminaire J. B. Say que dirige Pascal Salin, et figure parmi les très rares intellectuels libéraux authentiques en France. Publié avec l’aimable autorisation de Georges Lane. Tous droits réservés par l’auteur
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