L’endettement excessif
est, notamment dans le monde occidental, le plus grand danger financier, politique
et monétaire auquel nous faisons face aujourd’hui. Il est impératif de
reprendre le contrôle sur la dette, ce qui pourrait impliquer une courte
période au cours de laquelle certaines entités pourraient légalement choisir
de se libérer de leur dette.
Un système de devises physiques
pourrait être mis en place afin que les agences monétaires privées du système
bancaire centralisé telles que la Réserve fédérale puissent enfin disparaître.
Après quoi nous traverserions une longue période de choc et effroi au cours de
laquelle tous les actifs verraient leur prix baisser contre l’or jusqu’à
atteindre un juste prix qui ne soit pas dérivé de la finance surendettée.
L’option de libération de dette
ne devrait pas être rendue disponible au public ou aux corporations privées.
Les corporations conserveraient leurs dettes et, à mesure que la valeur de
leurs actifs plongerait jusqu’à atteindre son juste prix, le déséquilibre de
capital motiverait un retour des ressources et du capital depuis les élites
jusqu’aux masses d’individus qui peuplent notre planète.
Ces étapes nous apporteraient
une solution ultime aux idéologies monétaristes, corporatistes, socialistes,
globalistes et de consumérisme défendues par les Etats, des idéologies qui
ont déjà toutes échoué.
La monnaie définit nos
entreprises, notre indépendance, notre prospérité et notre liberté
économique.
En termes de physique
fondamentale, l’or est un matériau qui nous apporte une valeur suffisante
pour nous fournir un capital monétaire tangible. Parce que tout l’or jamais
produit existe encore aujourd’hui, l’or peut jouer le rôle de monnaie stable.
L’émission de monnaie par les
banques centrales est une idéologie monétaire. Cette monnaie, plutôt que de
nous apporter un actif de valeur représentatif de capital monétaire, repose
sur la confiance en les billets fiduciaires des banques centrales pour l’intégralité
des échanges.
Dans notre paradoxe de création
de dette, l’émission illimitée de monnaie synthétique a fait gonfler toutes
les classes d’actifs au point que plus aucune ne soit aujourd’hui abordable.
Beaucoup d’entre nous ont été forcés dans une vie d’endettement permanent.
Plus tragique encore, au travers de leur création monétaire illimitée, les
banques centrales ont incorporé une majorité des ressources créatrices de
capital au bénéfice exclusif d’une poignée de privilégiés.
Les banques centrales, devenues
hors de contrôle, mènent de vicieuses guerres monétaires sans aucune compassion
pour ceux qui en souffrent. Elles ont impitoyablement recours aux taux d’intérêt
négatifs aux dépens des épargnants domestiques ; elles utilisent la
création monétaire, la dévaluation des devises et les contrôles de capital
pour affaiblir ou détruire les économies productives.
Elles font se développer des
bulles sur les marchés boursiers, sur l’immobilier et sur les marchandises en
inondant le monde de monnaie synthétique. Ce qui nous amène inévitablement
vers des récessions déflationnistes des marchés des actions, des propriétés
et des marchandises. Au travers d’opérations répétées, les banquiers
enregistrent des profits à mesure qu’ils créent des cycles de croissance
synthétique sur les marchés boursiers et les valeurs des propriétés, des
obligations et des marchandises, et tirent profit des bulles financières qui
éclatent sur ces mêmes marchés.
Comme ils l’ont eux-mêmes admis,
tout cela nous explique comment du capital est sans cesse transféré depuis
les masses vers la classe de privilégiés. Les recherches d’Oxfam sur la
distribution de capital ont conclu que 68 personnes ont aujourd’hui autant de
capital que le reste de la population du monde (Google). Les masses n’ont
aucune idée de la charade bancaire qui se joue et qui leur pille intentionnellement
leur capital et les empêche de profiter d’opportunités économiques
raisonnables.
Le système de devises
synthétiques des banques centrales a une chose en commun avec toutes les
autres fraudes destinées à prendre aux innocents : il prétend faussement
que quelque chose sans aucune valeur tangible a en réalité une certaine
valeur monétaire.
La lettre des frères
Rothschild à leurs associés de New York en 1863 a coulé les fondations de l’Acte
de la Réserve fédérale : « Le peu de personnes qui comprennent le
système seront si intéressées par ses profits ou si dépendantes de ses
faveurs qu’il n’y aura pas d’opposition parmi cette classe, alors que de l’autre
côté, les masses, qui sont incapables de comprendre les avantages que le
capital dérive du système, en porteront le fardeau sans se plaindre, et
peut-être même sans réaliser que le système va à l’encontre de leurs
intérêts. »
Beaucoup de gens ne savent pas
que la Banque des règlements internationaux, basée en Suisse, contrôle et est
virtuellement contrôlée par toutes les banques centrales majeures du monde.
Les banques centrales peuvent paraître nationales et complètement
indépendantes, mais en réalité, cette organisation bancaire suisse, avec tous
ses antécédents de fraude, est la contrepartie ultime de toutes les devises
des banques centrales majeures. (Wikipédia – Banque des règlements internationaux)
La science monétaire qui vise au
bien économique et au bénéfice de tous est basée sur la physique de l’énergie
et de la matière, sur la dynamique de l’entreprise humaine et de l’or.
Les réserves d’or offrent aux
nations le capital monétaire qui leur est nécessaire, et représente du
capital appartenant à chacun de leurs citoyens. Lorsque ces réserves sont
utilisées de manière responsable pour garantir la devise nationale, les
citoyens utilisent leur propre capital pour financer leurs entreprises.
Avec un modèle modeste de
création de capital, le trésor du pays demeure généralement intact, et son
capital ne diminue que s’il se trouve compromis par les politiques de
création de dette des banques centrales ou s’il est utilisé pour mener des
guerres non-productives et satisfaire les extravagances des politiciens. C’est
là une science monétaire par excellence, qui a pu être prouvée à de
nombreuses reprises tout au long de l’Histoire. Avec une stabilité des actifs
et une création de capital durable, des économies ont pu perdurer des
centaines d’années durant, jusqu’à ce que des banques, des guerres ou l’arrogance
impériale ne viennent détruire leur trésor.
L’or est le moyen d’échange
ultime, il assure un système économique juste. Une monnaie garantie par l’or
maintient la stabilité des prix des actifs afin que les individus les moins
productifs de la société ne puissent plus spéculer grâce aux produits dérivés
financiers pour vivre sur le dos des autres. L’or est un capital monétaire
indestructible qui, pendant plus de cinq-mille ans, a fourni une valeur de
réserve stable et préservé le capital des générations à venir.
L’or possède des intérêts
composés inhérents qui, au fil du temps, reflètent le progrès économique et nous
protègent de la dévaluation ou de l’effondrement des devises synthétiques des
banques centrales. L’or vaut aujourd’hui plus de 1.033,50 dollars, et a gagné
plus de 5.000% depuis son prix de 20,67 dollars de 1913, date à laquelle la
Réserve fédérale a reçu l’autorisation de mandater l’émission de la devise de
sa nation.
Sur cette même période de cent
ans, le dollar de la Réserve fédérale a perdu plus de 97% de son pouvoir d’achat
d’origine et ne vaut aujourd’hui plus que 3 cents.
Destruction de la
monnaie papier
La protection contre un cartel
bancaire centralisé corrompu, qui a transféré plus de 97% du capital
originellement utilisé pour garantir la Fed entre les mains d’une poignée d’individus,
revient à la préservation de capital.
L’or n’appartient à aucune
devise nationale, et représente un capital accepté tout autour du monde.
Des milliers d’années durant, les
pays du monde ont utilisé leur or ou leur argent pour commercer et garantir
la valeur monétaire de leur nation. L’or leur a aussi permis de conserver une
économie indépendante, sans laquelle ils auraient pu se trouver subordonnés à
une agence bancaire centralisée étrangère.
Avant que le président Nixon ne
remplace en 1971 ce qui était alors un étalon or partiel par un système
monétaire complètement synthétique, nous estimons que la classe moyenne des Etats-Unis
créait environ 200.000 nouvelles entreprises chaque année.
Plutôt que de continuer d’utiliser
une monnaie partiellement garantie par les réserves d’or et de prospérer au
travers de la création annuelle de 200.000 nouvelles entreprises, les
banquiers centraux ont décidé d’émettre leur propre devise synthétique et de
fournir aux corporations des financements illimités dans le cadre de leur
agenda globaliste. Le nombre net d’entreprises créées par la classe moyenne
américaine est depuis devenu négatif. Pour une majorité des gens aux Etats-Unis
et partout ailleurs dans le monde, la propriété d’un domicile, la sécurité de
l’emploi et la stabilité des salaires ont décliné alors que les fortunes des
élites non-productives ont gonflé exponentiellement.
C’est comme si nous avions
oublié les milliers d’années d’usage de l’or et de l’argent en tant que
monnaies au travers de tous les pays du monde, et ce sans aucun besoin d’imposer
un impôt sur les revenus des gens.
Les intérêts de la dette
nationale des Etats-Unis sont aujourd’hui de 216 milliards de dollars par an,
et représentent une taxe bancaire prélevée à toutes les familles de
travailleurs.
Ce n’est pas une coïncidence si
les impôts sur les revenus ont été adoptés l’année de création de la Banque
de réserve fédérale, qui a aboli l’indépendance monétaire des citoyens des
Etats-Unis.
Au travers de l’établissement d’un
contrôle monétaire sur la propriété et la distribution du capital, ainsi que
de sa capacité immorale d’imposer des intérêts sur une monnaie synthétique, le
cartel bancaire centralisé a pu recourir aux produits dérivés pour manipuler
le fixing quotidien du prix de l’or. Le fixing quotidien du prix de l’or a
été mis en place afin d’empêcher toute perte de contrôle sur une économie
basée sur la dette ainsi que la réintroduction de l’or et de l’argent en tant
que devises.
Au cours de ces sept dernières
années, 57 trillions de dollars de nouvelle monnaie a été créée. En termes de
fardeau que cette somme impose aux masses, elle se traduit par 50.000 dollars
d’actifs réels et de capital placés hors de la portée de chaque famille du
monde.
Nous avons aujourd’hui un
système immoral devenu hors de contrôle et dirigé sans aucune compassion aux
dépens des masses qui sont obligées de se plier à la charade économique des
banques centrales. Des intérêts sont imposés sur une devise synthétique, à la
manière d’une taxe privée, aux individus les plus vulnérables de la société.
Le système en place emploie la finance de contrepartie pour piller les
ressources de la classe moyenne, et manipule la valeur de toutes les classes
d’actifs. Il représente le déclin des entreprises individuelles et l’expansion
d’un capitalisme de copinage au sein d’une société sans espèces, le déclin
permanent de la liberté individuelle au travers d’une traçabilité totale des
finances.
Il est plus qu’absurde d’avoir
confiance en les objectifs de l’idéologie monétariste des banquiers centraux,
qui vise uniquement à bénéficier à un petit groupe d’élites aux dépens des
masses innocentes.
Quand le cycle d’émission de dette
synthétique qui dure depuis maintenant un siècle aura atteint ses limites,
les banquiers centraux seront pris au piège et n’auront plus la possibilité d’émettre
davantage de dette ou de créer suffisamment de capital tangible pour
réinitialiser le système. Sans émission de dette, sans capital monétaire
physique, l’économie du monde, comme de nombreux individus, sera destinée à
mourir.
Il existe une dernière solution
qui nous permettra de reprendre le contrôle et de remettre de l’ordre dans le
monde – il est indiscutable que les lois cycliques de la physique, qui sont
les interactions dynamiques de l’énergie et de la matière, peuvent servir le
bien-être économique de tous. Pour nous assurer de la stabilité des prix des
actifs dans une société qui gère son propre capital, l’argent utilisé par les
entreprises doit être garanti de manière indépendante par la valeur de l’or
détenu par le Trésor en tant que capital monétaire.
L’entreprise est l’énergie de l’individu
qui crée la prospérité. L’or apporte du capital monétaire prouvé par la
physique fondamentale et la science économique et monétaire. Il est la seule
dynamique qui offre à une nation une prospérité continue, le plein-emploi et
le progrès.
Il n’y a pas d’autre solution.