Pour qui sonne le glas

Le corps sans vie se balançait du haut d’un arbre dans un parc Grec. La note à coté du corps disait ceci :

« La police ne me connait pas.  Je n’ai jamais bu d’alcool de ma vie. Je n’ai même jamais rêvé des femmes ou des drogues. Je ne me suis jamais attardé au café, j’ai juste travaillé toute ma vie.

Mais j’ai commis un crime épouvantable.  Je me suis mis à mon compte à l’age de 40 ans et ai pris des dettes.  Je ne suis plus aujourd’hui qu’un imbécile de 61 ans et je dois payer.  J’espère que mes petits-enfants ne naîtront pas en Grèce, parce qu’il n’y aura plus de Grecs à partir de maintenant.  Qu’ils apprennent au moins une autre langue, parce que la Grèce va être effacée de la carte.

A moins, bien sur, que nous ne trouvions un homme politique qui ait les couilles de Mme Thatcher et qui saura remettre notre Etat debout ».

Signé : Alexandros, le 29 Mai 2012.

D’après le journal Athens News, cet homme faisait face à de sérieux problèmes financiers qui l’ont conduit à mettre fin à ses jours.