John F. Kennedy a été assassiné le 22
novembre 1963 d’une exécution classique, d’une forme de
sacrifice rituel connue sous le nom d’Assassinat du Roi. Cette
manière inhabituelle et plutôt horrible d’assassiner
publiquement un dirigeant extrêmement populaire a pour but de choquer
et d’impressionner la conscience des masses.
‘Il existe un rituel de Sociétés
Secrètes surnommé ‘Assassinat du Roi’. Le souverain
national d’un peuple n’est rien de plus qu’un homme de
paille sans aucun pouvoir. Le pouvoir se trouve bien au-delà de ce que
nous pouvons voir, au cœur des secrets les plus sombres. D’autres
tirent les ficelles des pantins de la politique. Si un pantin politique
arriviste décide de faire des vagues ou de ne pas jouer le jeu…
il est éliminé. C’est pourquoi César a
été assassiné. Et c’est pourquoi Kennedy a
été assassiné. Si vous dérangez la structure du
pouvoir, vous êtes pris pour cible et éliminé. Les
assassinats de ce type montrent au reste du monde qui détient le
pouvoir, qui tient vraiment les rênes. La vérité,
c’est que nos vrais souverains nous contrôlent depuis les
ténèbres. (Il y a une raison pour laquelle l’As est plus
fort que le Roi dans un jeu de cartes. L’As représente
les Sociétés Secrètes qui mènent la
danse)’.
Tiré de: WAS JFK KILLED BECAUSE OF ROSWELL? par Doug Yurchey
Kennedy était de loin le plus courageux et le plus
altruiste des présidents de l’histoire Américaine
moderne. Au cours de ses trois années de présidence, il a pris
plus de décisions hardies, émis plus d’ordres
exécutifs audacieux et mis en place plus de politiques
révolutionnaires que tous les autres présidents du XXe
siècle mis ensemble. Comment y est-il parvenu ?
Ce qui suit est une liste des dix raisons pour lesquelles
Kennedy est devenu l’homme le plus pris pour cible des Etats-Unis en
1963.
Chacune de ces dix raisons suffirait aujourd’hui
à mettre en danger la vie de n’importe quel président des
Etats-Unis. Et ce ne sont que les dix raisons les plus évidentes.
Kennedy a pris bien d’autres initiatives courageuses qui ont fait de
lui le grand ennemi des pouvoirs en place.
La vraie question est de savoir comment il est parvenu
à survivre si longtemps.
(1) Kennedy a émis un l’ordre exécutif
11110 qui rendait essentiellement impuissant le système de
Réserve Fédérale. Ce syndicat criminel international est
un cartel bancaire privé sans aucune réserve qui est tout sauf
fédéral, puisque ses propriétaires sont plus
étrangers que domestiques. Comme le président Andrew Jackson,
il savait que la Fed devait disparaître pour que les Etats-Unis
puissent cesser d’être les esclaves de leur dette. Inutile de
préciser que les banquiers du nouvel ordre mondial n’ont pas
toléré une telle audace, et que Kennedy savait très bien
qu’il en paierait le prix fort.
‘Le 4 juin 1963, Kennedy a signé l’ordre
exécutif 11110 qui demandait l’émission de 4.292.893.815
(4,3 milliards) de dollars Américains par le Trésor
plutôt que par le système traditionnel de la Réserve
Fédérale. Le même jour, il a signé une loi
proclamant que les billets d’un et de deux dollars devaient être
convertibles en l’or et non en l’argent, ce qui a permis de
renforcer la devise Américaine affaiblie’ [1].
Kennedy avait parfaitement conscience du degré auquel
le système de Réserve Fédérale avait
usurpé le droit Constitutionnel de sa nation d’imprimer de la
monnaie et sa capacité de réguler sa devise. Il savait
également que c’était là le plus gros challenge
qui se présentait à son administration.
Comme Abraham Lincoln et Andrew Jackson, il était
conscient des conséquences qu’auraient ses tentatives de
remettre le contrôle monétaire à sa place de droit,
c’est-à-dire entre les mains du Trésor. Bien qu’il
dispose de l’autorité statutaire qui lui permettait
d’agir, Kennedy comprenait que ses batailles ne seraient pas sans
victimes, et qu’il aurait de grandes chances d’en sortir perdant
au vu du pouvoir intouchable et de l’influence omniprésente de
ses formidables adversaires de la Fed.
‘Lorsque le président John Fitzgerald Kennedy
… a signé cet ordre exécutif, ce pouvoir a
été retourné au gouvernement fédéral, plus
précisément au Département du Trésor, qui a le
pouvoir Constitutionnel de créer et d’émettre de la
monnaie – sans passer la Banque de réserve
Fédérale. L’ordre exécutif 11110 du
président Kennedy a donné au Département du
Trésor le droit ‘d’émettre des certificats sur
l’argent contre des lingots d’argent, de l’argent ou des
dollars argent’. Cela veut dire que pour chaque once d’argent qui
se trouvait dans les coffres du Trésor des Etats-Unis, le gouvernement
pouvait introduire de la nouvelle monnaie dans l’économie. En
conséquence, plus de quatre milliards de dollars de billets
Américains sont entrés en circulation en dénominations
de 2 et 5 dollars. Les billets de 10 et 20 dollars n’ont jamais
circulé mais étaient en train d’être
imprimés par le Département du Trésor quand Kennedy a
été assassiné. Il paraît évident que
Kennedy savait que les billets de la Banque Fédérale qui
étaient utilisés en tant que change légal étaient
contraires à la Constitution des Etats-Unis d’Amérique.
‘Kennedy savait que si les billets soutenus par de
l’argent commençaient à circuler en de grandes
quantités, ils auraient fini par éliminer la demande en billets
de la Réserve Fédérale. C’est une règle
simple de l’économie. Les billets du Trésor
étaient convertibles en
l’argent physique, et les billets de la Réserve
Fédérale n’étaient soutenus par rien qui ait une
valeur intrinsèque. L’ordre exécutif 11110 aurait pu
empêcher la dette des Etats-Unis d’atteindre son niveau actuel
(la quasi-intégralité des neuf trillions de dollars de dette
fédérale des Etats-Unis ont été
générés depuis 1963) si Lyndon B. Johnson ou les
présidents qui lui ont succédé avaient
décidé de le faire entrer en vigueur. Il aurait permis au
gouvernement des Etats-Unis de rembourser sa dette sans passer par les
Banques de Réserve Fédérale privées et avoir à
payer des intérêts sur la ‘nouvelle monnaie’.
L’ordre exécutif 11110 offrait aux Etats-Unis la capacité
de créer une nouvelle fois leur propre monnaie soutenue par
l’argent et une devise qui valait réellement quelque chose.
Selon mes propres recherches, cinq mois seulement après
l’assassinat de Kennedy, plus aucun certificat sur l’argent de
1958 n’était émis, et les autres ont été
retirés de la circulation. Peut-être l’assassinat de
Kennedy était-il une mise en garde destinée aux présidents
futurs qui étaient susceptibles de se trouver tentés
d’interférer avec le contrôle privé de la
Réserve Fédérale sur la création
monétaire. Il semble assez évident que Kennedy a
dérangé les pouvoirs qui se cachent derrière les
finances des Etats-Unis et du monde’.
–
JFK Vs The Federal Reserve par John P.
Curran (4-19-7)
[1] http://www.hermes-press.com/frs1.htm
In Memoriam:
JOHN F. KENNEDY: A True
Profile In Courage
Source :
State of the Nation 2012
A suivre
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