Malgré la
crise économique qui s'annonce très rude, la caravane du
réchauffement climatique continue d'envisager l'adoption de mesures particulièrement
coûteuses. Certes, plusieurs pays, menés
par l'Italie et la Pologne, contestent les projet présentés,
qu'un ministre Italien a qualifié d'acte de folie. Mais rien ne semble
capable d'arrêter le train fou de la bureaucratie avide de se doter de
nouveaux instruments de pouvoir...
En France, la
classe politique applaudit à l'unisson le Grenelle de l'environnement,
déjà décliné en une première loi à
l'assemblée, en attendant une loi Grenelle 2 prévue pour
novembre. Naturellement, aucune étude d'impact réelle n'a
précédé le vote du texte. Coûts
élevés, effets climatiques nuls, effets économiques
pervers... J'y reviendrai tous les textes seront votés.
Mais au
delà de l'opposition économique tout à fait concevable,
où en est le débat scientifique ? Les lecteurs réguliers
de ce blog (catégorie: environnement),
mais aussi et surtout de blogs de scientifiques, comme celui d'Anthony
Watts, Steve Mc Intyre,
Roger
Pielke, et de nombreux autres, savent que le
pseudo-consensus réchauffiste a depuis longtemps volé en
éclat dans la communauté scientifique. Comme je
l'écrivais il y a un an, les pavés continuent de
pleuvoir dans la mare des réchauffistes, mais
comme il y a un an, les médias et le pouvoir politique s'en moquent.
Il est plus qu'urgent qu'un réveil populaire empêche nos
gouvernants de dilapider des milliards pour lutter contre une menace dont il
apparait de plus en plus clairement qu'elle est scientifiquement
infondée, pour ne pas dire imaginaire.
Voici donc,
grâce aux efforts de traduction et de rediffusion des principales
découvertes effectués par l'indispensable Jean
Martin, dont le site est ultra complet mais touffu et
les mises à jour nombreuses mais difficiles à suivre, un point
sur quelques unes des dernières nouvelles du réchauffement vu
du côté sceptique.
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La terre ne se
réchauffe plus depuis 1998 -- Si l'on en croit les principales
sources de mesure par satellite des températures terrestres, la
température moyenne de notre globe n'a pas augmenté depuis
1998, voire même aurait légèrement baissé. 2007
avait été froide, l'année 2008 promet de l'être
tout autant alors que la concentration de CO2, dont "on" nous
affirme qu'elle va nous conduire à une augmentation dramatique des
températures, augmente au même rythme que d'habitude. (cf.
graphes ci dessous)
Graphe: évolution
du taux de CO2 depuis 1990
Graphe: évolution de la
température selon 4 sources depuis 1990
Graphe: évolution de la
température depuis 2002, tendances
Graphe: tendances
1979-2008: les gains de température
des 25 premières années ont été gommés en
4 ans.
Conclusion : Quand bien
même la concentration de CO2 jouerait un rôle important dans la
formation des températures, la relation entre CO2 et
température est, au minimum, grandement "contrariée"
par des facteurs autres. De là à imaginer que le CO2 ne
pourrait être qu'un déterminant tout à fait mineur du
climat....
... Il y a un pas
que d'aucuns franchissent allègrement: l'activité solaire
semble quant à elle parfaitement en phase avec ce relatif
refroidissement.
Graphe: activité solaire des
dernières années
Ceci dit, et
c'est le raisonnement que tente maintenant de promouvoir le GIEC, l'on
pourrait tout à fait imaginer que le CO2 anthropique gouvernerait une
tendance "longue", mais que l'activité solaire fluctuante
pourrait susciter des paliers autour de cette tendance. Après tout, en
tendance longue sur un siècle, et malgré le plateau observable,
la période actuelle est la plus chaude sur les cent dernières
années. Sauf que...
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Optimum
médiéval --- Sauf que ... Selon diverses
études recensées par Roy Spencer dans son dernier ouvrage,
"climate confusion",
dont un résumé anglais est disponible ici, et
une traduction française en PDF
est en ligne chez Jean Martin, il apparait on ne peut plus clairement que les
reconstitutions des climats passés faites par Michael Mann et
utilisées extensivement par le GIEC, déjà
dénoncées par Steven McIntyre
comme comportant de graves erreurs méthodologiques, sont fausses:
selon la plupart des études sérieuses publiées sur la
question, il y a bel et bien eu une période médiévale
plus chaude que notre pic de chaleur actuel. Cette période,
référencée sous le nom d'optimum médiéval,
fut un poil plus chaude que la notre (cf. graphe ci dessous)
Or, à
cette époque, quand bien même on se chauffait au bois (quand on
le pouvait) et l'on brûlait les hérétiques, les
dégagements de CO2 d'origine anthropiques étaient totalement
négligeables. Des reconstitutions historiques par étude des
calottes glaciaires permettent d'estimer que les teneurs en CO2 de
l'époque étaient inférieures à 280 PPM (source, graphique),
soit un tiers de mois qu'aujourd'hui. Par conséquent, imaginer que le
CO2 en général, et le CO2 anthropique en particulier, soit le
"pilote" de la tendance longue des températures, parait
insensé.
Notez en outre
l'extrême stabilité de la température moyenne sur 2000
ans: tout au plus 1,2°C d'amplitude entre le point le plus chaud (900-1100
ap. JC) et le petit âge glaciaire (1450-1750). Les variations actuelles
restent dans le même fuseau: y voir le début de l'apocalypse
paraît donc pour le moins abusif.
La
présentation du livre de Spencer recèle bien d'autres richesses
venant contredire la théorie officielle du GIEC. N'hésitez pas
à la consulter (PDF, en
Français - Html,
anglais).
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Pas de fonte
glaciaire massive --- Vous aurez noté sur le graphe
précédent que l'optimum médiéval fut une
période où les vikings purent coloniser les côtes du
Groenland. Cela signifie donc qu'il s'y trouvait moins de glace qu'aujourd'hui.
Pourtant, nulle trace d'un engloutissement des villages côtiers sous
des mètres d'eau, selon tous les historiens, alors que Al Gore et
certains catastrophistes nous abreuvent de messages catastrophiques sur le
niveau des mers qui pourrait résulter d'une fonte des glaces. A ce
sujet, un chercheur de haut niveau (un de plus), dénonce, toujours
chez Jean Martin, les absurdités
colportées par Hansen et consorts sur la fonte
des glaces arctiques ou antarctiques. Extrait:
Le
Professeur Australien Cliff Ollier est géologue, géomorphologue
et spécialiste des sols. Il est actuellement professeur
émérite et chercheur honoraire de l'Université Western
Australia. Il a rédigé et co-rédigé plus de
500 publications, la plupart dans des revues internationales.
Il a écrit 10 livres(quelques uns
ici), dont le très connu " Tectonics
Landforms : The Origin of Mountains"
(couverture ci-contre) . Bref, c'est une sommité dans sa partie. Il
est particulièrement à son aise dans le domaine de glaciers.
"
Les promoteurs de la fin du monde résultant du réchauffement
climatique affirment que le Groenland et les nappes de glace Antarctique sont
en train de fondre et que ceci va causer une hausse brutale du niveau des
océans de 5 mètres ou plus. Cette affirmation ignore le fait
que les glaciers progressent en rampant. Les glaciers ne fondent pas à
partir de la surface en allant vers le bas. Ils ne s'écoulent pas non
plus en glissant sur un plan incliné lubrifié par l'eau fondue.
En réalité, Le Groenland et les nappes des glaces Antarctique
se trouvent dans de profonds bassins et ne peuvent pas descendre le long d'un
plan incliné. De plus le flux de glace dépend des contraintes
(et tout particulièrement les limites d'élasticité).
D'autre part, les températures et aussi la plupart des nappes
glacées se trouvent bien dessous du point de fusion de la glace.
L'accumulation de kilomètres de masses de glace intacte au coeur du
Groenalnd et de l'Antarctique (les mêmes qui servent à propager
l'idée du réchauffement climatique) montre des centaines de
millions d'années d'accumulation, sans fonte ni
écoulement."..."Après trois quart de millions
d'années d'accumulation continuelle et documentée, comment
pouvons nous croire que, justement maintenant, les nappes de glace du monde
vont disparaître ?"...
"A
l'exception des bordures, les nappes de glace s'écoulent par leur
bases et ceci dépend de la chaleur géothermique et non pas du
climat à la surface (NDT conformément aux
dernières découvertes relatées ici) . En
réalité, il est impossible que les nappes de glaces du
Groenland et de l'Antarctique "s'effondrent"....
Bref, ce n'est
pas encore demain que Saint-Malo deviendra la Venise bretonne. Je me
gondole...
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Ainsi fondent,
fondent, fondent... Toujours à propos du niveau des glaces,
celui ci reste dans les tendances observées les années
précédentes, et la reconstitution hivernale du manteau glacier
arctique semble plus rapide que l'an passé.
Source: (cliquer
sur le graphe pour l'agrandir)
Quant à
l'antarctique, la courbe actuelle se situe à peine en dessous de sa
moyenne 1979-2007. Pas de quoi fouetter un chat, malgré des articles
de presse alarmistes récents.
Source: (cliquer
sur le graphe pour l'agrandir)
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Colorado Quizz --- Pour vous
détendre après tous ces graphes et laïus, un
petit quizz qui nous vient du Colorado, et traduit en
Français par Skyfal (sous forme de diaporama, format Flash):
Même si le
Quizz est politiquement orienté, les rédacteurs de Skyfal et
les commentateurs du quizz l'ont évalué, et il apparait que les
faits présentés sont exacts. Et pour certains,
surprenants.
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L'effet de serre,
ce grand inconnu... Retour aux "grosses" théories.
Je vous disais l'an passé que deux chercheurs allemands,
physiciens, avaient montré que la modélisation de l'effet de
serre par le GIEC était sans aucun doute totalement fausse, car ne
tenant aucun compte des lois de la thermodynamique qui stipulent, entre
autres, que sans apport d'énergie extérieur, un flux de chaleur
ne peux se transmettre d'un milieu froid (comme la haute atmosphère)
vers un milieu chaud. Gerlich et Tscheuschner
ne proposaient pas de contre théorie, mais ils ont mis en
lumière l'inadéquation des thèses du GIEC avec les lois
élémentaires de la physique.
Il résulte
de ces constats, confirmés empririquement par d'autres chercheurs
(Pielke Sr., entre autres), que si l'atmosphère joue bel et bien un
rôle d'absorbeur d'énergie solaire et d'amortisseur des
différences de rayonnement diurne et nocturne, la façon dont
elle le fait est mal rapportée par le GIEC, ce qui est ennuyeux, car
leurs modèles mathémathiques qui nous prédisent des
catastrophes sont fondés sur ces fausses assomptions.
Une
théorie qui pourrait valoir à son auteur une très grande
renommée (elle
l'a déjà contraint à démissioner de la NASA
à cause de son opposition à J.Hansen, le
gourou fascisant du réchauffement climatique)
a été élaborée par un chercheur hongrois, Ferenc Miskolczy,
ancien directeur de recherche à la NASA, qui semble expliquer avec
bien plus de pertinence les évolutions passées et
récentes du climat:
"(Miskolczy)
a démissionné de la NASA en 2005
suite au refus de cette dernière de publier les résultats de
ses travaux. Il explique le conflit qui l'a opposé à la
direction de la NASA, en faisant remarquer que
ses conclusions qui montrent qu'il n'y a, en réalité, aucun
danger lié au CO2 et que l'effet de serre est
en permanence saturé (autrement dit, automatiquement limité)
pour des raisons de physique fondamentale, risque de priver la
climatologie (et la NASA) de très
abondants financements."
La bureaucratie a
ses raisons que la science ignore...
Le long
résumé de Jean Martin est clair, mais si vous n'avez pas le
courage de vous lancer, en voici un très court résumé:
La théorie
du GIEC affirme que l'augmentation de CO2 par elle même n'aurait qu'une
influence limitée sur l'augmentation des températures mais
qu'elle provoquerait par une sorte de réaction en chaine un
"emballement" de la production de vapeur d'eau, gaz capable
d'absorber bien plus de chaleur que le CO2, et que cet emballement
("contre réaction positive" en langage scientifique)
contribuerait à une surélévation des températures
insupportable.
Selon Miskolczy,
cet emballement est impossible, car il est stupide de considérer que
le CO2 et la vapeur d'eau cumulent leurs effets de serre successivement.
L'ensemble des gaz dits "à effet de serre" doivent
être considérés comme un bloc. Or, tant les observations
que la théorie de Miskolczy suggèrent que lorsque la
concentration de CO2 (ou d'un autre GES) augmente, celle des autres GES
tendent à diminuer, et notamment la vapeur d'eau (le principal gaz en
question), maintenant un "effet de serre" à peu près
constant, et donc des variations de températures relativement
limitées malgré l'existence de périodes glaciaires bien
plus dures qu'aujourd'hui. Bref, le système atmosphérique
serait gouverné par des contre-réactions
"négatives" (situation générale des
systèmes en équilibre stable) et non "positives"
(système pouvant s'emballer).
Le calcul complet de Miskolczi
aboutit à une sensibilité totalement négligeable de
0,24°C (ou K) au lieu de 3,3°C (GIEC) pour un doublement du CO2
atmosphérique.
Cette
théorie pourrait n'être qu'une hypothèse, mais les
observations satellitaires de concentrations en vapeur d'eau à
diverses altitudes faites par le NOAA, un sous-organe de la NASA qui ne
semble pas sous la coupe directe d'Hansen, corroborent les hypothèses
du chercheur hongrois.
Des
expériences complémentaires sont actuellement en cours pour
déterminer la réponse à cette question cruciale: les
contre réactions liées aux élévations de
température au sein de l'atmosphère peuvent elle ou non devenir
positives ? Si la réponse est non, cela voudra dire que toutes les
hypothèses du GIEC sont à mettre à la poubelle.
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Le contre-rapport --- Je vous
rappelle l'existence d'un rapport d'un "contre-giec"
indépendant des gouvernements, le NIPCC, et traduit en français
(en PDF),
qui aborde de très nombreux points de divergence entre les très
nombreux chercheurs de haut niveau sceptiques de par le monde
(répétons le inlassablement: le consensus est une fiction !) et le GIEC,
en termes assez accessibles avec un minimum de culture scientifique.
------
Une question de
très gros sous ? --- Gageons cependant que toutes ces
découvertes ne provoqueront pas de changement majeur dans l'opinion
mainstream, dans la presse du même nom et chez les irresponsables qui
affirment nous gouverner, "pour l'intérêt
général", bien sûr.
Pourquoi une telle imperméabilité à l'émergence
de thèses contradictoires ? C'est peut-être Richard Lindzen --- responsable du département
de climatologie au MIT, plusieurs fois auditionné par le
congrès US, auteur de théories sur la formation des nuages qui
semblent largement corroborées par les observations satellitaires,
bref, une sommité scientifique et quelqu'un qui connait très
bien le système --- qui a émis l'hypothèse
la plus convaincante : une affaire de très gros sous !
Dans une interview à Eco-World,
dont les extraits saillants ont été traduits une fois de plus
par Jean Martin,
Lindzen explique que:
"
L'idée d'un climat statique et invariable est étrangère
à l'histoire de la terre ou de toute autre planète
enveloppée d'un fluide. Le fait que le monde développé
soit devenu hystérique pour un changement de température de
quelques dixièmes de degré, sidérera les
générations futures. Une telle hystérie résulte
simplement de l'inculture scientifique du public et de sa sensibilité
au principe Goebbelsien que la répétition finit par faire
prendre une chose fausse pour la vérité, ainsi que de
l'exploitation de ces faiblesses par des politiciens, par les promoteurs de
l'environnement et, après 20 ans de battage médiatique, par
beaucoup d'autres aussi. "
(...)
" Au vu de ce qui précède, on peut
se demander pourquoi on assiste à un tel alarmisme de nos jours et
plus particulièrement pourquoi il existe une recrudescence de cet
alarmisme depuis 2 ans. Quand une affaire comme le réchauffement
climatique est rabâchée depuis plus de 20 ans, de nombreuses
structures se sont mises en place pour en tirer profit. Les
bénéfices du mouvement environnementaliste sont assez clairs.
Il en est de même de l'intérêt des bureaucrates pour
lesquels le contrôle du CO2 est un rêve devenu
réalité."
(...)
" Le cas d'ENRON est révélateur
sous plusieurs aspects. Avant d'exploser en feu d'artifice pour des
manipulations peu scrupuleuses, ENRON a été un des plus actifs
promoteurs des accords de Kyoto. Il avait espéré devenir un bénéficiaire
essentiel dans le commerce des droits d'émission du CO2.
(NDLR
: Plus récemment, en sept 2008, Lehman Brothers qui était
l'autre grande banque du réchauffement climatique, a aussi
explosé en vol)
Et ce n'était pas un petit espoir. Le montant de ces
droits doit s'élever à plus de mille milliards de dollars et
les commissions afférentes doivent rapporter beaucoup de milliards.
Les fonds de pension s'intéressent activement à ces possibilités.
Ce n'est probablement pas un hasard si Al Gore, lui-même, est
associé à ces activités. La vente des
"indulgences" est en pleine expansion avec des organisations qui
vendent des "pardons" en fonction de l'empreinte carbone,
même si elles reconnaissent parfois que ce n'est pas une bonne
solution."
(...)
"Avec tout ce qui est en jeu, on peut facilement
imaginer qu'il doit y avoir un sentiment d'urgence provoqué par le
fait que le réchauffement a peut-être cessé. Pour ceux
qui sont impliqués dans ces affaires d'argent, le besoin d'agir
rapidement avant que le public apprécie la situation, doit être
très impérieux. Vraiment."
Comment
çà, le forcing de Gore ne serait qu'une question de gros sous ?
Ah, ces sceptiques, que n'iraient ils pas imaginer... Ce n'est sûrement
pas moi qui aurait osé émettre pareille hypothèse
!
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Pensez
très fort à tout cela quand vous paierez vos écotaxes !
Vincent
Bénard
Objectif Liberte.fr
Egalement par Vincent Bénard
Vincent Bénard, ingénieur
et auteur, est Président de l’institut Hayek (Bruxelles, www.fahayek.org) et Senior Fellow de Turgot (Paris, www.turgot.org), deux thinks tanks francophones
dédiés à la diffusion de la pensée
libérale. Spécialiste d'aménagement du territoire, Il
est l'auteur d'une analyse iconoclaste des politiques du logement en France, "Logement,
crise publique, remèdes privés", ouvrage publié
fin 2007 et qui conserve toute son acuité (amazon), où il
montre que non seulement l'état déverse des milliards sur le
logement en pure perte, mais que de mauvais choix publics sont directement
à l'origine de la crise. Au pays de l'état tout puissant, il
ose proposer des remèdes fondés sur les mécanismes de
marché pour y remédier.
Il est l'auteur du blog "Objectif
Liberté" www.objectifliberte.fr
Publications :
"Logement: crise publique,
remèdes privés", dec 2007, Editions Romillat
Avec Pierre de la Coste : "Hyper-république,
bâtir l'administration en réseau autour du citoyen", 2003, La
doc française, avec Pierre de la Coste
Publié avec
l’aimable autorisation de Vincent Bénard – Tous droits
réservés par Vincent Bénard.
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