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l'immobilier pendant la crise

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Publié le 25 février 2015
 
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Bonjour,

je reviens à votre post et tiens à vous inviter à lire l'interview de Marc Touati, économiste et président fondateur du cabinet ACDEFI. À la question, quels investissement sont les moins périlleux, M. Touati répond :

"En attendant que le gouvernement français face un virage à 180 degrés, notamment en réduisant la pression fiscale et les dépenses publiques, il faut rester très prudent.
C’est malheureux à dire, mais vu l’augmentation dramatique de la fiscalité sur les produits financiers, il n’y a guère que le livret A qui reste attractif à moyen terme. Il ne rapporte pas grand-chose, mais au moins il n’est pas fiscalisé. Sinon, il est toujours possible d’investir dans des start-up, voire dans des entreprises de belle qualité ou encore dans l’immobilier mais à très long terme."

Autre réponse intéressante à lire :
" Par ailleurs, le secteur immobilier ne risque-t-il pas d'être vu à terme comme une potentielle vache à lait pour des gouvernements en manque de recettes fiscales ?

Dans la mesure où, depuis trente ans, les gouvernements français n’ont pas le courage de baisser la dépense publique (qui rappelons-le atteint désormais 57% de notre PIB, un record historique), ils cherchent désespérément à augmenter leurs recettes fiscales pour tenter de réduire les déficits publics. Cette stratégie est évidemment inefficace dans la mesure où l’augmentation des taux d’imposition ne fait que limiter la croissance, donc réduire l’assiette fiscale. Ce qui signifie que l’État ponctionne plus mais sur un gâteau plus petit. Ce triste constat est également observable dans le secteur immobilier. Seulement voilà, à force de tirer sur la corde, elle finit par se casser. Aggraver encore la pression fiscale en France, alors que celle-ci est déjà l’une des plus élevées du monde, est tout simplement suicidaire."

L'immobilier représente le placement le plus important des Français (résidence ou investissement locatif) mais il faut savoir choisir un bon timing. Les vrais investisseurs s'enrichissent, car comme nous le montre la culture chinoise : l'idéogramme du mot crise est identique à celui du mot opportunité.

Source : http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-investir-dans-immobilier-est-pas-toujours-bonne-affaire-et-pourquoi-cela-est-moins-en-moins-marc-touati-782875.html#U00JCr4Wr0ZeJmUi.99"

Cordialement
Bonjour,

je reviens à votre post et tiens à vous inviter à lire l'interview de Marc Touati, économiste et président fondateur du cabinet ACDEFI. À la question, quels investissement sont les moins périlleux, M. Touati répond :

"En attendant que le gouvernement français face un virage à 180 degrés, notamment en réduisant la pression fiscale et les dépenses publiques, il faut rester très prudent.
C’est malheureux à dire, mais vu l’augmentation dramatique de la fiscalité sur les produits financiers, il n’y a guère que le livret A qui reste attractif à moyen terme. Il ne rapporte pas grand-chose, mais au moins il n’est pas fiscalisé. Sinon, il est toujours possible d’investir dans des start-up, voire dans des entreprises de belle qualité ou encore dans l’immobilier mais à très long terme."

Autre réponse intéressante à lire :
" Par ailleurs, le secteur immobilier ne risque-t-il pas d'être vu à terme comme une potentielle vache à lait pour des gouvernements en manque de recettes fiscales ?

Dans la mesure où, depuis trente ans, les gouvernements français n’ont pas le courage de baisser la dépense publique (qui rappelons-le atteint désormais 57% de notre PIB, un record historique), ils cherchent désespérément à augmenter leurs recettes fiscales pour tenter de réduire les déficits publics. Cette stratégie est évidemment inefficace dans la mesure où l’augmentation des taux d’imposition ne fait que limiter la croissance, donc réduire l’assiette fiscale. Ce qui signifie que l’État ponctionne plus mais sur un gâteau plus petit. Ce triste constat est également observable dans le secteur immobilier. Seulement voilà, à force de tirer sur la corde, elle finit par se casser. Aggraver encore la pression fiscale en France, alors que celle-ci est déjà l’une des plus élevées du monde, est tout simplement suicidaire."

L'immobilier représente le placement le plus important des Français (résidence ou investissement locatif) mais il faut savoir choisir un bon timing. Les vrais investisseurs s'enrichissent, car comme nous le montre la culture chinoise : l'idéogramme du mot crise est identique à celui du mot opportunité.

Source : http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-investir-dans-immobilier-est-pas-toujours-bonne-affaire-et-pourquoi-cela-est-moins-en-moins-marc-touati-782875.html#U00JCr4Wr0ZeJmUi.99"
À mon avis, investir dans un secteur aussi contrôlé que l'immobilier locatif est une hérésie.
1- les prix sont surévalués de 40% selon le consensus actuel.
2- ces prix ne tiennent bon que parce que le secteur dans son ensemble est sous perfusion d'un Etat déjà en faillite.
3- l'Etat peut à loisir modifier les contraintes de prix, conditions, taxes pour ménager/soutenir son électorat.
Bref, tout pour plaire à un contrarien ?
Ce n'est peut-être pas le meilleur investissement en période de crise, mais l'immobilier résiste à tous les temps. Au moment de la crise de 29, il avait chuter de 67% et alors ?
Il est remonté après. Il suffit de faire le gros dos.
Navré par avance si ce sujet a été évoqué récemment (si c'est le cas, je veux bien le lien : j'ai rien trouvé...).
Ma question est simple : l'immobilier est-il un bon investissement en cas de crise ?
Alors, évidemment, selon qu'on parme d'hyperinflation ou de déflation, la réponse "devrait" être différente mais quelle est-elle?
En effet, l'article de C. SANNAT sur la débancarisation a eu sur moi l'effet d'un électrochoc : j'ai commencé à acheter (pas mal) d'or depuis. et j'envisage fortement d'acheter un terrain agricole et/ou forêt.
Cependant, mon appétence va plutôt à l'immobilier (locatif). C'est ce que je connais et "sens" le mieux.
Aussi, au delà des questions d'inflation ou déflation (si les conditions sont défavorables, je conserverai le bien), la grande question est : pourquoi l'immobilier n'est pas considéré comme actif tangible ? (je sens d'avance la grosse question polémique...)
J'ai lu un avis que je partage disant qu'en cas de crise, il est fort peu probable que le gouvernement "réquisitionne" les propriétés foncières. Ces types de propriétés sont à considérer comme des libertés fondamentales et les gens descendraient dans la rue.
Alors, pourquoi pas l'immobilier ?

Ca c'est la partie "facile à répondre" ...
Car, ce qui rend les choses moins évidentes et que je finance tous mes investissements immobiliers à crédit.
Du coup, question suivante : qu'est ce qui se passera en cas de crise? Est-ce un risque trop grand d'avoir ce type de bien à crédit? Si oui, qu'est ce que je risque réellement?
Si ma banque est "massivement sabordée" pourrait-elle saisir toutes les hypothèques adossées au crédit qu'elle a permis de financer ?
Merci de m'avoir lu et surtout merci de me donner votre avis / vos idées sur la question...
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Pascal DG - 29/09/2015 à 13:25 GMT
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