« Fin des 35 heures, de l’ISF… Ce que le Medef attend très vite de Macron », c’est le titre de cet article de La Tribune qui revient sur Pierre Gattaz qui se félicite de l’élection de Macron, ce qui revient à dire qu’il a juste beaucoup de mal à cacher sa joie face aux reculades annoncées du droit social dans notre pays et des avantages dits « acquis ».
Évidemment, Gattaz, serviteur zélé du totalitarisme marchand le plus cruel et violent dont il est le délégué de classe, soutient également le recours aux ordonnances et presse le nouveau président Macron d’agir vite pour supprimer les 35 heures, l’ISF, le compte pénibilité, etc. Le Medef se dit aussi d’accord pour que l’État intervienne provisoirement dans la gestion de l’assurance chômage. »
Bref, si l’on pouvait supprimer également tout le droit social, le salaire minimum et la durée légale du travail, les choses seraient enfin belles…
Je pense, et c’est un euphémisme, que nous nous dirigeons vers quelques frictions sociales, même si le concept de gouvernement « d’union nationale « est celui qui va prévaloir, et Macron endossera peu ou prou la casquette de celui qui fera le « sale boulot » en service commandé de l’Europe en France avec la bénédiction plus ou moins tacite ou active d’une classe politique elle-même totalement dépassée et qui se précipitera pour brûler Macron quand ce dernier ne leur plaira plus.
Préparez-vous individuellement à beaucoup plus de précarité.
S’il vous plaît, intégrez cela dans votre vie, dans votre organisation, votre patrimoine et votre gestion.
Je n’ai rien à gagner à vous le dire. Préparez-vous à ce que les aides, progressivement (ou rapidement), disparaissent.