« Si le
peuple américain autorise un jour des banques privées à
contrôler sa monnaie, d’abord par l’inflation et ensuite
par la déflation, les banques et les sociétés qui
grandiront autour d’elles (et également autour des banques),
vont détrousser le peuple au point que ses enfants se
réveilleront un jour sans même un toit au-dessus de leur
tête, sur ce continent que leurs ancêtres avaient conquis ».
Thomas Jefferson
Les
américains, qui vivent dans ce qui est appelé la plus riche
nation au monde, ont toujours l’impression de ne pas avoir assez
d’argent. Les femmes mariées travaillent dans une proportion
sans précédent, les maris espèrent pouvoir faire des
heures supplémentaires pour gagner plus ou bien prennent des emplois
à temps partiel le soir ou le week-end, les dettes des ménages
grimpent toujours plus haut et les psychologues disent qu’une des
causes les plus importantes des querelles familiales et des ruptures sont les
« disputes d’argent ». Notre système
actuel de « monnaie-dette » peut expliquer une bonne
part de ce phénomène. Trop peu d’américains
réalisent pourquoi les pères fondateurs [de la
République] ont porté à l’article I de la
constitution américaine : Le Congrès aura le pouvoir de
battre monnaie et de réguler la valeur de celle-ci.
Ils
ont fait ceci, comme nous allons le voir, dans le fervent espoir de
prévenir qu’un « amour de l’argent »
ne détruise la République qu’ils avaient fondée.
Nous allons montrer comment une subversion de l’article I nous a
livré les horreurs dont Jefferson nous avait avertis.
LA MONNAIE EST LA SEULE « CREATION » HUMAINE
Les
économistes utilisent le terme « créer »
quand ils parlent du processus par lequel on donne naissance à la
monnaie. En fait, création signifie produire quelque chose qui
n’existait pas auparavant. Les menuisiers font des planches en
utilisant des arbres, les charpentiers font des maisons en utilisant des
planches et les usines produisent des automobiles en utilisant du
métal, du verre et d’autres matériaux. Dans tout ce
qu’ils font, ils ne « créent » rien, ils
ont simplement transformé des matériaux préexistants en
quelque chose de plus pratique et donc de valeur plus
élevée. Il n’en va pas de même pour la monnaie.
Dans ce cas, et dans ce cas seulement, l’homme
« crée » effectivement quelque chose à
partir de rien. Un bout de papier de peu de valeur est imprimé afin
qu’il possède la valeur d’une planche de bois.
Imprimé avec des chiffres différents, il peut permettre
d’acheter une automobile ou bien même une maison. Sa valeur a
bien été créée, au sens propre du mot.
UNE CREATION MONETAIRE PROFITABLE
Comme nous l’avons vu
précédemment, produire de la monnaie est très bon
marché, et quiconque crée de la monnaie dans une nation peut
amasser un profit astronomique. Les maçons travaillent dur pour faire
un profit de 5% au-dessus des coûts de fabrication d’une maison.
Les producteurs de voitures vendent
leurs automobiles 1 à 2% au-dessus de leur prix de revient et
c’est considéré être une bonne affaire. Mais les
« producteurs de monnaie » n’ont pas de limites
à leurs profits, car il ne leur en coûte que quelques cents pour
produire un billet de 1 dollar ou de 10.000 dollars.
Ce profit constitue une partie de notre
article, mais considérons une autre caractéristique unique de
la chose en question –la monnaie-, l’amour qui lui est
porté, « racine de tous les maux ».
NECESSITE D’UNE OFFRE DE MONNAIE
ADEQUATE
Une offre de monnaie adéquate
est indispensable à une société civilisée. On
pourrait se passer de nombreuses autres choses mais sans monnaie,
l’industrie s‘arrêterait, les fermes ne seraient plus que les
unités auto-suffisantes, les surplus alimentaires
disparaîtraient, les travaux exigeant plus d’une personne ou
d’une famille ne seraient plus réalisés, le transport et
les grands mouvements de marchandises cesseraient, les gens affamés
pilleraient et tueraient pour rester en vie, et tous les gouvernements
excepté les familles et les tribus cesseraient de fonctionner.
Une exagération, vous
dîtes? Pas du tout. La monnaie est le sang de notre
société, le moyen de tous les échanges excepté le
simple troc. C’est la mesure et l’instrument grâce auquel
un produit est vendu et un autre acheté. Ôtez la monnaie, ou
même diminuez l’offre en dessous de ce qui est nécessaire
au fonctionnement actuel du commerce et les résultats sont
catastrophiques. Il suffit de regarder la Grande Dépression en
Amérique au début des années trente.
LA DEPRESSION DES BANQUIERS DES ANNEES 30
En 1930, l’Amérique ne
manquait pas de capacités industrielles, de terres fertiles,
d’ouvriers qualifiés et désireux de travailler ou bien de
fermes familiales industrieuses. Elle avait un système de transport
important et très efficace composé de voies ferrées, de
réseaux routiers, de canaux fluviaux et côtiers. Les
communications entre les régions et les localités
étaient les meilleures du monde, et utilisaient le
téléphone, le télex, la radio et un système
efficace de transport du courrier opéré par le gouvernement.
Aucune guerre n’avait ravagé les villes ou les campagnes, aucune
épidémie affaibli la population et aucune famine ne
s’était abattue sur le pays. Il ne manquait aux Etats-Unis
qu’une seule chose : une offre de monnaie adéquate pour
soutenir le commerce et les échanges. Au début des
années trente, les Banquiers, la seule source de monnaie nouvelle et
de crédit, refusaient délibérément des
crédits aux industries, aux commerces et aux fermes.
Cependant, les remboursements des
crédits existants étaient exigés et rapidement, la
monnaie disparut de la circulation. Des biens étaient disponibles
à l’achat, des travaux attendaient d’être réalisés
mais le manque d’argent amena la nation à s’arrêter.
Par cette simple manœuvre,
l’Amérique fut mise en “dépression” et les
banquiers cupides prirent possessions de centaines de milliers de fermes, de
maisons, et d’entreprises. On disait aux gens : « les temps
sont durs » et « la monnaie est rare ». Ne
comprenant pas le système, ils étaient cruellement
dépossédés de leurs revenus, de leur épargne et
de leur propriété.
DE L’ARGENT POUR LA
PAIX? NON ! DE L’ARGENT POUR LA GUERRE ? OUI !
La seconde guerre mondiale mit fin
à cette “dépression”. Les mêmes banquiers qui
au début des années trente n’octroyaient pas de
crédits pour les maisons paisibles, de la nourriture et des
vêtements, eurent soudainement des milliards à prêter pour
des casernes, des rations de soldats et des uniformes. Une nation qui, en
1934 ne pouvait pas produire de la nourriture pour la vendre, put tout
d’un coup produire des bombes à envoyer gratuitement sur
l’Allemagne et le Japon ! (Davantage de détails concernant
cette énigme plus loin).
Grâce à cette augmentation
soudaine de la masse monétaire, des gens furent employés, des
fermes vendirent leurs légumes, les usines passèrent à
deux équipes, les mines ré-ouvrirent et la « Grande
Dépression » fut terminée ! Quelques
politiciens furent blâmés et d’autres furent
félicités pour avoir réussi à y mettre un terme.
La vérité est que le manque d’argent (causé par
les banquiers) causa la dépression et une offre adéquate de
monnaie y mis fin. On ne dit jamais aux gens cette simple
vérité. Dans cet article, nous allons tenter de montrer que ces
mêmes banquiers, qui contrôlent notre monnaie et le
crédit, ont usé de leur pouvoir pour piller
l’Amérique et nous réduire en esclavage.
POUVOIR DE BATTRE ET REGLEMENTER LA
MONNAIE
Lorsque nous voyons les
résultats désastreux d’une pénurie artificielle de
monnaie, nous pouvons mieux comprendre pourquoi nos Pères Fondateurs
insistèrent sur le fait de ne placer le pouvoir de
« créer » de la monnaie et de la
contrôler qu’entre les mains du Congrès Fédéral.
Ils pensaient de plus que TOUS les citoyens profiteraient d’une monnaie
adéquate et stable et que donc, les gouvernements nationaux devaient
être, de par la loi, les UNIQUES contrôleurs de la valeur de la monnaie.
Comme le Congrès
Fédéral était le seul corps législatif soumis au
suffrage de tous les citoyens par les urnes, il était aussi, dans leur
esprit, le seul endroit possible dans lequel déposer autant de profits
et de pouvoir avec sécurité. Ils écrivirent la phrase
simple mais résumant tout : « Le Congrès aura
pouvoir de battre monnaie et d’en réguler sa
valeur ».
COMMENT LE PEUPLE PERD LE CONTROLE DE LA RESERVE FEDERALE
Au lieu d’avoir une
méthode constitutionnelle de création monétaire et de
mise en circulation de celle-ci, nous avons actuellement un système
totalement anticonstitutionnel. Cela nous a amené à un
résultat catastrophique, comme nous allons le voir.
Comme notre monnaie a été
manipulée de manière légale et illégale depuis
1913, nous allons considérer seulement les années qui suivent
1913 car, à partir de ce moment-là, TOUTE notre monnaie a
été créée et imprimée de cette
manière illégale qui finira probablement par détruire
les Etats-Unis, si rien ne change. Avant 1913, les Etats-Unis étaient
une nation prospère, puissante et en croissance, en paix avec ses
voisins et enviée dans le monde entier. Mais –en décembre
1913-, le Congrès, dont de nombreux membres étaient partis en
vacances pour les fêtes de Noël, a voté ce qui depuis
est connu sous le nom de « loi de la Réserve
fédérale » (Federal
Reserve Act). (Pour connaître tous les
détails de cette infâme histoire imposée à notre
Congrès, lire « La créature de Jekyll Island de G. Edward Griffin ou Conquête ou
Consentement par W.B. Vennard). Sans
s’appesantir sur les détails ennuyeux, cette loi a simplement
autorisé l’établissement d’une
Société [privée] de Réserve
Fédérale, munie d’un conseil de direction (le Federal Reserve Board)
chargé de la diriger et a été divisée en 12
« districts » de Réserve Fédérale.
Cette loi, simple mais terrible, a
complètement dépossédé le Congrès de son
droit de “créer” de la monnaie ou d’avoir quelque
contrôle que ce soit sur sa création car elle a délégué
à la Société de Réserve Fédérale le
droit de le faire. Ceci a été mené avec la fanfare et la
propagande nécessaires en expliquant que « cela
éloignerait la monnaie de la sphère politique »
(mais y sans ajouter « et donc du contrôle du
peuple ») et « pour éviter les hauts et les
bas » (Boom and Bust) qui nuisent aux
citoyens. On n’a pas dit au peuple, à ce moment-là, que
la Réserve Fédérale était une
société privée contrôlée par des banquiers
et donc opérée pour engendrer des gains financiers pour ces
derniers, et ce, aux dépens du peuple plutôt qu’à
son profit. Le mot « fédéral » a
été utilisé pour tromper le peuple.
PLUS DESASTREUX QUE PEARL HARBOUR
Depuis ce “jour
d’infamie”, plus désastreux pour nous que Pearl Harbour,
un petit groupe de gens “privilégiés” nous
prête « notre » monnaie et s’est
approprié tous les profits liés à l’impression de
la monnaie – et davantage encore. Depuis 1913, ils ont
créé des dizaines de milliards de dollars en argent et
crédit, qu’ils prêtent ensuite, en tant que leur
propriété personnelle à notre gouvernement et à
notre peuple moyennant intérêt. « Les riches
deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres » voilà
la politique secrète de notre Gouvernement National. Un exemple du
processus de « création » et sa conversion en
une « dette populaire » va nous aider dans notre
compréhension.
ILS L’IMPRIMENT-NOUS EMPRUNTONS
ET PAYONS UN INTERET
Commençons par le besoin
d’argent. Le gouvernement fédéral, ayant
dépensé plus qu’il n’a récolté de ses
citoyens en impôts, a besoin, pour les besoins de notre illustration
d’un milliard de dollars ($1 000 000 000). Comme il
n’a pas l’argent et que le Congrès a conféré
son pouvoir de « créer » de la monnaie à
quelqu’un d’autre, le gouvernement doit se retourner vers les
« créateurs » de monnaie pour un milliard. Mais
la Réserve Fédérale est une société
privée, et ne donne pas son argent ! Les banquiers sont
prêts à délivrer un milliard en monnaie ou en
crédit au gouvernement fédéral mais en échange de
l’accord du gouvernement fédéral de rembourser, avec un
intérêt. Donc le Congrès autorise le département
du Trésor à imprimer $1 000 000 000
d’obligations (Bons du Trésor) qui sont ensuite remises aux
banquiers de la Banque Fédérale.
La Réserve
Fédérale paie ensuite les coûts d’impression
d’ 1 000 000 000 dollars (soit environ $1000) et
procède à l’échange. Le gouvernement utilise la
monnaie pour payer ces obligations. Quel est le résultat de cette
fantastique transaction? Eh bien, un milliard d’obligations sont bien
payées mais le gouvernement a maintenant endetté le peuple
d’un milliard sur lequel il faut payer un intérêt !
Des dizaines de milliers de transactions ont eu lieu depuis 1913, de
manière que dans les années 1980, le gouvernement des USA est
endetté envers les banquiers de plus d’ 1 000 000 000 000
(mille milliards) de dollars pour lesquels le peuple paie un milliard
d’intérêts chaque année, sans aucun espoir de
rembourser le capital. Il faut supposer que nos enfants et les
générations futures vont payer encore et toujours.
ET IL Y A PLUS GRAVE
Vous dîtes: “c’est
terrible!” Oui, mais, nous n’avons dévoilé
qu’une petite portion de cette sordide histoire. Dans ce système
sans vertu, ces bons du Trésor sont maintenant devenus des
« actifs » des banques dans le système des
réserves qu’ils utilisent comme
« réserves » pour
« créer » plus de
« crédit » à distribuer. Le
système de réserves fractionnaires en usage actuellement, leur
permet d’utiliser jusqu’à un milliard de dollars pour
« créer » 15 milliards de nouveaux
« crédits » à prêter aux Etats, aux
municipalités, individus et sociétés privées. A
ces 15 milliards, on ajoute le milliard original et ils peuvent maintenant
bénéficier de 16 milliards de dollars de
« crédits crées » à
l’extérieur qui leur rapportent un intérêt pour le
simple coût d’impression de $1 000 dollars qui ont servi
à imprimer les un milliard ($ 1 000 000 000) de dollars
originaux ! Et comme le Congrès n’a pas imprimé de
monnaie constitutionnelle depuis 1863 (plus de 100 ans), il est obligé
d’emprunter le « crédit
créé » au monopole des banquiers et de leur payer un
intérêt usurier pour permettre au peuple d’avoir
l’argent nécessaire à poursuivre les échanges et
le commerce.
ET IL Y A ENCORE MIEUX
En plus de cette énorme richesse
qui leur est apportée par une usure presqu’illimitée, les
banquiers au sommet qui contrôlent la monnaie sont en mesure d’approuver
ou de refuser des crédits importants à de grandes
sociétés qui marchent bien dans la limite où le refus
d’un crédit va imputer une réduction au prix des actions
de cette société sur le marché. Après en avoir
déprécié le prix, les agents de changes des banquiers
achètent de larges paquets d’actions, et puis parfois le
crédit de plusieurs millions est ensuite approuvé, le cours de
l’action remonte et elle est alors revendue avec un profit. De cette
manière, des milliards de dollars sont créés pour acheter
encore plus d’actions. Cette pratique est si raffinée
aujourd’hui qu’il suffit à la Banque
Fédérale d’annoncer une hausse ou une baisse du taux
d’intérêt directeur (de son taux d’escompte) dans
les journaux pour faire monter ou descendre le marché des actions
comme bon lui semble. Usant de cette méthode depuis 1913, les
banquiers et leurs agents ont acheté en secret ou au grand jour le
contrôle de presque chaque grande société aux USA.
Faisant pression sur elles, ils les forcent à emprunter des sommes
colossales de leurs banques, de sorte que les profits de ces
sociétés sont réutilisés comme paiements
d’intérêts à ces banques. Ceci laisse seulement de
maigres profits véritables qui peuvent ensuite être
distribués comme dividendes et expliquent pourquoi les prix des
actions sont souvent bas, alors que les banques raflent des milliards de
dollars d’intérêts sous la forme de crédits aux
entreprises. De fait, les banquiers récoltent presque tous les profits
alors que les actionnaires se contentent de tenir le panier.
Les millions de familles qui
travaillent aux Etats-Unis sont maintenant endettées auprès des
quelques milliers de familles de banquiers pour un montant équivalent
à deux fois les actifs totaux de tous les Etats-Unis. Et ces familles
de banquiers obtiennent cette dette contre le prix du papier, de
l’encre et de la comptabilité.
LE MONTANT DE
L’INTERET N’EST JAMAIS CREE
La seule
manière dont de la nouvelle monnaie (pas de la vraie monnaie, mais du
« crédit » représentant une dette) entre
en circulation aux Etats-Unis, c’est quand on emprunte de
l’argent aux banquiers. Lorsque l’Etat et le peuple empruntent de
larges sommes, nous avons l’impression de prospérer. Cependant,
les banquiers ne font que « créer » le montant
du principal de chaque crédit, jamais la somme supplémentaire
nécessaire à financer l’intérêt dû. La
nouvelle monnaie n’équivaut jamais à la nouvelle dette.
Les montants dus pour payer l’intérêt ne sont pas
créés et donc n’existent pas !
Dans ce type de système,
où la nouvelle dette excède toujours la nouvelle monnaie,
qu’importe que le crédit soit grand ou petit, la dette totale
dépasse de plus en plus le montant existant pour rembourser la dette.
Le peuple ne peut jamais, jamais régler sa dette !
Voici un exemple pour démontrer
la nature vicieuse de ce système de dette-usure et le manque de
monnaie auto-intégré.
Si on empruntait $60 000, alors il
faudrait rembourser $ 255 931.25. Lorsqu’un citoyen va voir son
banquier pour emprunter $60 000 afin d’acheter une maison ou une
ferme, le conseiller bancaire impose au client de rembourser le crédit
(principal) et les intérêts. A 14% par an sur une durée
de 30 ans, l’emprunteur doit donner son accord pour un paiement mensuel
de $710.92 par mois pour un total de $ 255 931.25. Le conseiller exige
ensuite du citoyen qu’il nantisse le crédit, donc de
transférer au banquier le droit de propriété, s’il
ne paie pas les traites exigées. Le conseiller bancaire donne
finalement à l’emprunteur un chèque de $60 000 ou
bien crédite le compte courant de ce dernier de $60 000.
L’emprunteur signe ensuite des
chèques au constructeur, à ses sous-traitants etc. qui
eux-mêmes signent des chèques. Les $ 60 000 de ce nouveau
« chéquier » sont donc bien ajoutés
«à la monnaie en circulation ».
Pourtant, et c’est le biais fatal
de ce système d’usure, la seule monnaie nouvelle
créée et mise en circulation, c’est le montant du
prêt, soit $60 000. L’argent destiné à payer
l’intérêt, N’est PAS créé et par
conséquent N’est PAS ajouté à « la
monnaie en circulation ».
En dépit de cela, cet emprunteur
(et ceux qui lui succèdent comme propriétaires) doit gagner et
RETIRER DE LA CIRCULATION $ 255 931, soit près de $
200 000 DE PLUS que ce qu’il a mis EN CIRCULATION, en empruntant
les $ 60 000 originaux. (Et remarquons en passant, que cet
intérêt empêche les familles d’avoir une plus belle
maison. Ce n’est pas qu’elles ne peuvent pas se les offrir mais
l’usure des banquiers les forcent à en payer 4 pour en obtenir
une !)
Chaque nouvel emprunt remet le même mécanisme en marche. Chaque
emprunteur ajoute une petite somme supplémentaire à
l’offre de monnaie lorsqu’il emprunte quelque chose mais les
remboursements du prêt (en raison de l’intérêt dû)
réduisent ensuite d’une somme beaucoup plus GRANDE l’offre
totale de monnaie.
Il n’existe aucun moyen pour que
les débiteurs puissent rembourser les prêteurs. Alors
qu’ils paient le principal et les intérêts, la monnaie en
circulation disparait peu à peu. La seule chose qu’ils puissent
faire est de se débattre tant bien que mal les uns contre les autres
et emprunter un peu plus à chaque génération. Les
prêteurs (les banquiers) qui ne produisent rien de valeur, mettent la
main, lentement puis plus rapidement ensuite, sur le terrain, les constructions
et les gains futurs de toute la population qui travaille.
LES PETITS EMPRUNTS
REALISENT LA MEME CHOSE
Si vous n’avez pas
complètement saisi l’impact de ce qui précède,
considérons alors un petit crédit automobile à 18% sur 3
ans. Etape 1 : le citoyen emprunte $ 5 000 et les met en
circulation (il va chez le concessionnaire, l’usine, la mine etc.
…) et signe un contrat de remboursement au banquier de $ 6 500.
Etape 2 : le citoyen rembourse $ 180 par mois au banquier provenant de
ses revenus. En trois ans, il aura ainsi OTE $1 500 de la circulation DE
PLUS que ce qu’il n’en aura mis en circulation.
Chaque prêt du banquier de
monnaie “créée” (crédit) cause le même
effet. Et comme cela s’est répété des millions de
fois depuis 1913 (et que cela continue encore), vous pouvez comprendre
pourquoi l’Amérique est passée de l’état de
nation prospère et sans dettes à l’état de nation
surendettée dans laquelle pratiquement chaque foyer, chaque
exploitation agricole et chaque société paie un lourd tribut
à un banquier quelconque. Ce tribut usurier aux banquiers sur des
dettes au niveau des personnes, des collectivités locales, des Etats
et de l’Etat Fédéral représente un fardeau total
de plus de 25% des revenus de toute la population active. Bientôt, il
représentera 50% et il continue de croître.
C’EST LA RAISON POUR LAQUELLE LES BANQUIERS PROSPERENT QUE LA
CONJONCTURE SOIT BONNE OU MAUVAISE
Sur les millions de transactions
réalisées chaque année, comme celles décrites
plus haut, bien peu d’argent change effectivement de mains, et cela
n’est pas nécessaire non plus. 95% des transactions
« au comptant » aux USA sont faites par chèque
et donc le banquier est parfaitement à l’abri en
« créant » de soi-disant
« prêts » en rédigeant un chèque ou
bien en faisant un virement de dépôt, et non contre de la
véritable monnaie, mais simplement CONTRE VOTRE PROMESSE DE
REMBOURSER ! Le coût qui lui incombe, c’est celui du papier,
de l’encre et quelques dollars pour les salaires et bureaux afférant
à chaque transaction. C’est du délit de cavalerie
à une énorme échelle. Les profits augmentent rapidement
année après année comme noté plus bas.
Voici quelques chiffres tirés
des journaux de l’Arizona de janvier 1979.
Valley Bank déclare une hausse de 49%
de ses bénéfices.
Des gains de 49 pour cent de
bénéfices nets et de 51 pour cent du résultat
opérationnel ont été enregistrés
l’année dernière pour Valley
National Bank.
Ces gains ont rapporté un
bénéfice net de $ 33 969 000 dans
l’année qui se terminait le 31 décembre et un
résultat opérationnel de $ 34 459 000.
L’année précédente, ces chiffres étaient
respectivement de $ 22 836 000 et de $ 22 807 000.
Les profits bancaires augmentent de
21%. L’Arizona Bank a annoncé lundi avoir atteint une
augmentation nette de ses revenus de 21.2% en 1978 par rapport à 1977.
Sur la base du revenu opérationnel, et corrigé du produit
exceptionnel de la vente en 1977 de l’immeuble « Arizona
Bank Building » pour $ 1 336 369, l’augmentation
était de 43.9%.
Tostenrud annonce que ses crédits et ses
dépôts ont augmenté l’année dernière.
Les dépôts ont atteint $ 1 353 milliards soit +18% et les
crédits ont augmenté de 21.9% atteignant $ 951 milliards.
LE COUT POUR VOUS?
PEUT-ETRE TOUT !
En 1910, la dette
fédérale n’était que de $12.40 par citoyen. Les dettes
des collectivités locales et des Etats n’existaient pratiquement
pas.
En 1920, soit seulement six ans
après les farfadets de la Réserve Fédérale, la
dette fédérale avait atteint $24 milliards de dollars ou $ 226
par personne.
En 1960, la dette fédérale
atteignait $ 284 milliards soit $ 1575 dollars par citoyen et les dettes
locales et fédérales poussaient comme des champignons.
En 1981, la dette
fédérale dépassait 1 000 milliards de dollars et
croissait exponentiellement tandis que les banques triplaient leurs taux
d’intérêts. Les dettes locales et des états sont
maintenant plus IMPORTANTES que la dette
fédérale et ajoutées aux dettes des entreprises et des
personnes privées, elles totalisent plus de 6 000 milliards de
dollars, soit trois fois la valeur de tout le terrain et constructions sur le
sol américain.
Si nous transférions aux
prêteurs toute l’Amérique, nous leur devrions encore deux
fois toute l’Amérique (et leur intérêt en sus,
naturellement !)
Cependant, ils sont trop rusés
pour prendre possession de tout. Ils insistent pour vous laisser quelque
« illusion de propriété » afin que vous
et vos enfants continuiez de travailler et de payer les banquiers davantage
à partir de vos revenus sur une dette continuellement en augmentation.
« L’establishment » a capturé notre peuple
avec son maudit système d’usure et de dettes aussi certainement
que s’il avait envahi notre pays avec une armée
régulière.
POUR LES JOUEURS PARMI MES LECTEURS
Pour saisir cette vérité,
que le retrait périodique de monnaie pour payer les
intérêts, va inexorablement transférer toutes les
richesses au receveur de l’intérêt, imaginez-vous dans un
jeu de poker ou de dés où tous les joueurs doivent acheter des
jetons (le moyen d’échange) à un
« banquier » qui ne risque pas ses jetons dans le jeu
mais regarde le jeu se dérouler et, heure après heure, ramasse
10 à 15% de l’ensemble des jetons sur la table. Tandis que la
partie continue, le nombre de jetons en possession de chaque joueur va monter
ou descendre en fonction de sa « chance » respective.
Cependant, le nombre TOTAL de jetons
disponibles de la partie (échanges passés et commerce) va
diminuer rapidement.
Le nombre de jetons diminue alors que
le jeu se poursuit et certains joueurs vont se retrouver à sec.
S’ils souhaitent continuer à jouer, ils devront acheter ou
emprunter des jetons au « banquier ». Le
« banquier » les vend (ou bien les prête)
UNIQUEMENT si le joueur signe une « hypothèque »
et accepte de donner au banquier une propriété réelle
(automobile, maison, ferme, société etc.) au cas où il
ne parviendrait pas à rembourser par paiements périodiques la
totalité des jetons et quelques autres EN PLUS (les
intérêts). Les paiements doivent être ponctuels, que le
joueur gagne (fasse un gain) ou non.
backs!
Il est aisé de voir que, quelle que soit l’habileté des
joueurs, c’est finalement le banquier qui finira par se retrouver avec
tous les jetons en sa possession (sauf pour les meilleurs joueurs) et les
autres perdront au profit du « banquier » leurs maisons,
leurs fermes, leurs entreprises et peut-être même leurs voitures,
leurs montres, leurs bagues et leurs chemises !
Notre situation réelle est BIEN PIRE que n’importe quelle partie
de poker. Dans une partie de poker personne n’est forcé de
s’endetter et tout le monde peut quitter la partie quand il le souhaite
et quel que soit le nombre de jetons qu’il possède encore. Mais
dans la vie réelle, même si nous empruntons nous-mêmes peu
des banquiers, les gouvernements locaux, des états et de
l’état fédéral empruntent des milliards en notre
nom, les gaspillent et confisquent nos revenus pour rembourser les banquiers
avec un intérêt. Nous sommes forcés de jouer cette
partie, et personne ne peut en sortir, si ce n’est par la mort. Nous
payons aussi longtemps que nous vivons et nos enfants paient après
notre mort. Si nous ne pouvons pas payer, le gouvernement envoie la police
pour prendre notre propriété et la donner aux banquiers. Les
banquiers ne risquent rien dans ce jeu, ils ne ramassent que leur pourcentage
et « n’ont qu’à y gagner ». A Las
Vegas et dans d’autres Mecque du jeu, tous les jeux sont
« manipulés » pour rapporter au
propriétaire un pourcentage et ils ratissent des millions. Le jeu de
la Réserve Fédérale est trafiqué aussi et il
rapporte des milliards.
Ces dernières années, les
banquiers ont rajouté de vraies « cartes »
à leur jeu. Les cartes de « crédit » sont
promues comme étant très pratiques et une véritable
bénédiction pour le commerce. En fait, ce sont des moyens
très ingénieux grâce auxquels les banquiers
récoltent 2 à 5 % sur chaque vente, payés par les
vendeurs et 18% d’intérêt payés par les acheteurs.
Un vrai petit butin de cartes bien tassées !
OUI, ET C’EST AUSSI
POLITIQUE !
Les électeurs démocrates,
républicains et indépendants qui se sont demandés
pourquoi les politiciens dépensent toujours davantage d’argent
qu’ils n’en ramassent, devraient maintenant y voir plus clair.
Lorsqu’ils commencent à étudier notre système de
monnaie-dette, ils réalisent rapidement que ces politiciens ne sont
plus les agents du peuple mais les agents des banquiers, pour qui ils
planifient des moyens d’endetter encore plus le peuple. Il suffit
d’un tout petit peu d’imagination pour voir que, si le
Congrès avait « créé»,
dépensé ou mis en circulation le montant nécessaire
à l’augmentation de l’offre de monnaie, IL N’Y
AURAIT PAS DE DETTE NATIONALE et plus de $ 4 000 milliards de dollars
d’autres dettes seraient pratiquement inexistantes. Comme il n’y
aurait pas de coût ORIGINAL à la monnaie sauf l’impression
et pas de coûts CONTINUS comme les intérêts, les taxes
fédérales seraient presque nulles. L’argent une fois en
circulation y resterait et continuerait de servir de moyen
d’échange, génération après
génération, et siècle après siècle, comme
les pièces le font actuellement SANS aucun paiement aux banquiers que
ce soit !
DES DETTES QUI
AUGMENTENT ET DES GUERRES
Mais au lieu de la paix et d’une
prospérité sans endettement, nous avons une montagne
grandissante de dettes et des guerres périodiques. Nous, le peuple,
sommes maintenant gouvernés par un système diabolique aux mains
des banquiers qui ont usurpé le manteau du gouvernement et se sont
déguisés en notre gouvernement légitime et se sont mis à
appauvrir et contrôler le peuple. C’est maintenant un appareil
étatique centralisé, tout–puissant dont le propos
principal est de promouvoir la guerre, les dépenses des citoyens et de
faire de la propagande pour se maintenir éternellement au pouvoir. Nos
deux partis politiques principaux sont devenus ses domestiques et les divers
ministères du gouvernement, ses agences dépensières et
le Trésor, son agence de collecte.
Inconnu des gens, il opère en
coopération étroite avec d’autres appareils
étatiques similaires d’autres nations, qui eux aussi, sont déguisés
en «gouvernements». Certains, nous dit-on sont amis.
D’autres nous dit-on encore, sont ennemis. «Les ennemis»
sont construits par manipulations internationales et utilisés pour
effrayer le peuple Américain afin qu’il autorise des milliards
de dettes supplémentaires pour «une préparation
militaire», «l’aide étrangère contre le
communisme», «les droits des minorités» etc. Les
citoyens, totalement et sciemment jetés dans la confusion par la
propagande, de type lavage de cerveau, regardent sans comprendre pendant que
nos politiciens et banquiers distribuent notre nourriture, nos biens et notre
argent à des gouvernements étrangers contrôlés par
des banquiers en guise de «meilleures relations» et
«d’apaisement des tensions». Nos gouvernements
contrôlés par les banquiers prennent nos plus braves et nos
meilleurs jeunes gens et les envoient dans des guerres
étrangères avec de l’équipement obsolète et
un entrainement inadapté, dans lesquelles des dizaines de milliers
sont assassinés et des centaines de milliers reviennent infirmes. Des
milliers encore sont moralement corrompus, drogués, infectés de
maladies vénériennes ou d’autres maladies encore
qu’ils ramènent aux USA. Quand la
« guerre » est terminée, nous n’avons rien
gagné du tout mais nous devons des milliards supplémentaires
aux banquiers, ce qui était la raison première de la
« guerre » !
MAIS ATTENDEZ…..IL Y A ENCORE MIEUX
Les profits de ces dettes massives ont
été utilisés pour ériger une véritable
économie, presque complètement cachée et un colosse
politique sur notre nation. Ils continuent de nous asséner
qu’ils essaient de nous faire « du bien » alors
qu’en vérité, ils travaillent pour nous nuire et blesser
notre peuple. Ces despotes de pacotille savent bien qu’il est plus
aisé de contrôler et de voler une population malade, faiblement
éduquée et sans repères plutôt qu’un peuple
sain et intelligent, alors, ils évitent soigneusement de trouver des
remèdes aux maladies, dégradent volontairement notre
système d’éducation et remuent les agitations sociales et
raciales. Pour les mêmes raisons, ils honorent l’usage de la
drogue, de l’alcool, la promiscuité sexuelle,
l’avortement, la pornographie et le crime. Tout ce qui amoindri
l’esprit et le corps du peuple est secrètement encouragé
et ça rend le peuple moins apte à s’opposer à eux
ou bien même à comprendre ce qui lui arrive.
La famille, la morale,
l’amour de la Patrie et la religion Chrétienne, tout ce qui est
honorable est balayé tandis pendant qu’ils bâtissent leur
nouveau citoyen servile. Nos nouveaux « chefs » sont en
train d’essayer de changer notre ordre racial, social, religieux et
politique mais ils ne changeront rien à notre système
économique de monnaie-dette par lequel ils volent et gouvernent. Notre
peuple est devenu locataire et esclave de la dette due aux banquiers et de
leurs agents dans ce pays que nos ancêtres avaient conquis. C’est
une conquête par la plus grande escroquerie et la plus grande tromperie
de l’histoire de l’humanité. Et nous vous le rappelons
encore une fois : la clef de leur richesse et de leur pouvoir sur nous,
c’est leur pouvoir de créer de la
« monnaie » à partir de rien et de nous la
prêter moyennant intérêt. S’ils n’avaient pas
été autorisés à le faire, ils n’auraient
jamais acquis le contrôle de notre nation. « Le riche
gouverne le pauvre et l’emprunter est le serviteur du
prêteur » (Proverbes 22 :7).
Considérons maintenant la
méthode correcte de fournir un moyen d’échange (la
monnaie) dont notre peuple a besoin.
DE L’ARGENT SANS INTERET
L’histoire nous parle de monnaie
émise par les gouvernements qui était sans dette et sans
intérêt. Les colonies américaines le firent dans les
années 1700 et leur richesse rivalisa bientôt avec celle de
l’Angleterre et conduisit à des restrictions du Parlement qui
conduisirent à la guerre révolutionnaire. Abraham Lincoln le
fit en 1863 pour aider à financer la guerre de Sécession. Il
fut assassiné plus tard par un agent de la Banque Rothschild. Ensuite,
il n’y eut plus de monnaie émise aux Etats-Unis sans
intérêt et sans dette. Il y a plusieurs nations Arabes qui
aujourd’hui prêtent à leurs citoyens sans
intérêt. L’empire sarrasin interdit
l’intérêt dans son empire pendant plus de 1 000 ans
et sa richesse était plus grande que celle de l’Europe saxonne.
La Chine des Mandarins émit sa propre monnaie, sans
intérêt et sans dette, et les historiens et collectionneurs
d’art d’aujourd’hui estiment que ce fut la plus grande
période de richesse, de culture et de paix pour la Chine.
L’Allemagne émit une
monnaie sans intérêt et sans dette à partir de 1935 et
cela compte dans son redressement époustouflant en 5 ans:
de la dépression à son rang de puissance mondiale.
L’Allemagne a financé son gouvernement et des opérations
de guerre de 1935 à 1945 sans dette et il fallut le monde capitaliste
et communiste réunis pour détruire le pouvoir allemand en
Europe et ramener l’Europe sous l’aile des banquiers. Une telle
histoire de la monnaie n’est même pas mentionnée dans les
livres de classe d’histoire des écoles publiques
(gouvernementales) actuelles.
Emettre de la monnaie que l’on ne
doit pas rendre sous forme d’intérêts laisse de la monnaie
disponible pour les échanges de biens et de services et seul, le
coût de remplacement du papier qui s’use, reste à charge
continuellement. L’argent est le ticket papier par lequel ces
transferts sont réalisés et il devrait toujours y en avoir en
quantités suffisantes pour transférer toute la production
possible de la nation aux consommateurs finaux.
Il est ridicule pour une nation de dire
à ces citoyens: « Vous devez consommer moins parce que
n’avons plus d’argent », comme il le serait pour une
compagnie aérienne d’annoncer : « nos avions
volent mais vous ne pouvez pas monter à bord, car nous n’avons
plus de tickets ».
PLUS DE PILLAGE BANCAIRE
Dans le présent système
de dette-usure, le fardeau supplémentaire de l’usure force les
travailleurs et les entrepreneurs à exiger plus de monnaie pour le
travail et les biens afin qu’ils puissent payer leur dettes et taxes en
continuelle augmentation. Cette augmentation des prix et des salaires est
appelée « inflation ». Les banquiers, les
politiciens et les « économistes » blâment
toutes les causes excepté les véritables qui sont l’usure
levée sur la monnaie et les dettes dues aux banquiers. Cette « inflation »
bénéficie aux prêteurs d’argent puisqu’elle
gomme l’épargne d’une génération qui ne peut
pas financer la suivante ou l’aider et qui doit donc emprunter aux
bailleurs de fonds et payer une large part de son travail d’une vie
entière à l’usurier.
Avec une offre adéquate sans
intérêt de monnaie, on nécessiterait juste un peu
d’emprunt et les prix seraient établis par les gens et les biens
et non par les dettes et l’usure.
LE CONTROLE PAR LES CITOYENS
Si le Congrès
Fédéral échouait à agir ou s’il agissait
d’une manière erronée concernant l’offre de
monnaie, les citoyens pourraient utiliser les urnes ou une pétition
pour demander de remplacer ceux qui empêchent une action correcte par
d’autres, dont on pense qu’ils poursuivraient une meilleure
politique monétaire. Etant donné que la création
monétaire et son émission en quantité suffisante
seraient l’une des rares fonctions du Congrès, les
électeurs pourraient élire un candidat en fonction de son
opinion sur la monnaie, au lieu des centaines d’autres sujets
délibérément confus et de moindre importance qui nous
sont présentés aujourd’hui. Et comme la monnaie est, et
demeurerait, un organe national, les différences locales et les
factions locales ne seraient pas en mesure d’influencer le peuple
au-delà de l’intérêt de la nation (ou de celui de
ses citoyens). Tous les autres problèmes, excepté la
défense nationale, seraient pris en charge par l’Etat, le
Comté ou la municipalité par lesquels ils sont susceptibles
d’être le mieux traités et le plus facilement
corrigés.
Une défense nationale adéquate serait fournie par le même
Congrès, contrôlé par les citoyens, et il n’y
aurait pas de banquiers derrière la scène, distribuant des pots
de vins aux politiciens pour donner $200 milliards de dollars d’équipement
militaire américain aux autres nations, ce qui nous désarme,
tandis que les étrangers se préparent à nous attaquer et
à nous envahir.
UNE AMERIQUE SANS DETTE
Grâce à une monnaie sans intérêt et sans dette, il
n’existerait pas d’imposition lourde et confiscatoire, nos
maisons ne seraient pas hypothéquées, seraient sans
$10 000 de paiements annuels aux banquiers, pas plus que ceux-ci
n’obtiendraient $1 000 ou $2 500 par an sur chaque voiture
qui circule sur nos routes. Nous n’aurions pas besoin de
« facilités de paiements » pas plus que de
« crédit révolving », de crédits
pour payer nos dépenses médicales ou hospitalières, nos
impôts, nos funérailles, de crédits pour refinancer nos
emprunts ni aucun des mille et un autre emprunts usuriers qui aspirent
maintenant le sang des familles américaines. Il n’y aurait pas
de chômage, de divorces causés par les dettes, de personnes
âgées très pauvres, et de crime en augmentation et,
même les classes « pauvres » ne seraient
privées, ni de travail ni d’argent, pour pouvoir acheter les
choses nécessaires à la vie de tous les jours.
Les criminels ne pourraient pas devenir politiciens, pas plus que les
politiciens ne pourraient être à la solde des prêteurs de
fonds. Nos officiels, à tous les niveaux du gouvernement,
travailleraient pour le peuple au lieu de réfléchir à
des moyens de dépenser plus d’argent et de nous enfoncer dans la
dette des banquiers. Nous sortirions des alliances politiques
embrouillées qui nous ont conduits dans quatre guerres majeures et un
nombre important de conflits mineurs depuis que le « Federal Reserve Act »
a été voté, des alliances qui sont maintenant
utilisées pour éviter que l’Amérique ne
prépare sa propre défense face au danger montant des puissances
étrangères.
Une Amérique sans dette, cela signifierait que les mères de
famille n’auraient plus à travailler. Avec une mère
à la maison, la délinquance juvénile diminuerait
rapidement. L’élimination de l’usure et de la dette
seraient l’équivalent d‘une augmentation de 50% du pouvoir
d’achat de chaque ouvrier. Avec l’annulation de la dette, les
gens reviendraient à la propriété et à la
richesse que nos banquiers parasites et leurs agents quasi-légaux nous
ont dérobés par l’escroquerie et l’usure, et avec
la fin de leur vol de $300 milliards (ou davantage) par an au peuple,
l’Amérique redeviendrait prospère et puissante
au-delà de toute attente de ses citoyens. Et nous serions en
paix ! (Pour un exemple biblique de remise de la dette aux prêteurs
et la restauration de la propriété et de la monnaie au peuple,
lisez Noémie 5 :1-13).
POURQUOI VOUS
N’AVEZ RIEN SU
Nous sommes bien conscients du fait que
ce petit article sur la monnaie est nécessairement incomplet et peut
être surchargé de simplifications trop importantes. Certains
pourront dire que si c’était aussi simple que ça, le
peuple l’aurait su depuis longtemps et ça ne pourrait pas se
produire. Mais cette conspiration des prêteurs d’argent est aussi
ancienne que Babylone et même en Amérique, elle remonte plus
loin que 1913. En fait, 1913 peut être considéré comme
l’année pendant laquelle tous leurs plans antérieurs ont
porté leurs fruits et qui a ouvert la voie à la conquête
économique complète de notre peuple. La CONSPIRATION est
suffisamment ancienne en Amérique pour que ses agents aient
été en place depuis des années dans des positions telles
qu’éditeurs de journaux, éditeurs, rédacteurs de
colonnes éditoriales, pasteurs, présidents
d’université, professeurs et écrivains de livres de
classe, leaders syndicaux, producteurs de films, commentateurs de radio et
TV, politiciens depuis les membres du comité directeurs des
écoles jusqu’au président des USA et bien
d’autres.
NOUVELLES ET INFORMATIONS CONTROLEES
Ces agents contrôlent les informations qui sont disponibles pour le
peuple. Ils manipulent l’opinion publique, élisent qui ils
veulent localement et nationalement et n’exposent jamais le
système monétaire véreux. Ils promeuvent les obligations
pour financer les écoles, les municipalités, des programmes
d’agriculture dépensiers et nuisibles aux fermes, des programmes
de « renouveau urbain », l’aide
étrangère et bien d’autres schémas qui vont
asservir encore plus de gens aux banquiers. Les citoyens pensifs se demandent
pourquoi des milliards sont dépensés pour tel programme
et des milliards pour tel autre qui le répète ou
éventuellement l’annule, comme payer les fermiers pour mettre
leurs terres en jachère et en même temps construire des barrages
et de canaux pour avoir plus de terres arables irriguées. Fou ou bien
stupide? Ni l’un, ni l’autre. Le but est davantage de dettes. Des
milliers de façons sponsorisées par le gouvernement sont mises
en œuvre pour permettre un gaspillage continuel d’argent. La
plupart de ces actions n’a aucun sens et elles ne sont jamais
exposées pour ce qu’elles sont véritablement : des
manières de collecter « des milliards pour les banquiers et
des dettes pour le peuple ».
Des soi-disant “experts en
économie” rédigent des colonnes régulières
dans des centaines de journaux conçues expressément pour
éviter que le peuple n’apprenne la simple vérité
sur notre système monétaire. Les commentateurs radio et TV, les
prêcheurs, les éducateurs et les politiciens traitent les gens
de gaspilleurs, de fainéants, ou de « cherche-dépense »
et accusent les ouvriers et consommateurs de l’augmentation de la dette
et de celle des prix alors qu’ils savent pertinemment que la cause est
dans la nature du système lui-même, la monnaie-dette. Notre
peuple est littéralement noyé dans les charges et
contre-charges destinées à le confondre et à
l’empêcher de comprendre que notre système
monétaire anticonstitutionnel et diabolique, est en train, si
efficacement et silencieusement, de piller nos fermiers, nos ouvriers et nos
entrepreneurs et le fruit de leur travail et leur liberté.
Quand quelques personnes patriotes ou
quelques organisations qui connaissent la vérité commencent
à l’exposer ou à stopper quelques uns
de leurs plans fous, ils sont ridiculisés, démis comme
des « extrémistes de droite » ou des
« super-patriotes » ou des « ultra
nationaux » ou des « bigots » ou des
« racistes » ou même des
« fascistes » et des
« antisémites ». Les articles tels que celui que
vous êtes en train de lire sont exclus des écoles, des
bibliothèques et de librairies.
Ceux qui sont particulièrement
virulents dans leur exposition de la trahison de notre peuple, sont
harassés par les agences gouvernementales telles que l’EPA,
OSHA, IRS (les impôts) ou d’autres encore ; afin de les entrainer
vers des difficultés financières ou la faillite. En usant les
méthodes citées, ils ont réussi à empêcher
la plupart des Américains d’apprendre les choses que vous avez
lues dans ce pamphlet. Cependant, en dépit de leur contrôle sur
l’information, ils réalisent que de nombreux citoyens sont en
train d’apprendre la vérité. Ainsi, pour prévenir
la violence ou la résistance armée à leur pillage de
l’Amérique, ils projettent d’imposer un permis pour la
détention d’armes à feu et en dernier lieu de
désarmer tous les citoyens. Ils doivent éliminer la plupart des
armes à feu, hormis celle de la police gouvernementale et de
l’armée.
DITES-LE AU PEUPLE
Ces conspirateurs cachés dans la
politique, la religion, l’éducation, les loisirs et les
médias travaillent pour des Etats-Unis, devenus la
propriété d’un banquier dans un monde détenu par
un banquier sous des gouvernements mondiaux détenus par des
banquiers !
L’amour de la Patrie et le souci
de vos petits-enfants devraient faire que ceci vous intéresse au plus
haut point, c’est le problème américain le plus grand,
car notre génération n’a pas souffert du
« joug » comme les suivantes auront à le subir.
L’usure et les impôts vont consommer une part de plus en plus
large des revenus du peuple et les placer dans les poches des banquiers et de
leurs agents politiques. Une « régulation »
croissante du gouvernement va interdire aux citoyens de protester et de
s’opposer à leur contrôle. Il est possible que vos
petits-enfants ne possèdent ni voiture ni maison mais habitent dans
les appartements qui appartiennent au gouvernement et aillent au travail dans
des bus « du gouvernement » (payant pour les deux une
usure au banquier) et NE SOIENT AUTORISES A CONSERVER DE LEURS REVENUS QUE
JUSTE ASSEZ POUR ACHETER UN MINIMUM DE NOURRITURE ET DE VETEMENTS tandis que
leurs gouvernants se vautrent dans le luxe. En Asie et en Europe
Orientale, c’est appelé du « Communisme »,
en Amérique « la Démocratie » et le
« Capitalisme ».
L’Amérique ne se
débarrassera pas de sa dictature contrôlée par les
banquiers tant que le peuple sera ignorant de ces contrôleurs
cachés. Les financiers internationaux qui contrôlent la plupart
des gouvernements des nations et la plupart des sources d’information,
semblent nous tenir complètement à leur merci. Ils n’ont
peur que d’une seule chose : un réveil patriotique des
citoyens, armés de la vérité et d’une confiance
totale en Dieu pour leur délivrance. Cet article vous a livré
la vérité sur leur système inique. Ce que vous en faites
est entre vos mains.
AUDITER LE SYSTEME DE RESERVE FEDERALE?
La Réserve
Fédérale n’a jamais été auditée par
le gouvernement depuis sa reprise de notre monnaie et de notre crédit
en 1913. En 1975, un projet de loi, H.R. 4316, pour exiger un audit a
été présenté au Congrès.
Pendant les discussions en avril 1975,
l’auteur de cet article, comme de nombreux autres, soumirent une
déclaration en faveur de cet audit. En raison de la pression de
nombreux contrôleurs de la monnaie, le projet de loi n’est pas
passé. Jamais aucun audit n’a été
réalisé sur la FED!
POURQUOI NE VOUS L’ONT-ILS JAMAIS
DIT?
Pourquoi ne vous ont-ils jamais rien
dit de ce scandale – la plus grande escroquerie de l’histoire qui
a fait que les Américains et les autres ont gaspillé des
océans de sang, payé des milliers de milliards de dollars
d’intérêts sur des crédits frauduleux et se sont
imposés des fardeaux inutiles d’impôts?
Qui est-ce “ils”? Ce sont
les politiciens des deux plus vieux partis politiques et les élus
officiels. Mais aussi des groupes à vocation éducatrice comme
« la ligue des femmes électrices », le Fondation
« Héritage », l’Union des Libertés
Civiles Américaines (ACLU). Tous les services d’informations
conventionnels comme Associated Press
et United Press International. Tous les principaux
quotidiens conventionnels, New York Times et Los Angeles Times inclus. Tous
les hebdomadaires d’ « information »
conventionnels comme le « Time » et
« Newsweek ». Tous ceux cités plus haut et bien
d’autres encore, vous ont caché la vérité.
CE QUE QUELQUES HOMMES CELEBRES ONT DIT
A PROPOS DE LA MONNAIE
ALAN GREENSPAN: « En l’absence
d’étalon-or, il n’existe pas de moyen de protéger
l’épargne d’être confisquée par
l’inflation. C’est le secret pitoyable des tirades que tiennent
les « étatistes » de l’Etat-Providence
contre l’or. Le déficit budgétaire est un simple
processus de confiscation de la richesse. Et l’or gêne sur ce
parcours. Il est le protecteur des droits de propriété. Si
l’on comprend cela, il n’y a aucune difficulté à
comprendre l’antagonisme des étatistes à un retour
à l’étalon-or ».
PRESIDENT THOMAS JEFFERSON: « Le système
bancaire [est] une tâche laissée sur toutes nos Constitutions,
qui s’il n’est pas couvert, se terminera par leurs
destructions…Je crois sincèrement que les institutions bancaires
sont plus dangereuses que des armées alignées ; et que le
principe selon lequel les dépenses monétaires doivent
être payées par la postérité…n’est
qu’un futur trompé à grande échelle ».
PRESIDENT JAMES A. GARFIELD: « Quiconque contrôle
le volume de monnaie dans un pays est le maître absolu de toute
industrie et de tout commerce ».
DEPUTE LOUIS McFADDEN: « La (Banque de)
Réserve Fédérale est l’une des institutions les
plus corrompues que le monde n’ait jamais connues. Il n’y a pas
un homme que ma voix n’atteigne et qui ne sache pas que cette Nation
est gouvernée par les Banquiers Internationaux ».
HORACE GREELEY: « Alors que nous nous
targuons de nobles faits, nous cachons consciencieusement le fait bien laid
que, grâce à notre système monétaire
maléfique nous avons nationalisé un système
d’oppression qui, s’il est plus raffiné, n’en est
pas moins tout aussi cruel que l’ancien système
d’esclavage [qui transforme des êtres humains en]
mobilier ».
THOMAS A. EDISON: « Des gens qui ne vont pas
toucher une pelle remplie de terre sur ce projet (Barrage de Muscle Shoals) ni contribuer une livre de matériel, vont
collecter plus d’argent de la part des USA que le peuple qui va fournir
tout le matériel et tout le travail nécessaires. C’est la
chose terrible au sujet de l’intérêt… Mais voici mon
argument : si la Nation peut émettre une obligation en dollar,
elle peut aussi imprimer un dollar. L’élément qui rend l’obligation
est valable, bonne est le même que celui qui rend le billet digne de
confiance. La différence entre le billet et l’obligation,
c’est que l’obligation permet au changeur de collecter deux fois
plus que la valeur de l’obligation et 20% en plus. Alors que la
monnaie, celle qui est honnête, et prévue par la Constitution,
ne paie personne d’autre, que ceux qui contribuent directement et
d’une manière utile. Il est absurde de dire que notre Pays
puisse émettre des obligations et ne puisse pas émettre de
monnaie. Les deux sont des promesses de payer, mais l’une engraisse
l’usurier et l’autre aide le Peuple. »
PRESIDENT WOODROW WILSON: « Une grande nation
industrielle est contrôlée par son système de
crédit. Notre système de crédit est concentré. La
croissance de notre Nation et de toutes nos activités est entre les
mains de quelques uns. Nous sommes devenus un des
gouvernements les plus mal gouvernés, l’un des plus
dominés et les plus contrôlés au monde – nous ne
sommes plus un Gouvernement de libre opinion, plus un Gouvernement élu
par la conviction et le vote d’une majorité mais un Gouvernement
par l’opinion et la coercition d’un petit groupe d’hommes
dominants. » (Il est rapporté que, juste avant de mourir,
Wilson aurait confié à des amis qu’il avait
été « trompé » et
« qu’il avait trahi son pays » en se
référant au Federal Reserve Act voté sous sa présidence.)
SIR JOSIAH STAMP, (président de
la Banque d’Angleterre dans les années 20 et seconde fortune
d’Angleterre):
« Le système bancaire a été conçu dans
l’iniquité et enfanté dans le péché. Les
banquiers possèdent la Terre. Otez-leur et laissez-leur la
possibilité de créer des dépôts et d’un coup
de crayon ils vont créer assez de dépôts pour la
racheter. Cependant, si vous leur ôtez vraiment, alors toutes les
grandes fortunes, comme la mienne, disparaitront et elles devraient
disparaitre, car le monde n’en serait que plus heureux et plus
prospère. Mais si vous souhaitez rester les esclaves des Banquiers et
payer le coût de votre propre esclavage, laissez-les continuer à
créer des dépôts. »
MAJOR L.L. B. ANGUS: «Le système bancaire
moderne produit de la monnaie à partir de rien. Le
procédé constitue peut-être le tour de prestidigitation
le plus extraordinaire qui n’ait jamais été
inventé. De fait, les banques peuvent faire enfler, battre monnaie et
retirer de la valeur par un simple jeu d’écritures dans les
livres de création de la monnaie moderne».
RALPH M. HAWTREY (ancient Secrétaire
du Trésor britannique): « Les banques prêtent en
créant du crédit. Elles créent des moyens de paiement
à partir de rien du tout. »
ROBERT HEMPHILL (Directeur du
Crédit de la Banque Fédérale de Réserve
d’Atlanta, Georgia):
« C’est une réflexion à vous couper le
souffle. Nous sommes complètement dépendants des banques
commerciales. Quelqu’un doit emprunter chaque dollar que nous avons en
circulation, liquide (cash) ou crédit. Si les banques créent
suffisamment de monnaie synthétique, nous sommes prospères,
sinon nous mourons de faim. Nous sommes complètement démunis
d’un système permanent de monnaie. Lorsqu’on a une vue
d’ensemble de la situation, l’absurdité tragique de notre
position désespérée semble presque incroyable, mais elle
est vraie. C’est le sujet le plus important sur lequel des personnes
intelligentes peuvent mener des recherches et réfléchir.
C’est même si important que notre civilisation actuelle est
peut-être en danger d’effondrement à moins que cela ne
soit largement compris et que l’on ne remédie aux défauts
rapidement. »
Pasteur Sheldon Emry
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