Fermer X Les cookies sont necessaires au bon fonctionnement de 24hGold.com. En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir plus sur les cookies...
Cours Or & Argent
Dans la même rubrique

Les limites du dernier rapport de l’OCDE

IMG Auteur
 
Publié le 31 juillet 2012
841 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
( 5 votes, 3,4/5 ) , 9 commentaires
Imprimer l'article
  Article Commentaires Commenter Notation Tous les Articles  
0
envoyer
9
commenter
Notre Newsletter...
Rubrique : Or et Argent

 

 

 

 

L’OCDE, que l’on a parfois connue plus inspirée, notamment en matière d’éducation, de commerce international, voire de fiscalité, vient de rendre un rapport assez décevant.


Quatre propositions, sans grands liens les unes avec les autres, sont au cœur de ce rapport :


-          La nécessité, selon l’organisation, de rehausser la taxation des plus hauts revenus ;


-          La suppression, autant que faire se peut, des niches fiscales, telles que les crédits d’impôts ;


-          L’encouragement, adressé à l’administration américaine, à ne pas sabrer dans les dépenses destinées à la recherche et au développement.


-          L’encouragement, adressé au gouvernement américain, à poursuivre sa lutte contre les foreclosures (expulsions massives de propriétaires insolvables) ;


Analysons ces préconisations.


1°) D’abord, dans sa recommandation phare, l’OCDE prône une taxation plus élevée des hauts revenus. En clair, il faudrait encore renforcer la progressivité de l’impôt. Rappelons, en préambule, que l’impôt progressif était un des instruments dont comptaient faire usage Marx et Engels en vue de renverser la société capitaliste. Il a donc une connotation idéologique qui en souligne l’aspect révolutionnaire et il serait opportun que ses promoteurs s’interrogent sur ses conséquences économiques.


C’est ce que fera l’économiste, Ludwig von Mises. Dans L’Action humaine, Mises expliquera comment la fiscalité progressive entrave le progrès économique et favorise la rigidité sociale.


Il est vrai que, d’un point de vue factuel, la progressivité n’a pas réduit les écarts de revenus et la pauvreté ne cesse de s’accentuer. Or, au lieu de chercher un début d’explication dans la mise en place de la progressivité elle-même, l’OCDE persiste à vouloir suivre cette voie et même à la renforcer…


Ensuite, d’un point de vue juridique, les assertions fortes d’auteurs anarcho-capitalistes tels que Spooner ou Rothbard, selon lesquels l’impôt est un vol pur, ont souvent été raillés mais il n’empêche que même les classes les plus aisées sont en droit de pouvoir conserver le fruit de leur travail (ou leur rente), conformément aux principes du droit de propriété et de l’égalité des droits.


Face à la rapacité fiscale de plus en plus forte – surtout en temps de crise économique – les gouvernants ne doivent pas s’étonner si les citoyens s’adonnent à de véritables révoltes fiscales, comme ça a été le cas récemment en Irlande, contre les mesures prises par le Premier Ministre, Enda Kenny : du fait de ses difficultés financières, ce pays subit une sorte de diktat provenant du FMI et de l’Union européenne, lesquelles organisations le poussent à augmenter ses taux d’imposition. La population est aujourd’hui écœurée et refuse, purement et simplement, de payer la nouvelle taxe d’habitation.


Une révolte du même acabit pourrait même se produire en France si les mesures fiscales du Président Hollande venaient à être votées par le Parlement – et ce bien qu’il convient de rappeler qu’évidemment, le fait d’ajouter une tranche à 75% ne signifiera pas que les citoyens les plus fortunés payeront 75% de leurs revenus en impôt sur le revenu.


Dans le même ordre d’idées, l’OCDE prône donc, avec si peu d’originalité, la suppression des niches fiscales. Or, l’existence des niches fiscales permet justement d’atténuer les effets pervers de la progressivité. Ces dernières ne pourraient réellement disparaître que si la progressivité diminuait également, ce qui est évidemment très improbable.


Parmi ces niches, se trouvent les crédits d’impôts « alloués » aux entreprises et pointés du doigt par l’OCDE. Là encore, il nous est dit qu’il s’agit de subventions déguisées alors que ces mécanismes fiscaux ne font que permettre à certaines entreprises de payer moins d’impôts, ce qui relancera un entrepreneuriat français (surtout en ce qui concerne les PME) en berne.


Et, curieusement, si l’OCDE prône la suppression des crédits d’impôts (souvent destinés à la recherche et au développement, d’ailleurs), en revanche, elle ne souhaite pas que les pays membres de l’organisation sabrent dans les dépenses publiques au moment où même des Chefs d’État dispendieux reconnaissent la nécessité de faire un véritable sacrifice en la matière.


Enfin, l’OCDE encourage donc le Président Obama à poursuivre sa lutte contre les foreclosures, à savoir ces expulsions massives de propriétaires insolvables. Évidemment, les banques sont les premières montrées du doigt. Est-il néanmoins possible de rappeler l’écrasante et majoritaire part du politique dans ce désastre ? En effet, la croissance à crédit a rythmé ces dernières décennies. Mais arrive le moment où il faut respecter ses engagements et rembourser les crédits. De nombreux emprunteurs, illusionnés par cette politique de « crédit facile », ont alors été dépassés, réalisant enfin avoir vécu au-dessus de leurs moyens.


Aujourd’hui, avec la crise financière que nous subissons, on aurait pu penser que cette politique susvisée n’aurait plus la cote. Pourtant, des politiciens démagogiques, comme Jacques Cheminade, persistent à défendre les faibles taux d’intérêt. Jacques Cheminade qui ne cesse de se targuer d’avoir prédit, dès 1995, l’avènement de la crise financière et qui, pourtant, y apporte des solutions catastrophiques.


Il est dommage que l’OCDE, dans son rapport, ne s’attaque pas aux racines des problèmes économiques subis par les pays occidentaux, à savoir l’emprise trop forte des États, préférant prôner l’administration de pansements vénéneux…


 

 

Données et statistiques pour les pays mentionnés : France | Tous
Cours de l'or et de l'argent pour les pays mentionnés : France | Tous
<< Article précedent
Evaluer : Note moyenne :3,4 (5 votes)
>> Article suivant
Publication de commentaires terminée
  Tous Favoris Mieux Notés  


Bonjour à tous,

Commentaire inutile et procès d'intention fallacieux...

Pour votre information le Merluchon est sponsorisé par le PS qui est lui-même sponsorisé par les banques.

Regardez le résultat des élections, quels sont les partis qui se partagent le pouvoir si ce n'est une fois le PS et deux fois l'UMP, puis deux fois le PS puis une fois l'UMP. Réfléchissez d'où viennent les moyens qui leur permettent cela.

S'opposer à la mise en esclavage ce n'est pas être communiste (surtout lorsqu'on sait comment le communisme a réduit des millions de personnes en esclavage et contraint à la pauvreté).

Lire c'est bien, comprendre ce que l'auteur a voulu dire c'est mieux.

Merci de m'avoir lu, de réfléchir à comment nous sortir du pétrin dans lequel nous sommes et bonne journée.


Evaluer :   5  1Note :   4
EmailPermalink
salut doc ! pour moi la meluche est un leurre l idiot de service qui etait la pour plomber hollande et pan l elastique leur a pete a la figure il a plombe sarko ! quel con!pour moi y a un truc qui cloche avec les coco ! voyez sur le plan local il reussissent tjrs a faire le jeu de la droite!ou alors c est qu ils sont vraiment plus c... que je pense mais y a un os! remarquez ça va ds votre sens alors vous n allez pas etre d acc avec moi! tiens un exemple une boite coule et c est qui qui retrouve un job aussitot? les delegues des syndicats! je vous le dit y a un os avec les coco!
Evaluer :   2  2Note :   0
EmailPermalink


Bonjour à tous,

Voici, à mon sens une analyse que je vais qualifier de pitoyable. Elle prouve au moins que nous ne pouvons pas continuer à laisser la richesse se concentrer aux mêmes endroits et dans les mêmes mains.

Quand les quelques super-riches auront accaparé l'essentiel des richesses du monde, nous en serons tous les esclaves.

L'impôt doit évidemment être progressif, quitte à "voler" le capital des plus nantis (d’ailleurs pris sur le travail de la classe moyenne) pour le redistribuer vers les plus nécessiteux. Sinon, nous allons nous diriger vers une société eugéniste.

Quant au droit de propriété élevé ici en principe dogmatico-juridique, je rappelle qu'avant que que le droit de propriété ne soit défini comme un principe juridique,... .... il ne l'était pas.... Comme quoi les choses peuvent changer et le droit évoluer. Il suffit de voter des lois, et surtout de les faire appliquer... (Je rappelle ici que le concept de harcèlement sexuel qui n'était pas reconnu par la loi il y a deux ou trois décennies, est pourtant maintenant considéré comme inacceptable et est puni par la loi...).
Aujourd'hui, il est donc nécessaire de redéfinir le droit de propriété car l'abus de ce droit va conduire de façon exponentielle à la mise en esclavage des plus pauvres par les plus riches (cf : intérêts composés) . Et c'est bien cela qui doit nous conduire à réformer le droit de propriété.

A mon avis le prochain chantier du monde est : "Comment limiter le droit de propriété sans pour autant entraver la libre entreprise ?"

Merci de m'avoir lu, de réfléchir à comment nous sortir du pétrin dans lequel nous sommes et bonne journée.



Evaluer :   2  5Note :   -3
EmailPermalink
La réponse à votre question à votre question : "comment limiter le droit de propriété sans entraver la libre entreprise" est extrèmement simple. Ce n'est pas possible.

La libre entreprise signifie que le choix de la production est laissé aux producteurs, c'est à dire qu'il est décentralisé dans les mains des propriétaires de biens de production qui assument l'intégralité du risque.

Si vous centralisez les mécanismes de décision, ou que vous socialisez les risques, vous détruisez la libre entreprise, ce que nous sommes en train de faire à grande allure.

Et vous obtenez ce vers quoi nous nous dirigeons à grande allure, une sorte de fascime mou où les grandes entreprises et l'état ne font plus qu'un.

Et nous obtiendrons les mêmes résultats que ceux qui ont essayé ces systèmes au XX° siècle.

Quant à voler les riches, si vous partez comme cela, ne vous attendez pas à ce que la libre entreprise subsiste...
Evaluer :   6  0Note :   6
EmailPermalink

Bonjour à tous,

Je réponds ci-dessous aux commentaires de Josey Wales :


1 - Il est impossible de limiter le droit de propriété sans entraver la libre entreprise ( Josey Wales )

Position dogmatique répandue par nos amis HAYEK, VON MISES, FRIEDMAN,... qui ne doit pas être prise au pied de la lettre. Pour justifier leurs théories fumantes, ils font (volontairement ?) l'impasse sur quelques points essentiels (droit de vivre sans être asservi par la finance par exemple, en érigeant l'économie en dogme régissant seule la vie des individus et de la société en occultant les autres aspects du vivre ensemble, ...). Est-il dogmatique de vouloir vivre ensemble ? Est-ce une condition essentielle de la survie de notre espèce ? Est-il dogmatique de souhaiter la survie de notre espèce (de notre progéniture) ?...
Attention, je ne suis pas aveugle, les autres écoles économiques font de même. Ils sont tous champions pour nous expliquer le passé, mais je n'en vois pas beaucoup qui arrivent à prédire l'avenir.
Pour tempérer cela, n'oublions pas que les prévisions d'un bon prévisionniste ne se réalisent pas. En effet, si il est bon, il est écouté, si on l'écoute on est alerté sur les catastrophes qu'il annonce, donc on peut les empêcher, donc les catastrophes qu'il a annoncé ne se produisent pas...
Pour finir sur le sujet, le droit de propriété a déjà été limité aux USA (archétype du pays de la liberté économique) en fiscalisant proportionnellement jusqu'à des niveaux plus que confiscatoires (à côté les 75% de Hollande prêtent à sourire), sans pour autant empêcher la libre entreprise.


2 - Le choix de la production est laissé aux producteurs - ils assument le risque ( Josey Wales )

Entièrement d'accord, c'est à mon avis le système le plus efficace pour autant qu'on empêche un seul producteur de polluer (risquer, anéantir, …) la vie de millions de personnes pendant 3.000 ans du fait qu'il ait fait n'importe quoi pour gagner de l'argent (produits chimiques, nucléaire, OGM,... et je ne suis plus écolo que ça).


3 - Centralisation des risques entraîne socialisation des risques donc destruction de la libre entreprise ( Josey Wales )

Pas d'accord, je n'ai pas dit que je souhaite qu'on centralise les risques puisque la question est "Comment limiter le droit de propriété sans entraver la libre entreprise ?"
Si je demande de ne pas entraver la libre entreprise ce n'est pas pour centraliser les risques...
Pour compléter nous pouvons travailler sur : Comment pouvons-nous empêcher que la richesse ( différent de la monnaie, de l'argent,...) ne se concentre entre quelques mains ? Car une fois que cette richesse est concentrée entre quelques mains les autres individus ont les plus grandes difficultés à entreprendre car ils se heurtent à la puissance des grandes entreprises (on verra pourquoi juste après).


4 - Fascisme mou (grandes entreprises et état ne font qu'un) ( Josey Wales )

Pas d'accord, si le droit de propriété est limité il ne peut pas y avoir de très grandes entreprises, donc l'état se retrouve face à une multitude de petites entreprises – donc décentralisation – et la propriété est éparpillée dans un grand nombre de mains. Or, aujourd'hui ce sont bien les grandes entreprises (possédées par les hypers riches) bien aidées par l'état... qui édictent des règles et des normes qui elles-mêmes entravent les individus dans leurs tentatives d'entreprendre librement.


- Voler les riches ( Josey Wales )

Pas d'accord, j'ai volontairement écrit « quitte à "voler" le capital des plus nantis », avec voler entre guillemets dans le sens de l'école autrichienne, où elle conclue que l'état « vole » la propriété.
Je pense que laisser la richesse se concentrer dans un nombre restreint de mains conduit à des catastrophes. Voici quelques exemples (questions) volontairement très différents pour illustrer cette réflexion :
- Qui manipule les cours des matières premières ? Ce ne sont pas les individus mais bien ceux qui concentrent la richesse : J P Morgan, Goldman Sachs,... Et qui va crever de faim une fois le prix des matières premières alimentaires auront été multiplié par ces hyper-riches ? A la fin de l'histoire, qui sera l'esclave de l'autre ? Est-il dogmatique de s'opposer à la mise en esclavage du plus grand nombre au profit d'un petit groupe de nantis ?
- Après la révolution française, qui a profité des biens confisqués au clergé et à la noblesse ?
- Comment Hitler et Lénine ont trouvé les moyens financiers de prendre le pouvoir ? Qui a financé ? Et dans quel but ? A la fin de l'histoire à qui a profité le crime ?
- Qui a « sponsorisé » la première guerre mondiale ? Qui avait intérêt à ce qu'elle dure plus que de raison (4 ans) ? Qui a souffert le plus de cette guerre ? Si les individus avaient été libres, auraient-ils accepté d'aller mourir sur les champs de bataille ? A la fin de l'histoire, à qui a profité le crime ?
- Si la loi interdit de rouler à plus de 130 sur l'autoroute, est-ce pour voler du temps aux automobilistes, ou pour empêcher que quelques automobilistes fassent courir des risques trop importants à tous les autres.
- Si nous laissons le pouvoir à la finance, l'eugénisme va revenir à grand pas. Les handicapés, les individus limités d'une manière où d'une autre perdront leur utilité économique, ils seront éliminés du processus économique (donc de la société) d'une manière ou d'une autre. Je ne pense pas être dogmatique en refusant cela...
...

Contrairement à ce que les gens croient souvent – « La loi libère ».



Pour conclure :

Je pense que nous ne pouvons pas continuer à laisser la richesse se concentrer de plus en plus car cela conduit inexorablement à une dictature du financier sur l'individu et à une limitation de la libre entreprise (progressivement seuls ceux qui concentrent fortement la richesse peuvent entreprendre). Est-il dogmatique de ne pas vouloir que cela se produise ?
Il est donc nécessaire de limiter le droit de propriété (et droit d'héritage) pour empêcher cela. J'ai bien écrit « limiter », et pas interdire.
La question qu'il faudra ensuite se poser c'est « Où fixons-nous la limite ? »...
Je préfère 1000 individus qui possèdent un million (ils ne seront ni pauvres ni communistes, ils feront circuler leurs richesses dans l'ensemble de l'économie) à un seul capitaliste hyper-puissant qui possède un milliard, qui prendra indirectement le pouvoir en finançant les politiques pour leur faire voter les lois qui vont l'avantager encore plus pour concentrer encore plus de richesse et qui pourra en plus transférer ce pouvoir exorbitant à ces descendants qui n'auront rien fait pour mériter cela.

Nous pouvons crier « La liberté est un droit ! » mais parlons aussi du reste (notion de devoirs). La liberté n'est pas la solution universelle à tous nos problèmes.

Voici quelques devoirs qui me semblent vitaux pour la survie de notre espèce :
- Arrêtons d'endetter notre progéniture pour des générations (au seul profit des hyper-riches),
- Laissons à notre progéniture une planète vivable (nettoyons la pollution accumulée par l'inconséquence de nos parents, laissons leur des matières premières, …), donc réfléchissons à notre façon de consommer, réfléchissons à notre conception de la croissance,...
- Si les individus ont le droit d'entreprendre librement, les individus ont tout de même le droit de vivre librement sans être esclaves de gens hyper-puissants, (Est-ce dogmatique?)
- Préparons les conditions pour que notre progéniture puisse entreprendre et (sur)vivre librement,... (Est-ce dogmatique?)...


Je n'ai pas de préférence pour une école économique, je lis tout ce que je peux et j'essaye de voir ce qui tient la route. J'ouvre au maximum de mes possibilités mon esprit et refuse à priori tous les dogmes. Après, je regarde ce que trouve personnellement acceptable et ce que je trouve inacceptable. Avis personnel, mais pas complètement débile.


Merci de m'avoir lu, de réfléchir à comment nous sortir du pétrin dans lequel nous sommes et bonne journée.
Evaluer :   3  1Note :   2
EmailPermalink
cher remi votre droit de propriete vous etes contre jusqu au jour ou vous allez acquerir un bien apres des annees de travail et qu un p..... de fonctinnaire obeissant comme un toutou viendra vous expliquer qu il n est plus a vous mais a l etat! qd a l etat qui brade ss cesse notre patrimoine qu il commence a apprendre la gestion a l equilibre et non a fond perdu et on en reparle ds 100 ans! le temps que nos enarques et autres polymachin s y mettent et arretent de nous culpabilisez qd a moi pas de pot je culpabilise pas un chouia!et la doc droite ou gauche memes etudes memes resultats! la meluche est un leurre comme l a ete danny le rouge en 68!
Evaluer :   2  1Note :   1
EmailPermalink


Bonjour à tous et à numiscor2,

Je ne suis pas contre le droit de propriété mais je suis pour le limiter pour empêcher que quelques super-riches ne nous impose leurs volontés.

Je préfère 1000 individus qui possèdent un million (ils ne seront ni pauvres ni communistes, ils feront circuler leurs richesses dans l'ensemble de l'économie) à un seul capitaliste hyper-puissant qui possède un milliard, qui prendra indirectement le pouvoir en finançant les politiques pour leur faire voter les lois qui vont l'avantager encore plus pour concentrer encore plus de richesse et qui pourra en plus transférer ce pouvoir exorbitant à ces descendants qui n'auront rien fait pour mériter cela.

Si l'état refuse d'apprendre la gestion à l'équilibre c'est qu'il y a une raison. Plus je m'informe plus j'ai la conviction que l'état "obéissant comme un toutou" nous endette (nous et notre progéniture) de plus en plus. Réfléchissons ensemble à qui profite le crime. Si les politiques en profitent largement ne sont pas ceux qui en profitent le plus (mais alors qui en profite le plus ?). Cherchons peut-être vers ceux qui nous prêtent la monnaie qu'il nous manque systématiquement. Je vous laisse deviner à qui je pense...

OK, que les énarques et polymachins nous culpabilisent, je suis d'accord, mais dans quel but ? Encore une fois, à qui profite le crime ? Qui s'en sort toujours avec plus de richesse ? Certainement ni vous, ni moi... Alors qui ?...

OK aussi avec droite et gauche mêmes études, mêmes résultats. Donc le système politique actuel nous conduit vers toujours plus de dette pour concentrer la richesse vers de moins en moins de gens. Donc, il faut repenser le système politique. Sachez que nous ne vivons pas en démocratie mais sous le régime de la représentation parlementaire. C'est juste pas du tout la même chose. Pour remettre de l'ordre dans tout ça, il faut commencer par réécrire la constitution et il faut que ce soit des vrais citoyens tirés au sort qui l'écrivent en toute indépendance et hors de toute pression (et surtout pas des politiques qui vont encore l'écrire à leur avantage).
Cette réécriture de la constitution permettra enfin au peuple de demander des comptes à ceux qui sont censés les représenter (enfin, il faut espérer).

Quant à Merluchon, c'est Frédéric P qui dit que je suis Merluchonien, je lui laisse la responsabilité de ses écrits...
Mais pour info, Merluchon est un politique (cf : ce que j'en pense ci-dessus) sponsorisé par le PS qui est lui même financé par les banques contrôlées par les hyper-riches. (M...., je crois que je viens de répondre à la devinette du dessus...)

Pour finir, vu votre pseudo et votre présence sur ce site, je pense que vous savez comment faire pour que l'état (piloté par les politiques) ne vienne pas tout vous piquer (comme tous ceux qui viennent sur ce site) ... mdr...

Je développe un peu plus en répondant à Josey Wales, si ça vous intéresse...

Je cherche des solutions, pas la polémique.

Merci de m'avoir lu, de réfléchir à comment nous sortir du pétrin dans lequel nous sommes et bonne journée.




Evaluer :   2  1Note :   1
EmailPermalink
Vous savez, ces organismes reflétent la pensée idéologique de leurs foncctionnaires et cela peut ne pas correspondre au monde réel. Ça vaut ce que ça vaut et il faut en prendre et en laisser.
Ces fonctionnaires ne sont-ils une copie conforme des hommes qui ont la prétention de nous gouverner alors que souvent ces derniers n'ont jamais rien administré et sont souvent incapables d'administrer leur personnel budget? Ce n'est pas pour rien que l'UE est composé des canards boiteux et bien d'autres pays comme les US.
Qui pourra nous sauver de tous ceux qui prétendent et ont la responsabilité de nous protéger ??????
L.Conceicao
Evaluer :   5  0Note :   5
EmailPermalink
cher leo tous ces organismes ne servent qu a placer la bande des copains du cartel des celebres! et comme ils commencent a en avoir de trop des copains ils multiplient les etudes a etudier par des etudiants studieux! comme ça tout le monde est content et le systeme continue a pourrir! ocde onu unesco et patacaisse !en voila des entreprises qui ne connaissentpas la crise! allez courage y vont bien finir par se bouffer entre eux ces cons!
Evaluer :   6  2Note :   4
EmailPermalink
Dernier commentaire publié pour cet article
Bonjour à tous et à numiscor2, Je ne suis pas contre le droit de propriété mais je suis pour le limiter pour empêcher que quelques super-riches ne nous impose leurs volontés. Je préfère 1000 individus qui possèdent un million (ils ne seront ni pauvre  Lire la suite
Rémi F. - 02/08/2012 à 14:40 GMT
Note :  2  1
Top articles
Flux d'Actualités
TOUS
OR
ARGENT
PGM & DIAMANTS
PÉTROLE & GAZ
AUTRES MÉTAUX
Profitez de la hausse des actions aurifères
  • Inscrivez-vous à notre market briefing minier
    hebdomadaire
  • Recevez nos rapports sur les sociétés qui nous semblent
    présenter les meilleurs potentiels
  • Abonnement GRATUIT, aucune sollicitation
  • Offre limitée, inscrivez-vous maintenant !
Accédez directement au site.