L’Histoire traditionnelle suggère
que le chemin des humains et celui des dinosaures ne se soient jamais croisés
et que leur existence sur la Terre soit séparée par des dizaines de millions
d’années.
Mais la récente découverte du
scientifique Mark Armitage, de l’Université d’Etat
de Californie, pourrait bien mettre sens dessus-dessous l’histoire de la
civilisation humaine.
Armitage participait à des fouilles dans le
Montana lorsqu’il est tombé sur la plus grosse corne de tricératops jamais
découverte. Suite à un examen de cet unique spécimen à l’aide d’un puissant
microscope, Armitage a découvert quelque chose qu’aucun
scientifique avant lui n’avait encore pu déceler sur les restes d’un
dinosaure – des tissus mous.
Ses collègues ont été
stupéfaits par sa découverte, puisque l’existence de tissus mous, qui
devraient s’être dégradés et avoir disparu au fil des millions d’années,
suggère que ce dinosaure n’est pas mort il y a 60 millions d’années, mais qu’il
se portait encore très bien en Amérique du Nord il y a seulement quelques
millénaires.
Nous pourrions penser qu'une
telle découverte pourrait mener à plus de recherches quant à l’éventuelle
coexistence des humaines et des dinosaures à un certain moment de l’Histoire.
Mais ce n’est pas ce qu’il s’est passé.
Les subventions d’Armitage ont été suspendues, sa recherche a été passée
sous silence, et l’homme a perdu son emploi à l’Université de Californie.
Ses découvertes auraient été
si importantes que le conseil d’administration a eu peur qu’elles viennent
mêler science et religion.
Un membre de l’université est
allé jusqu’à expliquer à Armitage pourquoi il avait
été renvoyé : « nous ne tolèrerons pas votre religion dans notre
département », lui aurait-il dit.
Selon la pensée officielle de
la Bible, l’histoire de la Terre remonte à 6.000 ou 10.000 ans, un fait que
les scientifiques utilisent souvent pour rejeter la possibilité qu’elle
puisse contenir quelque forme de vérité que ce soit. Puisque les os des dinosaures
ont plus de 60 millions d'années, la Bible a forcément tort, comme la
création de la Terre relatée par le premier livre de la Genèse remonte à
moins de 10.000 ans.
La récente découverte pourrait
portant lever le voile sur certaines créatures mystérieuses mentionnées dans
l’Ancien testament. Les premiers livres de la Bible ne mentionnent peut-être
pas de tricératops ou d’autres dinosaures par leur nom, mais ils parlent de
dragons et de béhémoths, que certains intellectuels associent à des serpents,
des reptiles ou encore des monstres marins.
Ces créatures ont en effet
vécu en même temps que les Hommes selon l’histoire que raconte la Bible
chrétienne.
Voici l’hippopotame, à qui
j’ai donné la vie comme à toi ! Il mange de l’herbe comme le bœuf. Le
voici ! Sa force est dans ses reins, et sa vigueur dans les muscles de
son ventre. Il plie sa queue aussi ferme qu’un cèdre, les nerfs de ses
cuisses sont entrelacés. Ses os sont des tubes d’airain, ses membres sont
comme des barres de fer.
Job 40:15-18
Et pourtant, jusqu’à présent,
aucune recherche scientifique n’a prouvé que de si gros animaux à la peau
similaire à celle de reptiles existaient à l’époque.
La découverte d'Armitage confirme ce que dit la Bible, ce qui a apparemment
déplu à la communauté scientifique, qui a décidé de démettre Armitage de ses fonctions.
Un communiqué de presse publié
par le Pacific Justice Institute stipule que la carrière d’Armitage a pris fin sur des bases religieuses à la suite
de l’apport de preuves capables de justifier une théorie controversée :
« Mettre fin à la
carrière d’un employé pour des raisons religieuses est inapproprié et illégal »,
a décrété Brad Dacus, président de PJI. « Mais
le faire dans l’espoir de taire un discours scientifique au sein d’une
université publique est encore plus alarmant. Le monde académique devrait en
être avisé ».
Armitage participait à des fouilles dans le
Montana lorsqu’il est tombé sur la plus grosse corne de tricératops jamais
découverte. Suite à un examen de cet unique spécimen à l’aide d’un puissant
microscope, Armitage a découvert quelque chose qu’aucun
scientifique avant lui n’avait encore pu déceler sur les restes d’un
dinosaure – des tissus mous.
Ses collègues ont été
stupéfaits par sa découverte, puisque l’existence de tissus mous, qui
devraient s’être dégradés et avoir disparu au fil des millions d’années,
suggère que ce dinosaure n’est pas mort il y a 60 millions d’années, mais qu’il
se portait encore très bien en Amérique du Nord il y a seulement quelques
millénaires.
Selon des documents émis par
la cour, suite à la découverte de ces tissus mous, un membre de l’université
aurait déclaré à Armitage que son département ne
tolèrerait pas sa religion.
Armitage, un scientifique qui publie depuis
déjà plus de trente ans, a ensuite été démis de ses fonctions, et l’Université
d’Etat de Californie a déclaré que son contrat de 38 mois n’avait été que
temporaire et ne pouvait désormais plus être financé. Ces propos entrent en
contradiction avec d’anciens discours et documents de l’université.
Michael Peffer,
avocat-conseil chez PJI, a annoncé qu’il était devenu « évident que la
diversité et la curiosité intellectuelle, qui sont les principes clés de l’éducation
universitaire, ne sont pas applicables à ceux qui embrassent une religion. Une
action en justice a été entreprise pour cette même raison ».
PJI / Daily Paul via Steve Quayle
Les scientifiques disent
souvent qu’aucune preuve ne supporte les propos de la Bible. Un chercheur
ayant plus de trois décennies de travail derrière lui a pu confirmer qu’il
existait encore des dinosaures alors que les humains foulaient le sol de
notre planète, mais parce que cette découverte n’entre pas dans la vision traditionnelle
et menace d’autres théories, elle est passée sous silence et accusée d’extrémisme
religieux.
Il semblerait qu’un
scientifique n’en soit plus un s’il adhère aux théories présentées par la
Bible ou s’il croit en Dieu.
Vidéo sur Daily Paul : un scientifique explique sa découverte de
tissus mous sur les restes d’un dinosaure.