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Lolo27
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Démocratie et séparation des pouvoirs !…

- Charles Sannat - Au Coffre

@ Rüss,

"L'humanisme est apparu à peu près à la même époque que l'église de Rome dérivait des valeurs du Christ"

Et du coup on peut être humaniste, détester l'Eglise et sa politique et être adepte de la philosophie/des valeurs du Christ. ^^

"Au sein même du Vatican, il existe des tensions terribles et mortifères."

Le soir du 4 mai 1998, un triple meurtre a eu lieu au Vatican.

"Dans "mensonges de sang au Vatican" on évoque un conflit de pouvoir meurtrier, dont tous les acteurs feraient partie du Vatican. Le colonel Estermann, son épouse et le caporal adjoint, Tornay, auraient été les victimes du combat entre deux camps adverses, celui de "l'Opus Dei et celui du clan maçonnique, au sein de la curie". Selon cette reconstitution, Alois Estermann - proche de l'Opus Dei depuis des années (cela a été publié sans démenti, par l'hebdomadaire italien Epoca en mai 1996) - aurait été l'homme fort que cette puissante organisation fondée par Escrivà Balaguer voulait mettre à la tête de l'armée pontificale pour mieux garder le contrôle sur les palais apostoliques et les mouvements du Saint-Père. Le "plan de l'Opus Dei" visait à transformer la garde suisse en un détachement militaire hyperefficace, de manière à neutraliser l'immense pouvoir du corps de surveillance, tenu depuis toujours "par la cordée maçonnique". Le meurtre d'Estemann aurait donc servi à bloquer sans tarder les visées hégémoniques de l'Opus Dei. Le caporal adjoint, Tornay, lui, n'aurait été qu'une "victime sacrificielle" (n.b. : on a prétendu que c'était lui le meurtrier des deux autres avant de se donner la mort, et ce immédiatement après la découverte des corps et avant toute enquête officielle et en empêchant, ensuite, toute enquête ultérieure), la couverture nécessaire pour classer rapidement l'affaire." fin de citation. In "Histoire secrète du Vatican" de Corrado Augias, Editions Vif, 2010.

:-(

Commenté il y a 3924 jours

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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Lorsqu’une autorité politique se confère le droit quelles qu’en soient les raisons de juger de l’humour (fut-il pas drôle ou déplacé) ou d’autres choses, sous prétexte d’ailleurs qu’un individu sort de l’humour pur pour rentrer dans le champs politique, et de censurer, c’est évidemment une dérive autoritaire et dictatoriale. Parler de politique est un droit aussi sacré d’ailleurs que celui de faire de l’humour. Opposer la parole de l’humoristique... Lire la suite

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