cher monsieur, vous n'avez rien à nuancer du tout. « Selon moi, pour avoir un pays prospère il faut un Etat de droit bien organisé, des frontières protégées, une police efficace, des fonctionnaires organisés. Je crois que ce sont les deux jambes sur lesquelles il convient de marcher » : vous avez oubliez la canne sur laquelle vous vous appuyez pour marcher et la béquille qui vous empêche de basculer, vous oubliez de préciser qu’il y a un équilibre entre ce qui rentre dans les caisses de l’état et ce qui en sort. en 2008, avec un prélèvement de 44% du pib prélevé par les pouvoirs publics, on avait atteint un sommet au-delà duquel on risquait tout simplement de tuer l’économie, pouvait-on lire alors, or, nous sommes actuellement à 60%. nous avons subis 50% de prélèvement en plus en 5 ans. Il y a un méchant déséquilibre, ne trouvez-vous pas ? l' état de droit tel que vous le concevez, est merveilleux pour celui qui rédige le droit, et si vous trouvez normal qu’on lève de plus en plus d’impôts pour justifier des fonctionnaires organisés, des machin toussa organisés, sans rien recevoir de plus en échange, entendez par là qu'ailleurs où on prélève moins d'impôt, les citoyens ne sont pas forcément plus mal lotis, c’est que vous faites partie de la fraction qui reçoit, pas celle qui produit et qui est spoliée, vous oubliez aussi d'où vient l'argent qui alimente cette 'manne céleste' qu'est l'état providence. ll faudrait voir à se réveiller, et sérieusement envisager de vivre non pas selon un rêve, mais en fonction de nos moyens et des rentrées d'argent permettant le financement de l'état. financement qui se réduit comme peau de chagrin. et si vous levez des impôts pour des choses inutiles, vous aurez de moins en moins d'adhésion à votre impôt... à quand l'austérité pour le 'public' ? actuellement, si je travaille jusqu'au 8aout pour payer des taxes, ce n'est pas pour un état de droit, nous l'avions déjà avec un prélèvement de 40%, mais pour préservez les avantages et privilèges de ceux-là mêmes qui vivent de nos impôts. et entendent bien ne pas changer leur fusil d'épaule. à moins que nous ne changions le nôtre. Commenté il y a 3955 jours |