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Jean L
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113 commentaires - suivi par 4 personnes

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A laissé un commentaire sur l'article :

La grande capitulation de l’Argentine !

- Charles Sannat - Au Coffre

Bravo M. Sannat, votre réflexion vous a finalement conduit au cœur du problème. J'ai suivi le même chemin en partant, comme vous, d'une américanophilie provenant de la dernière guerre.

L'impérialisme américain ne date pas d'hier. Lire et écouter les remarquables conférences de François Asselineau pour s'en convaincre. Mitterrand nous avait prévenu juste avant sa mort en 1995, dans son testament politique.

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. »
Le Dernier Mitterrand - Georges-Marc Benamou - Pocket - 2005.

J'ajoute un autre exemple de la captation par l'Empire des richesses mondiales. Savez-vous que quand un citoyen français, bien que n'ayant aucun lien avec les USA, décède en possédant plus de 50.000 $ d'actions d'une société américaine, son notaire doit payer des droits de succession au fisc US - environ 35 % -. Ces droits sont déduits de la somme éventuellement versée au fisc français. La même chose en Suisse, en Belgique, dans tout l'Empire en fait et peut-être même au-delà. Bien évidemment, la réciproque n'est pas vraie. Un citoyen des US peut posséder autant qu'il veut d'actions européennes sans jamais devoir un sou à un quelconque fisc non-US. Voici donc un bel exemple de captation d'héritage mondial et de vol des impôts nationaux ! Quant aux politiciens européens qui ont accepté cela sans exiger la réciproque, ils sont, tout simplement, des traîtres.

P.S. : votre texte contient de nombreuses coquilles. Ce n'est pas grave, mais elles en obscurcissent un peu le sens. Par exemple, on parle de "dette odieuse" et non pas de "dette honteuse".

Commenté il y a 3762 jours

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Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! Depuis une semaine, la Cour suprême américaine a rendu son jugement confirmant que l’Argentine devait bel et bien payer ses dettes à ce que l’on appelle les « fonds vautours ». Depuis une semaine, les rumeurs sur une nouvelle faillite de l’Argentine n’étaient même plus des rumeurs, non, en fait l’Argentine était déjà considérée en faillite et les agences de notations (en particulier américaines) étaient déjà en train de dégrader à nouveau la note... Lire la suite

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