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Pâris
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Les pastilles de Mamie Ségolène  - H. Seize - Hashtable
"L’hypocrisie du dispositif apparaît en outre dans toute sa splendeur lorsqu’on note qu’il n’y a finalement aucun rapport entre les catégories de pastilles du ministère de l’Écologie et celles des malus écologiques tabassant certains véhicules, mis en place par le ministère de l’Écologie."

On avait déjà la taxe au litre de carburant. Et la taxe (TVA) sur cette taxe (TiC).
Son "problème" pour le gouvernement, c'est qu'il suffit de ne pas rouler pour échapper à l'impôt, ce que les Français ne se privent pas de faire, l'action combinée du pouvoir d'achat et des amendes routières ayant presque fait disparaître l'escapade dominicale ou les visites à la famille: le kilométrage annuel s'effondre.

Alors on nous a mis la taxe malus sur le CO² en g/km. L'émission de CO² en g/Km étant rigoureusement proportionnelle à la consommation en L/100Km, cela revient à taxer la consommation au forfait, que l'on circule ou pas.

La base de la pastille est similaire à celle du malus, sauf qu'on s'occupe des polluants et non plus du CO². Le principe de forfait indépendant de la pollution réelle (l'usage) est maintenu. Celui de la proportionnalité avec la consommation déjà taxée aussi.

Quand on a déjà tout taxé et qu'on a plus d'idées, alors on retaxe encore la même assiette, on taxe la taxe et on recommence encore en changeant l'endroit ou la fréquence où l'on paye.

Une fois en préfecture, une fois au trésor, une fois à l'achat, une autre fois annuellement, une autre encore chaque jour mais indirectement.
On paye un coup au pompiste, un coup au buraliste, un coup au guichetier. Cette fois ce sera aux mairies qui vendront le stationnement plus ou moins cher en fonction de ce qui a déjà été tabassé.

Quel génie ! (applaudissements !)


Commenté
il y a 3380 jours
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Début de l'article :Les idées gouvernementales ont toujours une belle vie en France, surtout lorsqu’elles sont complexes et rapportent de l’argent. La vignette auto, introduite en 1956 par un État à sec mais toujours généreux avec l’argent des autres, avait réussi à durer jusqu’en 1999, après plus de quarante années de ponctions des conducteurs. Abandonnée ensuite, elle fut vite remplacée par la « Pastille Verte » pour les véhicules jugés plus écologiques, pendant les années 2000. Avec l’approche du Sommet De La De... Lire la suite
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