 Mémoire de De Gaulle :
Il (Churchill) m’a crié de toute la force de ses poumons : « De Gaulle, dites-vous bien que quand j’aurai à choisir entre vous et Roosevelt, je préférerai toujours Roosevelt ! Quand nous aurons à choisir entre les Français et les Américains, nous préférerons toujours les Américains ! Quand nous aurons à choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large ! » (Il me l’a déjà dit. Ce souvenir est indélébile.)
Extrapolation :
On connait les vues de De Gaulle sur l'Onu et sur L'Otan et sans doute aurait-il dit la même chose sur l' Euro et les Traités constitututifs qui déjà par lui avaient été rejetés.
Alors voilà, nous suivons en Europe et en particulier en France une politique contraire à la V République de De Gaulle,par l'Euro et les Traités constituants, nous trahissons tous la Construction de notre dépendance si chèrement acquise, et nous sommes aujourd'hui les laquais des USa. Cela nous le savions , mais à la lumière des déclarations de De Gaulle , et à l'asservissement dont la Grèce est l'objet, dont nous en sommes nous même une constituante asservie de cette Europe trompeuse, la dimension des catastrophes à venir en constitue toute l'infrastructure.
C'est pourquoi nous disons aujourd'hui que la France future c'est la Grèce d'aujourd'hui car nous en suivons irrémédiablement le même chemin.
Comme dit Sannat, c'est nous qui avons un problème et je rejoins ses propos.
C'est bien Pompidou affilié au Rothchild qui disait à De Gaulle:
Pourquoi n' allez vous pas à la Commémoration du 6 juin du Débarquement, (Pompidou s'était déjà casser les dents) et ses ministres de surenchérir, et De Gaulle de répondre :
« Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! »
Charles-de-Gaulle : « Le débarquement du 6 juin, ça a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi".. (avec leurs billets déjà imprimés qu'ils voulaient imposer aux français !)
Alors ces fameux billets, qu'ils voulaient imposés en 44, se retrouvent sans doute par la force des choses imposés en 2002 mais c'est sur la continuation de cette dépendance qui s'est transmutée en asservissement par la Dette. Bien sûr si les Finances françaises avaient voulu rester intègre, nous n'en serions pas à ce niveau d'endettement bien qu'en 1973 la nécessité d'emprunter sur le marché international nous empêchait d'être totalement autonome et ce, avec une compétitivité s'écartant financièrement de plus en plus des Fondamentaux.
j'ai omis de parler des CDS qui constitue peut-être la plus grave faille du système bancaire au sujet de cette Grèce, car si la faillite ne se limitait qu'aux remboursements bruts, intérêts des emprunts uniquement, nous pourrions peut-être nous en tirer mais comme nous avons cette chape de plomb qui représente dix fois le PIB mondial, la Grèce en est pourtant pour une infime part, un seul défaut d'un pays, et c'est tous le déclenchement des CDs qui se met en action. Et je pense que toutes les volontés des politiques d'amoindrir ses effets ne sont que de pures écrans de fumée. L' Allemagne en a pour sa part une énorme quantité ( Deutch Bank et démission de leurs deux principaux dirigeants) et j'imagine que pas un politique ne sait ce qu'un défaut grec peut engendrer comme couverture et déclenchement des CDS. C'est aussi et sans doute pour cela que les taux us sont aussi impactés (OAT 10 ans) par la pression grec, leur taux subissent la même géométrie que les taux allemands, français et européen.
Quand on s'en rendra vraiment compte par ses effets , il pense sincèrement que ce sera trop tard. Et encore ici nous ne parlons que du niveau économique..par que l'immigration et ce qui arrive au niveau catholicisme , valeur de la famille(Pape) est peut-être plus profond qu'on ne peut l'imaginer.( Le Pape a une petite entrevue en Amérique latine). Commenté il y a 3369 jours |
| Début de l'article :Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Cela fait plusieurs années que je dénonce inlassablement le fait que l’on fait n’importe quoi – enfin pas nous, les « brillants » qui nous dirigent.
Souvenez-vous, aux pires moments d’incertitude sur la Grèce et l’avenir de l’euro, c’était en 2011 et les sommets de « l’ultime dernière chance » pour sauver la Grèce se succédaient à un rythme effréné.
Après des milliers d’heures de discussion, après des milliers d’heures d’avion, de jet privé et co... Lire la suite |
