Madame Sannat est pour le coup, bien plus ouverte d'esprit que son mari.
Toujours à traiter les politiciens d'abrutis, mon pauvre Charles, je vous apprécie beaucoup, mais là c'est trop, tous les Delamarche et compagnie, tout comme vous, passent leur temps à dire que nos dirigeants et autres patrons de la FED sont des idiots, qu'ils ne comprennent rien à rien, qu'ils n'ont aucun projet etc...
Y'a plus de doute, vu que vous êtes nombreux comme ça, je doute que ce soit une épidémie d'imbécilité, alors il est évident que c'est cette manie, ou dirais-je ce concensus dans les métiers de la finance, à pour but de ne jamais expliquer que les crises sont voulues, qu'il ne faut surtout pas être dans la case complotiste, ça fait non seulement mauvais genre, mais ça pousse surtout les gens à réfléchir.
Arrêtez, tous, de nous prendre pour des idiots, c'est fini, même les moins informés comprennent qu'il n'y a pas de hasard ou d'accident dans ce qu'il ce passe depuis 2008, et certains finissent même par trouver que cela a commencé bien avant 2008, le fameux chemin que les citoyens ne doivent surtout pas prendre, merci aux analystes financiers et autres économistes, qui font tout pour qu'on se perde en route.
"Nous aurons un gouvernement mondial, que nous le voulions ou non. La seule question est à savoir si le Gouvernement Mondial sera instauré par l'adhésion, ou par la conquête."
James Paul Warburg (1896-1969), officier de l'OSS et membre du CFR, le 7 février 1950, devant le Sénat des États-Unis.
"Il est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin."
Henry Ford (1863-1947)
"Aujourd'hui, l'Amérique serait outrée si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour restaurer l'ordre. Demain elle en sera reconnaissante! Ceci est particulièrement vrai s'il leur était dit qu'un danger extérieur, qu'il soit réel ou promulgué, menace leur existence. C'est alors que les peuples du monde demanderont à être délivrés de ce mal. L'unique chose que tous les hommes craignent est l'inconnu. Confrontés à ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés au profit de la garantie de leur bien-être assuré par le gouvernement mondial."
Henry Kissinger, Conférence Bilderberg, Evians, France, 1991 Commenté il y a 3278 jours |